La Fondation ENGIE est partenaire de la conférence internationale sur les forêts d’Afrique organisée la Mairie de Paris et le Journal LE MONDE le 6 octobre
La conférence internationale de Paris pour comprendre et préserver la forêt d’Afrique centrale et ses populations rassemblera des acteurs des pouvoirs locaux, des représentants du monde associatif, universitaire et de l’entreprenariat, ainsi que des experts et des grands témoins européens et africains qui appelleront à la nécessité d’agir pour préserver cette région.
Co-organisée avec le Groupe Le Monde, en partenariat avec l’Association internationale des maires francophones (AIMF), cette conférence s’attachera à mettre en lumière les menaces qui pèsent sur les forêts d’Afrique Centrale, sur les écosystèmes, la biodiversité, mais aussi les populations qui habitent ces espaces. L’objectif est de montrer les solutions mises en œuvre, au niveau local principalement, pour aboutir à un plaidoyer global.
Elle sera articulée autour de plénières et de tables rondes, et portera notamment sur 4 enjeux cruciaux :
- La préservation de la forêt équatoriale africaine et sa biodiversité
- Le rôle central des populations
- La lutte contre le réchauffement climatique
- Le développement de nouvelles pratiques agricoles et alimentaires
De nombreuses personnalités seront conviées à participer et à prendre des engagements en faveur de la préservation des forêts d’Afrique centrale et de ses populations.
Gilles Bœuf, Président du conseil scientifique de l’Agence française pour la biodiversité et Administrateur de la Fondation ENGIE, interviendra par vidéo pour conclure la table ronde – Vivre avec la forêt, protéger la biodiversité Exploiter sans détruire.
Un écosystème menacé par la main de l'homme
La forêt d’Afrique centrale est le deuxième massif forestier tropical du monde après la forêt amazonienne. Partagée entre le Cameroun, la République centrafricaine, la République du Congo, la République démocratique du Congo, le Gabon et la Guinée équatoriale, l’Angola, le Burundi, le Rwanda, la Tanzanie et la Zambie, elle est le deuxième poumon vert de la planète.
En avril, une étude internationale coordonnée par des chercheurs de l’Institut de recherche pour le développement (IRD) et du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) a permis de révéler la composition des forêts tropicales d’Afrique centrale et leur vulnérabilité engendrée par le changement climatique et l’exploitation humaine.
Prendre soin de la vie et de notre planète, c’est ce qui anime la Fondation ENGIE depuis près de 30 ans. Avec 24% de ses projets dédiés à l’accès à une énergie renouvelable et durable en 2020, la Fondation ENGIE s’engage année après année en faveur de l’environnement. Objectif ? Participer à des projets ambitieux, impactants et participer à l’effort collectif de l’Agenda 2030 à travers la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD).
Dans le monde, 1,3 milliard de personnes n’ont pas accès à l’énergie et/ou aux biens essentiels. Est-il cependant raisonnable de développer l’accès à l’énergie pour tous, dans un contexte où les équilibres écologiques et la biodiversité sont aujourd’hui menacés ? Pour la Fondation ENGIE, la réponse ne fait pas de doute : oui, l’énergie est un droit pour tous ! Car sans énergie, il n’y a pas d’accès à l’eau potable, pas d’écoles, pas d’hôpitaux, pas ou peu d’activité économique. Mais ce déploiement de l’énergie pour tous ne peut se faire sans conscience écologique.
Pour préserver l’environnement, il est indispensable de privilégier des sources d’énergies propres… et de sensibiliser les citoyens aux enjeux environnementaux. En Afrique, la Fondation ENGIE permet l’électrification avec des énergies renouvelables d’écoles au Sénégal, au Cameroun ou d’hôpitaux (Hopital de Panzi en RDC).