Journée mondiale du climat

Créée à l’initiative de plusieurs ONG, la Journée mondiale du climat est l’occasion de rappeler la menace bien réelle du réchauffement climatique et la nécessité d’agir pour en limiter les effets.

Planet for People : Agir pour le climat au cœur des engagements  de la Fondation ENGIE en soutenant des projets répondant à l’objectif de développement durable (ODD)13 qui invite instamment à «prendre d’urgence des mesures pour lutter contre les changements climatiques et leurs répercussions». 

Dans le cadre de son programme Planet, la Fondation ENGIE a soutenu plus de 20 projets, en France et à l’international, permettant d’aider les populations et les territoires à s’adapter aux effets prégnants et hostiles du changement climatique et répondant à 3 objectifs : Agir – Connaître/Comprendre – Eduquer/Sensibiliser.

Et parce que les deux sujets ne peuvent plus être traités séparément, la Fondation ENGIE veille à toujours associer l’urgence de l’effondrement de la biodiversité à ses projets liés au Climat.

Focus sur les engagements de la Fondation ENGIE en faveur du climat

  • Accompagnement de la transition écologique et sociale avec la préservation des mangroves au Bangladesh et à Madagascar
  • Lutte contre les effets du réchauffement climatique en Ville
  • Préservation des forêts, sentinelle du réchauffement climatique au cœur des territoires

PLANET FOR PEOPLE : TRANSITION ECOLOGIQUE ET TRANSITION SOCIALE

La Fondation ENGIE accompagne des projets d’adaptation aux changements climatiques pour les populations les plus pauvres.
L’objectif est de donner aux communautés – celles qui sont en première ligne du changement climatique – les moyens d’agir au niveau local et de manière appropriée aux conditions locales.

LA MANGROVE, FORMIDABLE PUIT DE CARBONE : RESTAURATION DE 14 HECTARES AU SUD DU BANGLADESH, AVEC L’ONG FRIENDSHIP

La Fondation ENGIE s’engage depuis plus de 10 ans aux côtés de l’ONG Friendship pour renforcer les capacités des communautés, encourager les contributions majeures des femmes, faciliter l’accès à l’énergie solaire, à la formation et la protection de la biodiversité. 

 L’un des atouts notables du Bangladesh est la plus grande forêt de mangroves du monde, les Sundarbans, patrimoine mondial de l’UNESCO. Ecosystèmes côtiers uniques et diversifiés, les mangroves sont un outil formidable dans l’atténuation du changement climatique de par leur grande capacité d’absorption du CO2.

Cependant de nombreux projets de reforestation en mangroves au Bangladesh ne sont pas durables parce qu’ils consistent en des monocultures non résilientes, qu’ils ne sont pas gérés correctement pendant la phase de croissance, que des espèces non adaptées à la zone sont parfois plantées ou qu’ils ne tiennent pas compte des facteurs socio-économiques.

Depuis 3 ans, la Fondation ENGIE soutient Friendship et son action de plantation de 14 hectares sur 3 zones situées dans 3 villages du district de Satkhira (la terre est un bien rare au Bangladesh et il est difficile d’avoir des terrains d’un seul tenant disponibles pour la reforestation).

Les deux premières zones (soit 30 000 arbres) ont été plantées en octobre 2022 par les communautés locales sous la supervision de Friendship et d’experts forestiers locaux. La troisième (12 000 arbres) est prévue pour mai 2023. Au total ce sont près de 2 000 mètres de digues qui seront protégées contre les inondations grâce à ce projet, sachant que les dégâts provoqués par l’eau salée peuvent persister très longtemps (un sol inondé devient impropre à la culture pendant des années de même qu’un étang d’élevage envahi par l’eau salée ne peut plus servir).

6 groupes communautaires de 30 personnes, ont reçu les formations de renforcement de capacité (préalables aux plantations) en matière de semences, de pépinières et de plantations ; ils ont également chacun participé aux premières réunions de suivi.

Impact : 

  • sur les 3 zones ce seront 240 participants qui seront formés,
  • ce qui correspond à environ 1200 à 1440 bénéficiaires directs (membres des familles). 
  • Les bénéficiaires indirects seront bien plus nombreux. Il s’agit de tous les villageois, agriculteurs, pêcheurs qui verront leur habitation, leurs champs, leurs étangs, protégés des inondations et de la salinisation.
  • En 2023, ENGIE, sa Fondation et sa direction ESG, en collaboration étroite avec Friendship, ont présenté le projet aux experts de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) qui – après étude selon de nombreux critères sélectifs, l’ont qualifié de « Solution Fondée sur la Nature » (SFN).

PRESERVER ET PERENISER LES ECOSYSTEMES POUR FAIRE FACE AU CHANGEMENT CLIMATIQUE, AVEC LA FONDATION GOODPLANET : CREATION D’UNE AIRE PROTEGEE A GOUVERNANCE LOCALE A SAINTE MARIE, MADAGASCAR

Le programme Action carbone solidaire de la fondation Good Planet, créé en 2006, soutient des ONG développant des solutions d’adaptation et d’atténuation face au changement climatique, au bénéfice des populations vulnérables et de la biodiversité.

Madagascar, classé 162 sur 189 pays par l’indice de développement humain 2019, est l’un des pays les plus pauvres du monde. 

Cette pauvreté est encore aggravée à Sainte Marie, île proche de la côte Est. Sur le plan environnemental, le constat est préoccupant. En l’espace de 30 ans, plus de 25 des forêts de l’île ont été détruites ou dégradées, alors que la préservation de la couverture forestière est essentielle pour lutter contre les phénomènes d’érosion côtière et de montée des eaux, aggravés par le réchauffement climatique, garantir l’accès à l’eau douce et préserver le capital nutritif indispensable à l’agriculture. Les ressources halieutiques, pourtant indispensables aux 30 000 habitantes et habitants de Sainte Marie, connaissent un déclin majeur qui menace la sécurité alimentaire de l’île et les emplois locaux puisque 90 de la population pratique la pêche artisanale.

Pour la Fondation ENGIE, ce projet de la Fondation GoodPlanet fait totalement sens et est totalement en lien avec sa raison d’être et d’agir : lutter contre les effets du changement climatique, préserver la biodiversité remarquable et y associer pleinement et de façon pérenne la population locale. 

Afin de répondre aux enjeux environnementaux, sociaux, et économiques auxquels les femmes et hommes de l’île sont confrontés, le principal objectif de ce projet est la création d’une aire protégée . Celle-ci sera gérée en partie par la population locale tout en développant des activités agricoles, de pêche, et touristiques plus durables. 

Le partenaire de terrain, le Gret, est présent à Madagascar depuis 1988. Ses équipes ont mis en place des actions favorables à ce projet depuis 2017 à Sainte Marie. Elles prônent une gouvernance locale, équitable, évolutive et inclusive pour assurer la pérennité de l’aire protégée.

Objectifs et Impact :

  • Protection directe de 182 ha de mangroves et de 800 ha de forêt littorale
  • 30 000 habitantes, habitants, et représentants des principales parties prenantes (services techniques, autorités et élus, secteurs privé) sont représentés dans les instances de gouvernance partagée et de gestion de l’aire protégée.
  • 300 ménages pilotes des zones de Sainte Marie où l’on trouve la plus forte vulnérabilité socio-écologique, bénéficiaires d’appui en agroécologie, élevage, et cultures de rente.
  • 80 membres de la plateforme de concertation et d’appui au développement durable de Sainte Marie (PCADDISM).
  • 5 micro entreprises féminines d’écotourisme communautaire.

LUTTE CONTRE LES EFFETS DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE EN VILLE

REVEGETALISER LES COURS D’ECOLES AVEC NICE « VILLE VERTE »

Nice est aujourd’hui classée 1ère ville française de plus de 200 000 habitants en pourcentage de patrimoine arboré sur son territoire (étude KERMAP 2019 « Nos villes vertes ») avec 26 % de son espace urbain occupé par des arbres.

Depuis 2023, la ville s’est fixé comme objectif d’aménager 70 hectares d’espaces verts supplémentaires dans tous les quartiers, comme autant de zones de fraîcheur, de pleine terre, et de captation de carbone. 

Cette politique volontariste forte s’appuie sur le « Plan Climat Air Energie Territorial 2019-2025 » porté par la Métropole Nice Côte d’Azur, avec pour objectif d’atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050.

Objectifs :

  • 1 arbre par habitant d’ici 4 ans
  • 153 cours d’écoles rafraîchies et végétalisées
  • 5 nouveaux axes urbains embellis et verdis
  • 3 nouveaux poumons verts en centre-ville
  • 70 hectares d’espaces verts supplémentaires

La Fondation ENGIE soutient la Ville de Nice dans l’accélération de son plan inédit de verdissement consacré à l’ensemble des 153 cours d’écoles de la ville, touchant à terme plus de 30 000 enfants scolarisés, avec un accent souhaité pour les écoles de quartiers dits «prioritaires».

RAFRAICHIR LA CITADELLE DE BESANÇON GRÂCE A LA CRÉATION DE DEUX JARDINS

La Citadelle de Besançon, œuvre massive mais majestueuse de Vauban, est inscrite sur la Liste du patrimoine mondial de l’UNESCO depuis le 7 juillet 2008 et fait l’objet d’un programme de restauration continu.

La Citadelle accueille en son sein trois Musées de France : 

  • le Muséum d’histoire naturelle, qui présente la particularité d’intégrer des espaces animaliers, 
  • le Musée comtois, musée d’ethnographie régionale,
  • et le Musée de la Résistance et de la Déportation. 

Répondant aux valeurs de l’Unesco qui prônent la préservation du patrimoine et de l’environnement par le développement, la culture, l’éducation, la Ville de Besançon qui gère le site a la volonté de conserver et valoriser de manière durable ce patrimoine et de l’inscrire au cœur de ses actions pour l’adaptation au réchauffement climatique.

 

Dans le cadre de cette ambition, La Fondation ENGIE soutient la Ville de Besançon dans son projet de création de deux jardins à la Citadelle, pour lutter contre le réchauffement climatique et ses effets.

A travers ce projet, la Citadelle souhaite ainsi

  • Contribuer à la lutte contre les îlots de chaleur et donc entamer la nécessaire évolution du site face aux effets du dérèglement climatique.
  • Enrichir la biodiversité sur le site (La Citadelle est labellisée refuge chauves-souris et Natura 2000 pour sa colonie de Grands-rhinolophes). 
  • Développer la sensibilisation du public aux enjeux environnementaux actuels.

Chaque jardin aura son identité propre et grâce à ses aménagements, couleurs, senteurs… pourra créer différentes palettes d’émotions auprès du public.

LES FORÊTS : SENTINELLES DU RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE AU CŒUR DES TERRITOIRES

PROJET LIFEBIODIV’EST EN REGION GRAND EST : ILÔTS DE SENESCENCE ET GESTION VERTUEUSE DES FORÊTS

Avec 1,9 millions d’hectares, les forêts du Grand Est sont des écosystèmes complexes et riches qui couvrent le tiers du territoire régional. La région présente une diversité arborée plus importante que la plupart des autres régions françaises (IGN, 2020), en raison de son passé sylvicole et de ses conditions écologiques variées. Pour autant, les forêts du Grand Est sont aujourd’hui impactées par le changement climatique et l’érosion de la biodiversité.

L’objectif du présent dispositif est donc de permettre aux propriétaires forestiers privés et publics d’améliorer la résilience et la résistance de leurs forêts face aux aléas climatiques et sanitaires,  notamment en restaurant et préservant la biodiversité forestière qui est un pilier indispensable dans l’équilibre et le fonctionnement de l’écosystème forestier sur le long terme.

La Fondation ENGIE accompagne e programme LIFE Biodiv’Est,  notamment au travers de son appel à projet « îlots de sénescence » pour la mise en place d’îlots forestiers laissés en libre évolution.

Objectifs et impact :

L’indicateur retenu pour suivre l’évolution de la gestion forestière porte sur les îlots de vieux bois sur l’ensemble des forêts publiques en Grand Est.

  • 3% sur la surface forestière en îlots de vieillissement ou de sénescence à l’horizon 2027 et jusqu’à 8% dans les zones à enjeu. A ce jour, environ 1,3% de forêts publiques en Grand Est sont laissées en libre évolution (Source : ONF Grand Est, juillet 2023).
  • Création de 200 hectares d’îlots de sénescence minimum à l’échelle régionale.

CRÉATION D’UNE NOUVELLE FORÊT EN ILE DE FRANCE, LA FORÊT DE MAUBUISSON

Le Syndicat mixte d’aménagement de la Plaine de Pierrelaye-Bessancourt (SMAPP) porte depuis 2014,  l’ambitieux projet de créer dans le Val d’Oise une nouvelle forêt de 1 340 hectares sur les 7 communes de Bessancourt, Frépillon, Herblay-sur-Seine, Méry-sur-Oise, Pierrelaye, Saint-Ouen-l’Aumône et Taverny, à 25 kilomètres de l’agglomération parisienne. 

Répondant aux exigences du site, anticipant les variations climatiques, offrant des habitats naturels diversifiés, cet aménagement forestier emblématique viendra contribuer au développement de la biodiversité, à la lutte contre la pollution atmosphérique et contre le réchauffement climatique. Au cœur de l’urbanisation, un nouveau poumon vert sera ouvert aux habitants du Val d’Oise et contribuera au développement du patrimoine naturel de l’Île-de-France. 

La Fondation ENGIE soutient la 5e campagne de plantation de la future forêt de Maubuisson à Méry-sur-Oise (Val-d’Oise) et soutient l’ambition de créer un véritable poumon vert de 1 340 hectares au cœur du Val d’Oise. Il s’agit en France du plus grand projet de création de forêt.

Impact :

  • 130 000 arbres plantés en 2023
  • Mi-2024, près de 55 ha ont été plantés, soit 130 000 arbres supplémentaires portant le total à 575 000 arbres soit la moitié de l’objectif total initial fixé à 1 million d’arbres. 
  • Sensibilisation de 80 classes de CM1/CM2 soit 2000 scolaires

PLAN ARBRES DE LA RÉGION DES HAUTS DE FRANCE : UN MILLION D’ARBRES PLANTÉS TOUS LES 3 ANS

La Région Hauts de France a lancé le 19 avril 2020 le « Plan Arbres » mobilisant les collectivités locales, les opérateurs publics, les lycées, les associations, les maisons familiales et rurales en faveur du reboisement du territoire. 

Cette stratégie consiste à mobiliser tous ces acteurs du terrain pour lutter contre les effets du changement climatique mais également atteindre la plantation d’un million d’arbres tous les 3 ans. 

Les objectifs sont clairement identifiés et ambitieux :

  • Lutter contre le changement climatique,
  • Limiter les îlots de chaleur,
  • Mobiliser les territoires, les acteurs des territoires et les habitants afin de planter 1 million d’arbres (arbres supplémentaires et non remplacement d’arbres) au cours des 3 années à venir, avec le soutien de la Région,
  • Développer la biodiversité,
  • Améliorer le cadre de vie,
  • Favoriser une meilleure infiltration des eaux pluviales.
  • Développer des actions de sensibilisation de la population sur un ensemble d’écogestes à réaliser pour accueillir la biodiversité et limiter son empreinte climatique.

Le plan n’exclut pas les dispositifs visant les autres plantations telles que des arbustes. 

Les bénéficiaires seront les collectivités, les établissements publics, les établissement d’enseignement privés, les particuliers, les horticulteurs et pépiniéristes des Hauts-de-France qui fourniront les arbres.

La Fondation ENGIE accompagne le projet d’envergure pour la reforestation et la lutte contre le changement climatique.

Impact :

Depuis 2020, le Plan Arbres c’est 550 projets pour 710 000 plants qui ont été comptabilisés. 

A travers le dispositif Génération + Lycée et Nature, plusieurs lycées d’enseignement public et privé ont également pu en bénéficier.

FOCUS : 2025, ANNÉE DE LA COP30

La conférence sur les changements climatiques, ou COP 30 est une conférence internationale organisée par l’Organisation des Nations unies qui se déroulera à Belém (10 au 21 novembre 2025), dans le nord du Brésil, capitale de l’État du Pará au sein de l’Amazonie.

Elle réunira les pays signataires de la convention-cadre des Nations unies sur les changements  climatiques (CCNUCC).

La COP 30 n’est pas une simple réunion internationale de plus : c’est un tournant décisif pour la politique climatique mondiale. 

À l’approche de cette étape importante, la nécessité de prendre des engagements solides et applicables n’a jamais été aussi évidente. Les sommets précédents ont fixé des objectifs ambitieux, mais leur mise en œuvre a souvent pris du retard. Nous devons nous demander : sommes-nous prêts à faire les choix difficiles qui s’imposent pour éviter une catastrophe climatique ?

La réalité est dure. Malgré les nombreuses promesses, le monde reste sur une trajectoire qui le conduira au-delà du seuil de 1,5°C. Il ne s’agit pas seulement d’un problème environnemental : c’est une crise  mondiale qui aura des répercussions sur tous les aspects de la vie, de la sécurité alimentaire à la stabilité géopolitique.

L’importance de la COP 30 réside dans son potentiel à :

  • Évaluer les progrès : évaluer les progrès réalisés depuis l’Accord de Paris et identifier les domaines dans lesquels les pays ont échoué ou ont excellé.
  • Renforcer les engagements : encourager les nations à renforcer leurs contributions déterminées au niveau national (CDN) pour garantir qu’elles soient alignées sur l’objectif de 1,5°C.
  • Promouvoir la responsabilité : établir des mécanismes pour une plus grande transparence et responsabilité dans la communication et la mesure des actions climatiques.
  • Favoriser la collaboration : Faciliter la coopération et les partenariats internationaux qui peuvent conduire à des solutions et des innovations climatiques à grande échelle.
  • Mobiliser des financements : obtenir les engagements financiers et les investissements nécessaires pour soutenir les efforts d’adaptation et d’atténuation du changement climatique, en particulier dans les régions vulnérables.

La COP 30 servira de plate-forme cruciale pour aligner les politiques climatiques mondiales sur les recommandations scientifiques et garantir que nous sommes sur la bonne voie pour atteindre nos objectifs climatiques. Les résultats de cette conférence auront des implications de grande portée pour l’avenir de notre planète.


Célébrons l’engagement des collaborateurs ENGIE à l’occasion de la Journée mondiale du bénévolat !

Chaque année, ce 5 décembre marque la journée Internationale des bénévoles et des volontaires et célèbre l’engagement partout dans le monde.

C’est en 1985 à New York que l’ONU a décidé de créer la journée internationale des bénévoles afin de mettre en valeur la contribution essentielle, et souvent méconnue, des bénévoles dans le développement économique et social.

Comme l’indique la récente étude « La France associative en mouvement », près d’un français sur quatre donne du temps gratuitement à une association, ce qui représente environ 12.5 millions de personnes. Et parmi elles, un peu plus de un français sur dix, soit entre 5.2 et 5.4 millions de personnes, agissent sur un mode hebdomadaire et constituent la colonne vertébrale des associations. Plus de 85% des associations françaises sont gérées exclusivement par des bénévoles. C’est une formidable richesse humaine.

A l’occasion de cette journée, la Fondation ENGIE souhaite saluer l’engagement collectif des collaboratrices et collaborateurs d’ENGIE, acteurs de la solidarité,  qui contribuent à changer des vies et construire un avenir durable, à participer à une transition partagée.

Focus sur les bénévoles collaboratrices et collaborateurs bénévoles d’ENGIE qui oeuvrent au sein d’Energy Assistance pour donner accès à l’énergie aux plus fragiles

Pour son programme Accès à l’énergie, la Fondation ENGIE s’appuie sur les ONG internes fédérant des collaborateurs bénévoles qui réalisent pour les communautés les plus fragiles et les plus éloignées des projets d’accès à l’énergie : Energy Assistance, une ONG interne créée en 2001 en Belgique et en 2005 en France pour donner l’accès à l’énergie au plus grand nombre.

Au sein d’Energy Assistance, et avec le soutien de la Fondation ENGIE, les collaborateurs bénévoles, grâce à leur savoir-faire et à leur générosité, transforment la vie des communautés les plus fragiles.

Entre 2020 et 2024 : 

  • 156 projets ont été menés par la Fondation ENGIE aux côtés d’Energy Assistance
  • 363 adhérents bénévoles mobilisés 

Au total, ce sont 28 885 jours de mission pour apporter l’énergie, des solutions innovantes et durables à plus d’un million de bénéficiaires . Acteurs de la solidarité, ils sont aussi des acteurs d’un changement positif.

C’est une ambition forte qui a été définie par la Fondation pour l’action d’Energy Assistance : raccorder plus d’un million de personnes dans les zones les plus pauvres à l’énergie sur le mandat 2020 2025. Fin 2024, l’objectif est déjà dépassé : ce sont 1,163 million de bénéficiaires.

Grâce au soutien de la Fondation, Energy Assistance offre aux collaborateurs d’ENGIE une autre manière de s’engager, de donner du sens à leur métier.

Comme le souligne Claire Waysand, Directrice Générale Adjointe d’ENGIE et Vice-Présidente de la Fondation ENGIE :

« Au-delà des chiffres, il est essentiel de mettre en avant le rôle des collaborateurs et collaboratrices engagés dans la réalisation de ces missions. Grâce à leur participation active à travers le programme « Accès à l’énergie », la Fondation ENGIE favorise la mixité et amplifie l’impact de ses actions sur le terrain. Leurs contributions permettent d’améliorer significativement la vie de nombreuses personnes, comme en témoignent les projets en Belgique, au Brésil, au Maroc, au Malawi ou encore au Bénin.

Notre conviction : la mixité est un vecteur de performance pour une entreprise. Elle l’est assurément dans le domaine philanthropique. C’est la responsabilité d’une entreprise comme ENGIE, par son histoire, par nos métiers, par nos engagements, d’y contribuer. »

Rencontre avec les collaboratrices et collaborateurs engagés

« S’impliquer dans la Fondation ENGIE c’est donner du sens à son travail et de la valeur. Je suis fière d’appartenir à une entreprise qui a remis l’humain au centre de tout » Bemba Magassa, Responsable commercial chez ENGIE Entreprises et Collectivités.

Lise Forest, Responsable des Relations Presse et événementiel chez ENGIE Solutions

« Le 12 octobre dernier j’ai eu l’opportunité de partir en mission à Madagascar avec Energy Assistance France. L’objectif : électrifier deux centres de santé dans deux villages très isolés du Sud-Est de l’île. Partir loin pour donner un peu de notre temps pour installer des infrastructures pérennes qui permettront de faciliter les soins, cela a du sens !

Nous sommes bien entourés, nous apprenons vite et finalement nous nous découvrons des compétences techniques au fil des jours. Et quelle découverte culturelle lorsqu’on vit au cœur de ces villages, au rythme du chant des coqs et du soleil. Nous avons pu réaliser le premier chantier accompagnés de lycéens malgaches. Garçon et filles ont tous mis la main à la patte avec nous, une belle rencontre avec ces jeunes hypers motivés et souriants. Et en prime quelques vocations de suscitées !

Quelle fierté lorsqu’on range les outils et que la lumière jaillit dans toutes les pièces du centre de santé. Ce n’est qu’une petite action pour nous, mais tellement importante pour les patients qui viendront effectuer des soins, les femmes qui viendront accoucher la nuit ou encore l’infirmière qui préparera ses consultations.

Si vous êtes prêts à mettre de côté votre confort quotidien pour contribuer à améliorer celui des autres, je ne peux que vous conseiller de devenir adhérent à Energy Assistance France et de donner un peu de votre temps à l’association et ces belles missions. Merci EAF et la Fondation ENGIE de nous permettre ces aventures utiles. »

Maria Carolina Safanelli, consultante chez ENGIE Impact

A quelle mission as-tu participé et quel était ton rôle ? 

J’ai eu l’opportunité de participer à deux missions, pas sur le terrain mais à distance.  

J’ai été cheffe de projet pour un programme visant à installer des biodigesteurs (qui produisent du gaz renouvelable à partir de déchets ménagers) dans 18 écoles au Brésil. Dans ce cadre, nous avons réussi à engager environ 30 volontaires brésiliens pour l’installation de ces biodigesteurs.

Qu’est-ce qui t’a motivée à t’engager dans ce projet, et qu’est-ce qui t’a particulièrement attirée dans cette mission ? 

J’ai toujours été intéressée par le bénévolat car ces interactions sont très positives pour les deux parties : ceux qui donnent et ceux qui reçoivent. Pour le projet au Brésil, ma motivation était de pouvoir impacter plusieurs enfants et élèves sur un sujet lié à la transition énergétique, notamment le gaz renouvelable. J’aime combiner des compétences techniques et de gestion de projet pour apporter quelque chose de bénéfique à la société.

En quoi cette expérience t’a-t-elle enrichie sur les plans personnel et professionnel ? Quels enseignements en tires-tu pour ta carrière et ton développement personnel ? 

Tant sur le plan personnel que professionnel, cette expérience m’a permis de constater le pouvoir d’impact d’un groupe engagé autour d’une idée. Ensemble, nous allons plus loin ! 

Comment cette mission a-t-elle renforcé ton sentiment d’appartenance à ENGIE et ta connexion avec les autres collaborateurs ? 

Je vois qu’ENGIE s’engage à avoir un impact positif sur les communautés autour de nos centrales et activités, et pour moi, cela signifie être une société responsable. Travailler dans une entreprise dont le business est lié à la transition énergétique durable, mais qui pense aussi à l’impact sur l’environnement et le contexte dans lequel elle est insérée, donne du sens à notre travail. J’ai également pu faire connaissance avec plusieurs personnes des entités et départements différents, même à distance, et je trouve que cette interaction entre les employés du groupe est essentielle pour que nous fonctionnions selon l’esprit One ENGIE.

Bemba Magassa, Responsable commercial chez ENGIE Entreprises et Collectivités.

Peux-tu nous dire quelques mots sur ton engagement ? 

Mon engagement s’est fait tout d’abord par le sport, je suis capitaine de l’équipe de foot de la Fondation ENGIE, et on représente le groupe lors de tournois organisés avec les associations soutenues. J’ai également souhaité œuvrer au sein de la Fondation ENGIE par le biais d’Energy Assistance France pour apporter de l’énergie dans les pays où il y a un besoin. Enfin, j’ai la chance de travailler plus précisément avec Les Déterminés, une association subventionnée par la Fondation et qui œuvre pour l’insertion et l’employabilité des jeunes par le biais de la formation. 

Quelles sont tes motivations derrière cet engagement ? 

Tout d’abord la solidarité par le biais d’Energy Assistance France avec un partage de savoirs et de connaissances auprès des personnes et des territoires qui ont un besoin d’accès à l’énergie. Ensuite, l’ambition et la confiance que je souhaite apporter aux jeunes, notamment via l’association Les Déterminés où j’aide les jeunes, par la formation, à accéder à l’emploi.

Comment cet engagement a renforcé ton sentiment d’appartenance à ENGIE ? 

S’impliquer dans la Fondation ENGIE c’est donner du sens à son travail et de la valeur. Je suis fière d’appartenir à une entreprise qui a remis l’humain au centre de tout. 

Sécurité et expertise : des priorités absolues

La sécurité des bénévoles constitue un enjeu central pour garantir le bon déroulement des missions. Grâce à des programmes de formation spécialisés et au respect de consignes strictes, La Fondation ENGIE peut se féliciter d’un bilan exemplaire : aucun accident signalé sur les missions Energy Assistance depuis leur création.

En 2024, Energy Assistance a renforcé son engagement pour la sécurité en signant un partenariat avec Bioforce, un leader reconnu dans la formation humanitaire. Deux nouveaux programmes ont été mis en place pour les bénévoles :

  • Savoir gérer sa sécurité personnelle dans un contexte instable.
  • Bases de l’électricité, du photovoltaïque et de la sécurité dans les travaux.

Ces formations permettent de préparer les volontaires à intervenir efficacement, même dans des environnements complexes, tout en garantissant leur propre sécurité.

L’engagement des collaborateurs en France à travers des initiatives de mentorat.

En parallèle des actions à l’international, les  collaborateurs ENGIE peuvent s’impliquer en France dans des initiatives de mentorat, soutenant des personnes issues de milieux défavorisés pour les accompagner dans la construction de leur avenir.

  • Avec la Fondation Un Avenir Ensemble, les collaborateurs ENGIE peuvent parrainer/ marrainer des jeunes de la classe de seconde jusqu’à leur insertion professionnelle pour leur apporter un soutien moral et socio-culturel indispensable à leur réussite. 
  • Avec l’association C Possible, les collaborateurs ENGIE peuvent accompagner un élève en difficulté en partageant leurs expériences, en renforçant leur confiance en soi et en les aidant à développer leurs projets personnels et professionnels.

Ces actions en faveur du mentorat permettent de créer des ponts entre les générations et les couches sociales, en transmettant des savoirs pour favoriser l’insertion sociale et professionnelle des jeunes.


La Fondation ENGIE s’engage aux côtés de l’ADSF - Agir pour la Santé des Femmes- pour favoriser l’accès aux soins des femmes en grande précarité

Claire Waysand, Directrice Générale Adjointe d’ENGIE et Vice-Présidente de la Fondation ENGIE, et Myriem Maïcha, Directrice Générale de l’association ADSF, ont signé le 2 décembre 2024 une convention de mécénat qui va permettre l’acquisition et l’aménagement d’un frottis truck électrique, véhicule médicalisé dédié aux maraudes pluridisciplinaires parisiennes de l’ADSF. Ce frottis truck proposera un cadre sécurisé de consultation de « première ligne » aux femmes les vulnérables de la capitale pour favoriser leurs orientations vers des structures de soins adaptées.

En France, les femmes, souvent accompagnées d’enfants, sont toujours plus nombreuses à vivre sous le seuil de pauvreté et à se retrouver en situation de grande exclusion. Renoncement ou refus de soins pour des raisons économiques, discriminations, barrière de la langue, violences et conditions de vie dégradées ou précaires, ce sont autant de raisons qui éloignent ces femmes des dispositifs de droit commun. Il convient également de rappeler que les femmes représentent 40 % des personnes sans-abri, un chiffre en constante augmentation. 

D’après les travaux du Sénat d’octobre 2024, ce serait 3 000 femmes qui dorment chaque nuit dans la rue en France. 90 % d’entre elles sont victimes de violences et 80 % n’ont pas de suivi gynécologique, ce qui ajoute à leurs vulnérabilités physiques et psychiques. 

L’ADSF agit chaque jour pour améliorer l’accès à la santé des femmes les plus précaires, en s’appuyant sur ses dispositifs d’intervention mobiles et ses structures d’accueil dont le frottis truck électrique fera partie.

« L’ADSF est en première ligne pour identifier de nouveaux publics et pour repérer les difficultés qui émergent ou perdurent chez des publics parfois identifiés depuis des années, mais vers lesquels il n’y a pas suffisamment d’efforts faits. L’association intervient souvent en amont de toute prise en charge et détecte très tôt de nouvelles problématiques.

Presque 50% du public est composé de femmes primo-accueillies, ce qui veut dire qu’elles ont identifié les lieux, qu’elles savent qu’elles peuvent s’y reposer en toute sécurité et qu’elles trouveront de l’aide auprès des équipes. Cela prouve que les lieux d’accueil sont bien des lieux d’orientation. C’est un signe de vigueur et d’adéquation des dispositifs avec les besoins et le signe que notre travail de consolidation porte ses fruits, que l’ADSF joue son rôle ». Stefania Parigi – Présidente d’ADSF

La Fondation ENGIE, engagée pour la lutte contre la précarité, a souhaité accompagner les actions de l’ADSF pour favoriser l’accès à la santé des femmes les plus éloignées des systèmes de soins, en s’appuyant sur les maraudes et les consultations médicales proposées dans les « frottis trucks » aménagés pour offrir un cadre sécurisé et confidentiel. Il s’agit également de soutenir ces femmes dans leurs démarches de santé globale, tout en facilitant leur orientation vers des structures de soins de droit commun. 

Le soutien de la Fondation ENGIE va permettre à l’ADSF d’acquérir un nouveau véhicule électrique pour répondre à l’augmentation de la demande.

L’ADSF souhaiterait aller plus loin d’ici la fin de l’année 2025 et bien au-delà des 2500 femmes accueillies et rencontrées cette année par ses équipes et améliorer l’accès à des soins de qualité, notamment en matière de santé sexuelle, de prévention des cancers et de suivi psychologique. Le projet entend également consolider les dispositifs d’orientation vers les systèmes de droit commun (hôpitaux, médecins, etc.)

Quelques chiffres :

Avec l’acquisition de ce nouveau frottis truck électrique, l’ADSF pourra atteindre de nouveaux objectifs mensuels :

  • Un minimum de 15 maraudes,
  • 100 entretiens réalisés en maraude,
  • 160 kits d’hygiène distribués en maraude,
  • 15 TROD (test rapide d’orientation diagnostic) pour permettre le dépistage IST/VIH en maraude.

Bénéficiaires (données mensuelles relatives à la file active du repaire santé de l’ADSF) :

  • 190 femmes rencontrées en maraude et accueillies,
  • 175 femmes reçues en entretien par les professionnels de santé,
  • 125 femmes orientées vers des professionnels de santé ou vers les dispositifs d’accompagnement social.

Impacts de ces actions pour les femmes suivies au repaire santé de l’ADSF :

  • 60 % des femmes rencontrées en maraude puis suivies au repaire santé de l’ADSF, disent s’être réengagées dans un parcours de soins,
  • 70 % des femmes rencontrées en maraude indiquent une amélioration de leur état de santé global à l’issue des entretiens et / ou des ateliers auxquels elles ont participé,
  • 80 % de femmes retrouvent un lien social et arrivent à rompre avec leur isolement.

En soutenant ce projet, la Fondation ENGIE agit pour lutter contre la précarité des femmes. C’est un projet Coup de Cœur qui a été sélectionné par le Comité Consultatif des Actionnaires d’ENGIE.


Journée internationale pour l'élimination de la violence à l'égard des femmes

Les engagements de la Fondation ENGIE

En ce début de XXI° siècle, la violence à l’égard des femmes et des filles reste l’une des violations des droits de l’homme les plus répandues dans le monde.

Comme chaque année, l’Assemblée générale des Nations Unies a souhaité que ce 25 novembre, soit une journée de mobilisation : la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes.

Des chiffres qui doivent nous interpeller :

  • Environ 1 femme sur 3 dans le monde a été victime de violences sexuelles et/ou physiques au cours de sa vie (OMS).
  • Environ 35 % des femmes ont subi des violences physiques et/ou sexuelles de la part d’un partenaire ou d’un ex-partenaire.
  • 24 % des adolescentes en couple ont été victimes de violences physiques et/ou sexuelles de la part de leur partenaire intime avant l’âge de 20 ans (OMS).
  • 16 % des adolescentes ont subi ce type de violence au cours de l’année écoulée.

En 2023,  51 100 femmes ont subi une violence de genre qui s’est achevée par leur assassinat, perpétré par leur partenaire ou des membres de leur famille. Cela signifie qu’une femme a été tuée toutes les 10 minutes.

Une situation qui se dégrade

La violence à l’égard des femmes s’est intensifiée dans différents contextes, y compris l’espace de travail et les espaces en ligne, et a été notamment exacerbée par les conflits et les changements climatiques.

Pour faire face à la violence de genre, il est important de nous mobiliser toutes et tous, de mettre en oeuvre des réponses solides, de mettre fin à l’impunité en tenant les auteurs de ces crimes responsables, et d’accélérer l’action grâce à des stratégies nationales dotées de ressources suffisantes et à un financement accru des mouvements de défense des droits des femmes.

La Fondation ENGIE se mobilise fortement sur un enjeu qui nous concerne toutes et tous : les populations les plus fragiles, mais aussi près de nous.

« La lutte contre les violences faites aux femmes est un combat culturel. Un combat nécessaire pour éradiquer les violences sexuelles et sexistes à l’égard des femmes et des filles. Des violences qui touchent à leurs vies professionnelles et personnelles. C’est un enjeu de civilisation. » Elisabeth Moreno – administratrice de la Fondation ENGIE.

« C’est un combat plus qu’actuel avec le retour des talibans en Afghanistan et les crimes de guerre commis en Ukraine et partout dans le monde. » Chékéba HACHEMI – administratrice de la Fondation ENGIE.

Cette année : 16 Jours d’activisme

La Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes marquera le lancement de la campagne Tous UNiS (25 novembre – 10 décembre) – une initiative de 16 Jours d’activisme qui s’achèvera le jour de la commémoration de la Journée des droits de l’homme (10 décembre).

En 2024, la campagne « Toutes les 10 minutes, une femme est tuée. #PasDExcuse. Tous UNiS pour mettre fin à la violence contre les femmes » a pour objectif d’attirer l’attention sur l’augmentation exponentielle de la violence à l’égard des femmes, afin de relancer les engagements et de demander aux décideurs politiques la reddition de comptes.

Les engagements de la Fondation ENGIE

La lutte contre les violences faites aux femmes est un des grands engagements de la Fondation ENGIE, aux côtés de l’accès à l’éducation.

La Fondation ENGIE s’engage aux côtés de ses partenaires pour :

  • Améliorer la santé et le bien-être des femmes victimes de violences : Les violences ont des conséquences dévastatrices sur la santé physique et mentale des victimes. Elles peuvent mener à des blessures graves, des maladies chroniques, des troubles psychologiques comme la dépression et l’anxiété, et même au suicide.
  • Accompagner les femmes victimes à se reconstruire : En exprimant la solidarité avec les victimes et en soutenant la justice sociale.
  • Sensibiliser et éduquer les générations futures : En éduquant et sensibilisant les jeunes pour prévenir la perpétuation de la violence.

1. Améliorer la santé et le bien-être des femmes victimes de violences avec les Maisons des Femmes

La Fondation ENGIE accompagne les victimes de violence au travers de deux partenariats avec la Maison des Femmes de Saint Denis et la Maison des Femmes Marseille Provence.

La Maison des femmes de Saint-Denis est un lieu de prise en charge unique des femmes en difficulté ou victimes de violences. 

Rattachée à l’hôpital Delafontaine, la Maison des Femmes propose une prise en charge pluridisciplinaire de proximité, avec un guichet unique. Elle a été créée en juillet 2016 par la Dr Ghada Hatem.

Objectif : apporter une aide concrète et complète aux femmes en difficulté en Seine-Saint-Denis, dans le Val d’Oise, les Hauts-de-Seine et à Paris.

La Maison des femmes intervient aussi dans les domaines de la prévention, de l’éducation et de la santé publique. Un centre d’aide et d’accompagnement pour les femmes victimes de violences, un lieu de prise en charge unique et innovant

La Maison des femmes, c’est une unité du Centre hospitalier de Saint-Denis, une structure médico-sociale où des soignants et des acteurs du monde de la police, de la justice et du droit, mais aussi des thérapeutes, des artistes et des sportifs, coopèrent pour accompagner les patientes vers la guérison et l’autonomie.

4 100 femmes accompagnées en 2024

En 2024, La Maison des femmes de Saint-Denis a :

– réuni une équipe de 66 professionnels, équivalent à 35 ETPT,

– accompagné 4 100 femmes au sein de ses quatre unités, dont 1 800 au sein des unités Violences, Mutilations sexuelles et Coralis,

– réalisé plus de 15 000 consultations,

– accueilli entre 60 et 90 femmes par jour.

La Fondation ENGIE accompagne l’unité Cor.Al.I.S (Centre d’Accueil pour Infractions Sexuelles)

Cette unité a vocation à accueillir toutes les femmes victimes de violences sexuelles récentes qu’elles aient ou non déposé plainte. Elle leur permet de bénéficier d’un examen médico-légal en urgence et du recueil de preuves à travers des prélèvements conservatoires, stockés sur place pour une durée de 3 ans, si la patiente n’est pas décidée à déposer plainte.

La pertinence du dispositif est aujourd’hui démontrée puisque des patientes qui n’avaient pas souhaité déposer plainte au moment de l’agression, reviennent vers nous quelques mois plus tard, soulagées de savoir que les preuves ont bien été conservées et qu’une démarche peut être initiée.

L’UNITÉ CORALIS – CHIFFRES CLEFS

53 femmes reçues, dont :

19 à la demande directe des autorités judiciaires

34 sans dépôt de plainte préalable, parmi lesquelles 8 ont abouti à des démarches judiciaires ultérieures.

La maison des Femmes Marseille Provence

Créée en 2022, la Maison des Femmes Marseille Provence est un lieu unique d’accueil, d’écoute, de soin, d’accompagnement et d’orientation pour les femmes vulnérables et victimes de violences.

Depuis l’ouverture en janvier 2022, l’activité de la MDF est en forte croissance, la file active (le nombre de femmes suivies depuis l’ouverture et actuellement dans un parcours de soin à la MDF) est d’environ 700 femmes à début novembre 2024. Plus de 7200 consultations ont été réalisées.

En septembre 2024, la Maison des Femmes Marseille Provence a emménagé dans un nouvel espace de 460m2 grâce à la Fondation ENGIE qui permet d’accueillir les femmes victimes dans de meilleures conditions, mais permet aussi au personnel de travailler dans un espace plus adapté.

Il y a plus de salles de consultations et d’activités collectives, une salle de réunion, une pièce dédiée pour la garde des enfants, et une salle pour stocker le matériel à offrir aux femmes accueillies. Cet agrandissement permet d’animer les ateliers sur place, et donc de retrouver cette notion de « guichet unique » qui facilite la prise en charge globale des femmes bénéficiaires et de leurs enfants.

Ce nouvel espace a également permis de nouveaux recrutements pour répondre à la hausse d’activité : une psychiatre, un médecin généraliste, 2 créations de postes d’internes (médecin généraliste et gynéco-obstétrique), des stagiaires, une chargée de développement en charge des partenariats et de la recherche de financements, mais aussi de nombreux bénévoles pour accueillir les femmes, et s’occuper de leurs enfants pendant les consultations.

De nombreuses activités pour accompagner les femmes victimes

Un atelier de danse AFROVIBE en lien avec le Ballet National de Marseille a été créé en septembre 2023. Les cours ont eu lieu chaque semaine dans les locaux du Ballet National de Marseille avec Maryam Kaba, chorégraphe et Marie Koch, autrice. A l’issue des 5 séances découvertes, 18 femmes se sont lancées en tant que danseuses amatrices dans la création du spectacle de danse « Joie UltraLucide » qui a été joué sur scène dans le cadre du festival de Marseille (juin 2024) et qui sera valorisé lors de différents événements à Marseille et sa région au cours de l’année 2024 et 2025.

Des ateliers de karaté hebdomadaires en partenariat avec Fight for Dignity qui connaissent un franc succès auprès des femmes qui y participent.

Plus de 200 femmes ont participé à au moins 1 séance de karaté depuis l’ouverture.

Sensibilisation et prévention avec la Fondation ENGIE

Sur la période juillet 2023 – novembre 2024, la Maison des femmes a réalisé 131 actions de prévention sur la thématique des violences faites aux femmes et/ou de la santé sexuelle, auprès du grand public (évènements, festivals…), des institutions, des entreprises, des associations, des élèves en milieu scolaire, des centres d’hébergement, dans les établissements sanitaires et médico-social. Ces interventions permettent de faire évoluer les mentalités, et reculer les violences pour une société plus solidaire.

En parallèle, la 1ère promotion du programme universitaire Women for Women a été diplômée en juin 2024, après 68h de cours, 15h d’observation dans les structures du réseau et 4 mois de stage en associations.

Ce certificat universitaire créé par la Maison de femmes Marseille Provence et porté par Aix Marseille Université, destiné aux femmes issues des Quartiers Prioritaires de la Ville de Marseille, repose sur un modèle de « pair-éducation ». Les étudiantes sont formées à 7 thématiques autour de la santé des femmes, et ont pour objectif final de conduire à leur tour des actions d’éducation à la santé sous forme d’ateliers, auprès d’autres femmes. Ces actions permettent de favoriser le retour aux soins des personnes vulnérables et éloignées du système de santé (Indicateur de santé au plus bas dans les QPV). De plus, cette formation permet aux femmes de développer leur capacité d’action, leur estime de soi et une reconnaissance académique qui favoriser leur réinsertion sociale et professionnelle. La seconde promotion a débuté en septembre 2024 (13 étudiantes).Une recherche de financement pour la 3e promotion (2025-2026) va être lancée.

2.  Accompagner les Femmes victimes pour se reconstruire

Femmes Avec… offrir aux victimes un accompagnement juridique et psychologique, deux leviers indispensables pour l’autonomisation des victimes.

Depuis 2024, la Fondation ENGIE est aux côtés de Femmes avec…,fondée par Muriel Reus,  pour apporter un soutien concret aux femmes victimes de violences pour qu’elles retrouvent leur indépendance et leur place dans la société. 

Grace à la Fondation ENGIE, Femmes avec… intensifie ses actions pour écouter et accompagner les femmes en difficulté, en leur offrant un accès renforcé à des avocats, juristes, psychologues et experts en reconversion professionnelle.

Favoriser le retour à l’emploi des femmes victimes de violences est essentiel dans la mission de Femmes avec… : L’activité professionnelle est une voie essentielle de résilience. Elle permet aux femmes  de se reconstruire à travers des projets concrets et de se projeter dans un avenir plus serein.

  • Reconstruction de l’autonomie : L’accès à un emploi stable permet aux femmes victimes de violences de retrouver leur indépendance financière, clé pour sortir de la dépendance liée à l’emprise de l’agresseur.
  • Briser le cycle de la violence : L’emploi offre une voie concrète pour se reconstruire, en rompant l’isolement et en créant des opportunités pour renouer avec une vie sociale et professionnelle, loin des violences subies.
  • Renforcer la confiance en soi : Le retour à l’emploi redonne confiance aux femmes. Travailler leur permet de reprendre le contrôle de leur vie.
  • Accès aux droits et à la protection sociale : L’insertion professionnelle assure non seulement une sécurité financière, mais aussi l’accès à des droits, indispensables pour se protéger et envisager un avenir serein.

A l’international, Accompagner les survivantes à se reconstruire en RDC

Créée en septembre 2019 sous l’impulsion de la Grande-Duchesse de Luxembourg, avec le soutien de la Fondation ENGIE, l’association agit comme « porte-voix » pour donner à entendre les victimes mais aussi les porteurs de solutions. Elle organise ainsi des rencontres régulières autour de thématiques précises, en conviant à la fois des survivantes et des experts internationaux spécialisés. L’objectif est de dresser des constats factuels, de proposer des solutions et d’agir auprès des instances internationales afin de faire bouger les lignes.

Le programme de l’association a été développé autour de plusieurs thématiques directement définies lors du premier Forum de Luxembourg avec les survivantes et les spécialistes :

– Soigner les blessures physiques, psychologiques
– Mettre fin au stigma pour les victimes
– Unifier les règles et les lois pour la justice
– Réparer les préjudices
– Développer la technologie et la finance au profit des victimes
– Améliorer l’inclusion des enfants nés du viol.

Projet de soutien aux survivantes de l’hôpital Panzi, RDC pour leur indépendance économique

Une centaine de groupes armés s’affrontent quotidiennement dans le Sud-Kivu depuis 1996, des milices, les forces armées congolaises et des Etats voisins sont impliqués dans ce conflit incessant. Les viols et violences sexuelles sont utilisés systématiquement comme arme de guerre depuis 2021, on note une recrudescence effrayante : 74 275 cas de violences sexuelles basées sur le genre ont été recensées.

Stand Speak Rise Up! s’investit pour les survivantes de l’hôpital de Panzi, créé par le Dr Mukwege afin de leur venir en aide avec des projets concrets pour contribuer à leur réinsertion et autonomisation économique.

Afin de répondre aux besoins des survivantes, la Fondation ENGIE et Stand Speak Rise Up! soutiennent un projet d’autonomisation et de création de perspectives professionnelles dans le métier de la menuiserie, et de construction de maisons pour les femmes survivantes de violences sexuelles et autres personnes vulnérables dans le Sud-Kivu.

Objectifs :

  • Construction / équipement d’un atelier de menuiserie avec capacités d’entreposage
  • Formations en menuiserie et entrepreneuriat ainsi que distribution de kits d’outils
  • Production de lits et autres équipements de l’hôpital et des cliniques juridiques
  • Construction de maisons individuelles

En complément, la Fondation ENGIE avec l’ONG interne de collaborateurs, Energy Assistance, installera des panneaux solaires pour les maisons construites afin d’apporter l’énergie.

IMPACT : entre 1 000 et 1500 femmes et filles bénéficiaires

Projet d’aide aux survivantes de violences sexuelles dans le territoire de Kabare et dans la ville de Goma en République démocratique du Congo

La Fondation ENGIE accompagne Stand Speak Rise Up! dans son projet de soutien aux activités d’agriculture et d’élevage initié en 2020

Objectifs :

  • Multiplication des activités rémunératrices et renforcement de la résilience et la sécurité alimentaire de la communauté rurale (femmes et enfants)
  • Formation de survivantes au métier d’agricultrice, à la gestion des stocks et à la vente de produits en direct

IMPACT : entre 300 et 500 femmes et filles bénéficiaires 

3. Sensibiliser et éduquer

Avec l’association LES RESONANTES qui prévient et lutte contre les violences sexistes et sexuelles. 

Les ateliers de sensibilisation organisés par l’association Résonantes sont conçus pour éduquer et sensibiliser le public aux violences sexistes et sexuelles. Ils proposent divers formats adaptés à différents publics, notamment des expositions interactives, des formations, des conférences, des spectacles-débat, et même une application mobile de sécurité personnelle.

En 2024,

  • 38 ateliers organisé pour 579 personnes sensibilisées  : 55.6% de filles, 43,8% de garçons et 0,5 % de personnes non-binaires
  • 48 professeurs accompagnants

Ces ateliers abordent les mécanismes des violences, leurs conséquences sur la santé physique et psychologique, et offrent des conseils pour accompagner et soutenir les victimes. Ils visent à créer un environnement où chacun peut comprendre, reconnaître et combattre ces violences.

IMPACT des Ateliers

  • 68 témoignages écrits de jeunes victimes d’agressions
  • 14 témoignages oraux directs de jeunes victimes
  • 14 victimes accompagnées

La Fondation ENGIE accompagne également les ateliers de slam organisés par l’association Résonantes qui sont  une excellente manière de sensibiliser et d’engager les jeunes sur les questions des violences sexistes et sexuelles. Ces ateliers permettent aux participants de s’exprimer à travers la poésie et le slam, en explorant des thèmes tels que l’égalité, la justice et la dignité.

Les ateliers incluent généralement des sessions d’écriture, où les participants apprennent à structurer leurs textes et à utiliser des figures de style pour transmettre leur message de manière efficace. Ils se terminent souvent par des performances où les participants peuvent partager leurs créations avec un public.

Avec les CAMPUS UNESCO pour éduquer les générations futures

A l’occasion de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, l’UNESCO  a organisé un CAMPUS UNESCO sur « le Respect et l’Egalité des genres » avec la Fondation ENGIE pour 300 scolaires.

Pour sensibiliser les nouvelles générations sur le contexte global et les différentes formes de violences à l’égard des femmes, les violences dans l’espace digital et la réduction des inégalités par l’éducation, ont pu 3 expertes.

58 % des femmes dans le monde subissent des violences de genre facilitées par la technologie. Les générations « Z » et « Millennials » sont les plus touchées.

Merci aux expertes pour leur intervention
Claudine Serre, Ecrivaine, historienne et diplomate française, Conseillère sciences humaines, sociales et genre à la Commission nationale française pour l’UNESCO
– Begoña Lasagabaster, Directrice du Secteur Gender, UNESCO au sujet des violences numériques, le cyberharcèlement et la désinformation genrée.
Egalités des genres et éducation : scolarisation et inclusion des femmes et des filles dans les systèmes éducatifs.


La Fondation ENGIE partenaire du premier Campus de la Solidarité Bioforce du 19 au 22 novembre 2024 à Vénissieux

Leader français de la formation pour les personnels humanitaires basé à Vénissieux, Bioforce crée, développe et renforce les compétences des personnes et des organisations mobilisées dans les interventions de solidarité. La Fondation ENGIE, partenaire de Bioforce pour la formation des collaborateurs d’ENGIE qui partent en mission humanitaire avec Energy Assistance, a souhaité soutenir une initiative forte et innovante au cœur des territoires pour les acteurs de la solidarité.

Le Campus de la Solidarité à Vénissieux :  Un événement pour renforcer les compétences des acteurs de l’urgence sociale et solidaire au cœur des Territoires

Du 19 au 22 novembre, Bioforce organise en effet  la première édition lyonnaise du Campus de la Solidarité à Vénissieux :  un campus pour outiller les acteurs de la solidarité et mieux répondre aux défis locaux interconnectés aux enjeux globaux 

Après deux grands succès au Sénégal et en Ukraine, ce premier Campus est destiné aux acteurs de la solidarité locale et internationale et de l’urgence sociale de la Région Rhône Alpes. En co-partenariat avec la Fondation de France et la Fondation ENGIE, cette initiative vise à former ces acteurs locaux aux enjeux et défis actuels de la solidarité et de l’aide sociale en France

Si l’action habituelle de Bioforce est de permettre au plus grand nombre d’acteurs humanitaires possible d’être efficaces, engagés et employables, de les former pour agir avec efficacité auprès des populations vulnérables en leur apportant des solutions de formation et d’accompagnement, les acteurs locaux de la solidarité sont amenés à s’adapter. Face aux crises climatiques, migratoires et sociales, l’Europe devient en effet aussi un territoire de vulnérabilité. Mieux préparer ces acteurs de solidarité ici à répondre à  ces nouveaux types de crise est l’enjeu du Campus de la Solidarité organisé par Bioforce à Lyon, avec le soutien de la Fondation ENGIE.

Une semaine pour construire collectivement des réponses aux crises actuelles et à venir

Dans un monde à la fois fragile et interconnecté, les grandes questions internationales ne restent pas sans répercussions locales. Une grande majorité de crises ici entrent en résonance avec une problématique internationale (climat, migration, sanitaire…). Ces crises successives, qu’elles soient migratoires, sanitaires ou sociales, mettent en première ligne les acteurs du social et de l’insertion qui se mobilisent afin de venir en aide aux populations les plus fragiles et les plus vulnérables, en leur apportant des solutions de logement, d’accès à la nourriture ou aux soins.

Ces acteurs de l’urgence sociale font face à des contextes d’intervention de plus en plus complexes, avec des situations interconnectées entre le niveau local et international. Le Campus de la solidarité nous permet d’interroger la manière dont ces acteurs doivent intégrer les enjeux et se préparer au mieux à y répondre” explique Dorothée Lintner, Directrice Générale de Bioforce.

Bioforce est implantée aux Minguettes, un quartier populaire de Vénissieux, et a toujours été engagée sur ce territoire : sensibilisation auprès des jeunes publics, projets tutorés des étudiants au sein d’associations locales, nombreux diplômés insérés en urgence sociale et solidarité locale.

Bioforce a aujourd’hui pour ambition de renforcer cet engagement en développant des actions spécifiques adaptées aux acteurs locaux de la solidarité. Préparation pratique et opérationnelle, maîtrise des interventions en environnements multiculturels sont les deux savoir-faire principaux de Bioforce : un enseignement pratique qui sait prendre en compte les enjeux multiculturels et géopolitiques des contextes d’intervention.

La Campus de la Solidarité : Proposer, le temps d’une semaine, à ces acteurs de solidarité de venir découvrir de nouvelles compétences, mais aussi coopérer, renforcer ses réseaux professionnels, échanger avec des pairs au Liban confrontés à une nouvelle crise d’ampleur, s’informer sur les innovations… C’est ce que propose Bioforce lors d’un événement éphémère, le Campus de la Solidarité, à Vénissieux, du 19 au 22 novembre prochain, à l’heure du lancement annuel du plan Grand Froid. Dans un monde où la prévention des crises devient un vrai sujet de préoccupation ici, et où l’aide humanitaire là-bas est fortement remise en question, le Campus de la Solidarité sera aussi l’occasion de s’interroger collectivement sur le sens de l’engagement dans nos sociétés.

Le Campus de la Solidarité s’inscrit dans le cadre du Festival des Solidarités internationales et est soutenu par la Métropole de Lyon et la Fondation de France.
Dans un contexte où la prévention des crises devient un vrai sujet de préoccupation, cette première édition, permettra aux acteurs des solidarités de découvrir de nouvelles compétences, de coopérer, de renforcer ses réseaux professionnels, d’échanger et de s’informer. Elle sera également l’occasion de questionner collectivement, le sens de l’engagement dans nos sociétés.

En soutenant cet événement, la Fondation ENGIE renforce son action en faveur de la solidarité au   cœur des territoires et favorise le dialogue entre les acteurs sociaux. 

A cette occasion, la Fondation ENGIE donnera la parole aux collaboratrices et collaborateurs d’ENGIE engagés ainsi qu’à ses partenaires.

Depuis 2001, les collaboratrices et collaborateurs d’ENGIE s’engagent pour donner l’accès à l’énergie au plus grand nombre avec l’ONG interne d’ENERGY assistance

Lors ce campus, deux jeunes boursiers soutenus par la Fondation ENGIE témoigneront sur leur parcours 

La Fondation ENGIE soutient également  Bioforce pour la formation de 4 jeunes issus des quartiers prioritaires de la ville (QPV) de la Métropole de Lyon, aux métiers de l’action humanitaire et/ou de l’urgence sociale en France via deux formations : 

  • Formation 1 : Logisticiens de l’action humanitaire 
  • Formation 2 : Responsables de l’Environnement de travail et de logistique humanitaire (Bachelor)

Deux jeunes boursiers qui ont intégré la formation « Logisticiens de l’action humanitaires » témoigneront lors du Campus pour présenter leur parcours, les difficultés qu’ils rencontrent et comment les surmonter. 

Ces deux jeunes issus de quartiers prioritaires de la ville de Lyon présenteront leurs parcours riches et divers malgré de nombreuses difficultés. L’un a évolué dans la préparation de commandes, la mise en rayon et la livraison au sein de grandes enseignes françaises, tandis que l’autre, étudiant en informatique, a des premières expériences humanitaires, à la fois bénévoles et salariées, au sein d’ONG au Tchad.

Cette formation est une opportunité pour ces jeunes d’acquérir des compétences essentielles pour devenir logisticiens humanitaires (niveau bac+2) et d’œuvrer au sein d’associations engagées dans l’urgence sociale. 

Bioforce 

Bioforce donne le pouvoir d’agir aux humanitaires afin d’apporter une aide adaptée et de qualité aux personnes affectées. Depuis 40 ans, cette équipe, principalement constituée d’humanitaires, crée, développe et renforce les compétences des personnes et des organisations mobilisées dans les interventions de solidarité, en adaptant ses formations aux profils de chacun. 


Trophées des Atlas de la biodiversité communale 2024 avec l’Office Français de la Biodiversité

Crédit photo : Philippe Massit / OFB

Le 5 novembre 2024 a eu lieu la remise des Trophées des Atlas de la biodiversité communale (ABC), de l’Office Français de la Biodiversité en clôture de la première journée des Colloque national des ABC  à Strasbourg en présence de Gilles Bœuf, Administrateur de la Fondation ENGIE et Christophe Aubel Directeur Général Délégué de l’Office Français de la Biodiversité.

Cinq collectivités ont été distinguées parmi les 20 candidatures exprimées lors de la seconde édition de ce concours national organisé par l’Office français de la biodiversité (OFB) grâce au mécénat de la Fondation ENGIE.

Agir pour la préservation de la biodiversité au cœur des territoires avec la Fondation ENGIE et l’Office Français de la Biodiversité. Dans le cadre de son engagement en faveur de la Biodiversité, la Fondation ENGIE, mécène de l’Office Français de la Biodiversité, soutient la valorisation et capitalisation d’expérience du programme des Atlas de la biodiversité depuis 2023.

Mettre en lumière des Atlas de la biodiversité communale

Un atlas de la biodiversité communale (ABC) est une démarche engagée localement par une commune ou une structure intercommunale visant à agir stratégiquement en faveur de la biodiversité. Il permet d’identifier les enjeux de biodiversité sur le territoire concerné, de mobiliser les citoyens et acteurs locaux et d’établir un plan d’actions pour guider les politiques locales en faveur de la biodiversité. 

Afin d’encourager le déploiement des ABC dans tous les territoires, les Trophées des ABC vise à valoriser des projets exemplaires afin de mettre en lumière de bonnes pratiques ainsi que de démontrer la pertinence des ABC comme véritables outils locaux de connaissance, de mobilisation et d’aide à la décision.

Découvrez les 5 collectivités lauréates des trophées 2024

Suite au lancement de l’appel à candidatures le 3 juin 2024, 20 collectivités ont présenté leur ABC dans l’une ou plusieurs des trois catégories : Connaître ; Mobiliser ; Agir et planifier. Un jury national associant l’OFB aux associations partenaires du programme ABC a désigné cinq collectivités lauréates :

Catégorie « Connaître » : la commune de Dol-de-Bretagne, pour son travail remarquable de connaissance en sélectionnant des taxons liés aux particularités paysagères du territoire, utiles à la fois dans l’amont mais aussi dans la poursuite de l’ABC pour la cartographie des zones à enjeux.

Catégorie « Mobiliser » (ex-aequo) :

  • La commune de Mûrs-Erigné, pour son inscription complète dans une stratégie de biodiversité au-delà de son territoire, ainsi que pour sa capacité d’implication active des citoyens dans l’ABC.
  • La commune Thuir, pour l’appropriation complète de l’ABC par la collectivité, les nombreux rapports de grande qualité et le lien direct créé avec les habitants.

Catégorie « Agir et planifier » : la commune de Rémire-Montjoly, pour la robustesse exemplaire de son plan d’action axé tant sur la préservation des milieux à enjeux, que dans la restauration des corridors écologiques.

Prix spécial « toutes catégories » : la Communauté de communes Vallée de l’Hérault, pour l’excellence du projet : de la connaissance au passage à l’action, en parvenant à une mobilisation efficiente et pérenne notamment par une formation innovante des viticulteurs aux enjeux de biodiversité des haies.


Journée Mondiale de l’Énergie 2024

L’énergie pour tous au cœur des engagements de la Fondation ENGIE
Plus d’1 000 000 de bénéficiaires en 5 ans

La Journée Mondiale de l’Energie est l’occasion pour la Fondation ENGIE de réaffirmer son engagement en faveur de l’accès à une énergie propre et durable pour tous. Aujourd’hui, 1,3 milliard de personnes dans le monde vivent sans accès à l’énergie, ce qui les prive de services essentiels comme l’eau potable, l’éducation et des soins de santé.
En cette journée particulière, la Fondation ENGIE met en lumière son programme « Accès à l’Energie pour toutes et Tous ».
En 2023, ceux sont 50% des projets de la Fondation qui étaient dédiés à l’accès aux énergies renouvelables et durables et à la biodiversité partout dans le monde.

La mobilisation des collaborateurs au cœur du programme « Accès à l’Energie pour Toutes et tous » de la Fondation ENGIE

Ce programme phare mené par l’ONG interne Energy Assistance, mobilise les collaborateurs d’ENGIE pour mener des projets humanitaires d’électrification dans les zones les plus vulnérables.

Energy Assistance Belgique et France ont battu des records depuis 2020 grâce à l’engagement des collaborateurs pour donner l’accès à l’énergie

Maria Carolina, collaboratrice du Groupe ENGIE nous parle de son engagement auprès d’Energy Assistance Belgique.

Sa motivation pour rejoindre EA :
« […] J’aime combiner des compétences techniques et de gestion de projet pour apporter quelque chose de bénéfique à la société. C’est pourquoi j’apprécie particulièrement l’association EAF. »

Son retour d’expérience :
«  Tant sur le plan personnel que professionnel, cette expérience m’a permis de constater le pouvoir d’impact d’un groupe engagé autour d’une idée. Ensemble, nous allons plus loin ! »

Sa connexion avec les collaborateurs :
« […] J’ai également pu faire connaissance avec plusieurs personnes des entités et départements différents, même à distance, et je trouve que cette interaction entre les employés du groupe est essentielle pour que nous fonctionnions selon l’esprit One ENGIE. »

Découvrez le témoignage complet de Maria Carolina Safanelli dans la vidéo suivante :

L’énergie pour l’éducation : le projet Abiogas au Brésil

L’un des projets phares de l’année 2024 est le Projet Abiogas. Il vise à installer des biodigesteurs dans 18 écoles au Brésil, permettant de produire du gaz renouvelable à partir de déchets organiques. Cette installation, tout en répondant au besoin de gestion des déchets permet également de produire de l’énergie pour les écoles. Ce projet favorise les conditions d’apprentissages pour environ 3 000 élèves dans 13 Etats du pays.

L’énergie pour sauver la vie des femmes en République démocratique du Congo.

En 2023, la Fondation ENGIE avait soutenu le docteur Denis Mukwege, prix Nobel de la Paix 2018, dans son combat pour aider les femmes et jeunes filles survivantes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi. A l’époque, la Fondation ENGIE avait signé une convention pour l’électrification de 5 blocs opératoires dans l’hôpital. 

En 2024, la Fondation ENGIE, en collaboration avec EA et  aux côtés de la Fondation Panzi, électrifiera une vingtaine de maisons dans un village du Sud-Kivu afin de favoriser la réinsertion sociale des survivantes prises en charge à l’Hôpital de Panzi. A terme, une vingtaine de famille et par extension une centaine de villageois pourront avoir accès à l’électricité.

L’énergie pour l’autonomisation des personnes en difficulté dans les régions les plus reculées du Bangladesh.

En 2025, la Fondation ENGIE et l’ONG Friendship célèbrerons leur 15 ans de collaboration. Créée par Runa Khan, importante figure du Bangladesh, l’ONG travaille à l’autonomisation des personnes en difficulté dans les régions les plus reculées du Bangladesh, grâce à une approche de développement durable et intégré.  
Le premier projet initié par l’ONG Friendship consistait à installer des panneaux solaires dans les villages pauvres du Brahmapoutre. Depuis, l’ONG diversifie ses actions en menant de nombreux projets sur l’ensemble du territoire.  

La Fondation ENGIE intervient à double titre :  

  • En apportant son soutien financier depuis 2010 
  • Via son soutient aux ONG Energy Assistance

Goynar Potol – Village solaire​

  • Objectif : Créer une attractivité économique pour ce village 
  • Solution : 2023 : Installation de 224 panneaux solaires et de 192 batteries / 2024 : Sécurisation et monitoring
  • Impact / Bénéficiaires : 1er village solaire au Bangladesh / 124 foyers, 24 boutiques, 2 mosquées, 1 école et 1 office para-légal, soit 3 000 habitants qui ont désormais accès à l’électricité

Villages de Dhaka et Haluagat - Projet pilote de 40 biodigesteurs​

  • Objectif : Produire du biogaz pour alimenter en énergie les communautés au nord et au sud du Bangladesh
  • Solution : Projet pilote en préparation de 40 biodigesteurs pour la production de biogaz 
  • Bénéficiaires : 240 bénéficiaires dans les communautés locales du nord et du sud du pays

Natun - Installation d'une pompe solaire

  • Objectif : Permettre une alimentation en eau stable pour renforcer l’autonomie agricole des communautés
  • Solution : Installation d’une pompe solaire
  • Bénéficiaires : 40 ménages ont été alimentés en eau 

Une Action Concrète pour un Avenir Durable

La Journée Mondiale de l’Énergie est l’occasion de rappeler que l’accès à l’énergie est un droit fondamental. Grâce à des initiatives comme l’Accès à l’Energie pour Toutes et tous de la Fondation réalisées avec Energy Assistance, des milliers de personnes bénéficient d’un avenir énergétique plus propre et plus équitable.


La Journée internationale de la fille 2024

Le 11 octobre, c’est la Journée internationale de la fille qui a pour thème cette année « La vision des filles pour l’avenir ».

Ce thème exprime à la fois la nécessité d’une action urgente et un espoir qui persiste, porté par le pouvoir de la voix des filles et leur vision de l’avenir.
La génération des filles d’aujourd’hui est touchée de manière disproportionnée par les crises mondiales liées au climat, aux conflits, à la pauvreté et au recul des acquis durement obtenus en matière de droits de l’homme et d’égalité des sexes. Trop de filles sont encore privées de leurs droits, ce qui restreint leurs choix et leur avenir.

L’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes font partie intégrante de chacun des 17 objectifs. Ce n’est qu’en garantissant les droits des femmes et des filles dans tous les objectifs que nous parviendrons à la justice et à l’inclusion, à des économies qui fonctionnent pour tous et au maintien de notre environnement commun, aujourd’hui et pour les générations futures.

Quelques chiffres de l’ONU

  • Près d’une fille sur cinq ne termine toujours pas le premier cycle de l’enseignement secondaire et près de quatre filles sur dix ne terminent pas le deuxième cycle de l’enseignement secondaire.
  • Environ 90 % des adolescentes et des jeunes femmes n’utilisent pas l’internet dans les pays à faible revenu, alors que leurs pairs masculins ont deux fois plus de chances d’être en ligne.
  • Dans le monde, les filles âgées de 5 à 14 ans consacrent chaque jour 160 millions d’heures de plus que les garçons du même âge aux soins non rémunérés et au travail domestique.

La Fondation ENGIE a la conviction que le rôle et l’avenir des filles, futures femmes, sont essentiels pour contribuer à la réalisation des objectifs du Développement Durable.

La Fondation ENGIE porte une particulière attention pour les projets ayant un impact dans la vie des jeunes filles et qui encouragent la mixité via :

  • l’accès à l’éducation
  • la lutte contre les préjugés de genre

La Fondation ENGIE veut donner leur chance aux jeunes filles.

Focus sur 3 projets

Sensibilisation des jeunes filles à l’écologie au Cambodge avec Toutes à l’Ecole

Créée en 2005 par la journaliste Tina Kieffer, l’association Toutes à l’école s’engage à offrir une éducation à 1700 petites et jeunes filles défavorisées au Cambodge.

Son objectif : leur dispenser une instruction de haut niveau afin qu’elles deviennent des femmes libres et instruites, capables de transmettre le meilleur à la génération suivante et de jouer un rôle utile pour leur pays, dans un monde plus respectueux de l’environnement.

Chaque année, 100 nouvelles petites filles âgées de 5 à 6 ans issues de la grande pauvreté intègrent la maternelle du campus Happy Chandara, à Prek Thmey dans la banlieue de Phnom Penh.

Elles auront l’opportunité d’y suivre un cursus scolaire jusqu’au baccalauréat de grande qualité en khmer, en anglais et en français.

Toutes à l’école accompagne ensuite les jeunes bachelières de Happy Chandara (chaque année 100 % de réussite de bac) dans leurs études supérieures en les hébergeant dans ses deux foyers d’étudiantes à Phnom Penh, au sein desquels elles se construisent une vie d’adulte autonome dans un environnement sécurisé.

La Fondation ENGIE accompagne la Green Team, l’engagement écologique de l’école.

Au fur et à mesure que les projets green de Happy Chandara ont gagné en importance, la nécessité d’une équipe entièrement dédiée à leur mise en application s’est fait ressentir. Cette équipe s’est progressivement constituée autour d’un ingénieur en agronomie et d’un responsable projets verts rapidement rejoints par deux anciennes étudiantes du campus (toutes deux diplômées de l’Université Royale d’Agriculture du Cambodge) et régulièrement renforcés par des stagiaires issus de grandes écoles d’ingénieurs.

En plus d’être devenue le laboratoire d’innovation du campus, cette équipe mène un projet d’insertion professionnelle : les jardiniers sont des pères de famille issus de la communauté du village.

L’ensemble de ces forces vives a permis au campus Happy Chandara de recevoir en novembre 2023 une éco-certification du ministère de l’Environnement cambodgien. Cette distinction est fondée sur 15 critères environnementaux stricts (utilisation d’énergies vertes, matériaux écologiques…) que la Green Team a su pérenniser dans le quotidien du campus.

En parallèle de la création d’un campus responsable, la Green Team est également en charge du développement d’une agroécologie destinée à alimenter les cantines de l’école. Cette agroécologie comporte des applications pédagogiques fondée sur des projets de production innovants.

Ateliers de sensibilisation à la transition écologique

Objectif : éveiller les consciences des 1 300 élèves et de la communauté.

Les cours d’Ouverture Sur le Monde permettent aux élèves d’explorer les enjeux mondiaux actuels avec 400 heures de cours de permaculture pour tous les niveaux de classes afin d’apprendre aux élèves la culture sans pesticides et des ateliers Fresque du climat désormais obligatoires pour tout le personnel du campus.

Projet communautaire green
Objectif : encourager les pratiques durables et renforcer l’engagement de chacun envers la protection de notre planète.
• Cours sur le tri des déchets pour apprendre les bonnes pratiques concernant le recyclage.
• Echanges de paniers alimentaires contre des sacs de déchets plastique rapportés par les familles des élèves.
• Visite pédagogique de l’usine de recyclage Gomi, près de Phnom Penh, pour mieux comprendre le processus de recyclage.
• Organisation d’une journée de sensibilisation sur le campus, avec pour objectif d’éliminer les plastiques à usage unique et de promouvoir les 5 « R » : Réduire, Réutiliser, Recycler, Refuser et Rendre à la terre.
Cette journée a été enrichie par diverses activités :
• une collecte de déchets en partenariat avec l’ONG One Earth One Ocean ;
• un atelier animé par Gomi Recycle et l’ONG Only One Planet ;
• des jeux éducatifs pour faire prendre conscience des impacts négatifs des plastiques sur l’environnement.

Tola CHHORN étudiante à l’Ecole des Mines

La Fondation ENGIE a permis à Tola CHHORN de suivre ses études en France grâce à une bourse.
Après avoir été major de sa troisième année à l’Institut de Technologie du Cambodge, Tola CHHORN a fait sa rentrée en master 2 à l’école des Mines d’Alès en septembre 2023.

Thola s’est très bien intégrée et continue son cursus pour devenir ingénieur minier.

Elle est logée dans la Maison des élèves, ce qui lui a permis de faire des rencontres et d’évoluer dans un cadre de travail enrichissant et sécurisant.

Tola a validé ses 2 semestres avec de très bons résultats et elle est actuellement en stage dans un bureau d’études géotechniques en tant assistant ingénieur.

Découvrez le portrait de Tola

L’énergie pour Renforcer l'éducation de 600 filles de l'école secondaire pour filles de Likuni, Malawi

Les collaborateurs d’ENGIE volontaires d’ENERGY ASSISTANCE Belgique ont contribué à améliorer le paysage éducatif de 600 jeunes filles de l’école secondaire pour filles de Likuni, au Malawi, grâce à l’installation de panneaux solaires et de batteries.

Le Malawi est confronté à de fréquentes coupures de courant qui perturbent le processus d’apprentissage. L’énergie solaire est une source d’énergie fiable qui permet non seulement d’éclairer les salles de classe, mais aussi de contribuer au bien-être de notre planète.

Éclairer le chemin de l’éducation :

L’école secondaire pour filles de Likuni, un internat situé près de Lilongwe, accueille 600 filles. Le système solaire permet non seulement d’éclairer les salles de classe après la tombée de la nuit (vers 17 heures en raison de la latitude), mais aussi d’alimenter 30 ordinateurs, donnant ainsi accès à des outils pédagogiques modernes. Nous croyons fermement que chaque fille mérite une chance d’avoir un avenir brillant, et que l’accès à l’éducation est la clé.

Bien que l’école soit connectée au réseau local (ESCOM), des coupures de courant persistantes ont conduit à l’installation de 22 panneaux photovoltaïques et de 4 batteries au lithium en guise de secours. Les panneaux ont été placés sur le toit du bâtiment scolaire, un local technique restauré abrite désormais l’équipement de régulation solaire, les boîtiers électriques et les batteries. Le système solaire (près de 10kWp avec une capacité de stockage de 19,2kWh) assure une alimentation électrique continue dans les salles de classe, la salle informatique et dans le bloc administratif pendant les pannes.

Vers la durabilité et la convivialité écologique :

Au-delà des salles de classe et du bloc administratif, les dortoirs, les cuisines, etc. ne sont toujours pas raccordés. Une étude de faisabilité est en cours pour alimenter la cuisine en biogaz. Cela permettrait de préparer les repas quotidiens sans avoir recours à l’électricité ou au bois de chauffage, et de fournir du biofertilisant pour le potager, offrant ainsi une solution respectueuse de l’environnement. Cette démarche vise à lutter contre la déforestation et à améliorer l’autosuffisance de l’école.

Favoriser la biodiversité pour un avenir durable :

Au-delà des salles de classe et du bloc administratif, les dortoirs, les cuisines, etc. ne sont toujours pas raccordés. Une étude de faisabilité est en cours pour alimenter la cuisine en biogaz. Cela permettrait de préparer les repas quotidiens sans avoir recours à l’électricité ou au bois de chauffage, et de fournir du biofertilisant pour le potager, offrant ainsi une solution respectueuse de l’environnement. Cette démarche vise à lutter contre la déforestation et à améliorer l’autosuffisance de l’école.

Le Leadership pour les jeunes collégiennes en Afrique du Sud avec Valued Citizen

Depuis 20 ans, la fondation ENGIE est l’un des partenaires historiques de l’ONG Valued Ctizens Initiative.

Valued Citizens est une association qui a pour objectif d’inspirer les individus à devenir des citoyens responsables, déterminés à mener leur vie en s’engageant dans la démocratie et l’économie sud-africain.

Depuis 2009, la Fondation ENGIE accompagne l’ONG sur le programme iNSIRE.
Ce programme iNSPIRE, a pour but de s’adresser au problème des inégalités entre les sexes et de la pauvreté dans les communautés en développant et en remettant en question la perception que les filles ont d’elles-mêmes, en favorisant leur bien-être émotionnel et en les aidant à devenir de jeunes leaders dans leurs communautés, en devenant les modèles positifs que les jeunes attendent.

Impact 2023 : 171 adolescentes « Valued Citizens » ont suivi les formations au Leadership et mis en place leur projet citoyen en réel, à moyenne échelle, au sein de leur communauté scolaire, ce qui a eu un impact direct sur 3197 élèves impliqués dans la réalisation de leur projet et un impact indirect sur 9414 collégiens.


La Fondation ENGIE, mécène de l’exposition « Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne » figure majeure de l’art brésilien, au Musée du Luxembourg

Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne – © Musée du Luxembourg

La Fondation ENGIE, mécène de la Saison croisée France Brésil 2025, est fière d’être partenaire du Grand Palais – Rmn pour l’exposition « Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne », présentée au Musée du Luxembourg, une exposition mettant à l’honneur une des figures majeures de l’art au Brésil.

A travers ce partenariat, la Fondation ENGIE fait vivre 3 de ses engagements et priorités :

Favoriser la Mixité.

En soutenant l’exposition Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne, la Fondation ENGIE souhaite mettre en lumière le travail d’une artiste femme, dont l’œuvre soulève des questions sociales étroitement liées à l’histoire de son pays : identité, culture indigène, lutte pour le droit des travailleurs, création d’une culture nationale, etc.. Engagée pour le renforcement du leadership des femmes, la Fondation ENGIE accompagne aussi le programme « Role Models » du think tank AWARE, pour mettre en valeur les artistes femmes dans l’histoire de l’art. Cette priorité s’inscrit dans l’engagement d’ENGIE pour favoriser la mixité qui se traduit par des actions concrètes inscrites au cœur de la stratégie du Groupe, destinées à faire progresser les femmes au sein de l’entreprise et à les accompagner dans leur développement de carrière

Favoriser l’accès des publics éloignés à la culture.

Le soutien de la Fondation ENGIE permettra notamment de développer des actions de médiation tout au long de l’exposition, en lien direct avec son engagement dans le champ social et en écho à la mission de service public du Grand Palais Rmn, qui consiste à rendre la culture accessible à tous les publics : organisation d’ateliers d’écriture destinés aux familles, accueil de jeunes publics éloignés de la culture, en partenariat avec l’association Gol de Letra, partenaire  historique de la Fondation et les réseaux de collaborateurs. 

Faire rayonner le Brésil

Pour la Fondation ENGIE, le soutien de l’exposition « Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne » s’inscrit aussi dans son engagement aux côtés de l’Institut français pour la Saison croisée France-Brésil 2025. Le groupe ENGIE est présent au Brésil depuis 25 ans. Le Brésil constitue le deuxième pays le plus important du groupe en termes de volume d’activités. Dans ce cadre, la Fondation ENGIE soutient un certain nombre de projets d’accès à la culture, d’insertion, de protection de la biodiversité et notamment Gol de Letra au Brésil, qui développe un programme d’éducation pour les jeunes les plus vulnérables des favelas. 

Le groupe ENGIE au Brésil : ce sont 2400 collaborateurs qui s’engagent chaque jour à promouvoir la production d’énergie renouvelable et à accélérer la transition vers une économie neutre en carbone. Avec une production électrique presque entièrement décarbonée et un rôle majeur dans la modernisation des infrastructures gazières.

Découvrez la bande annonce de l’exposition Tarsila do Amaral. Peindre le Brésil moderne au Musée du Luxembourg du 9 octobre au

Musée du Luxembourg Tarsila do Amaral Communiqué de presse

Présentation de l’exposition « Tarsila do Amaral Peindre le Brésil moderne » du 9 octobre 2024 au 2 février 2025 au Musée du Luxembourg, Exposition organisée par le GrandPalaisRmn et et le Musée Guggenheim Bilbao
Figure centrale du modernisme brésilien, Tarsila do Amaral (1886-1973) est l’une des artistes les plus connues et aimées au Brésil. Dès les années 1920, elle a été la créatrice d’une oeuvre originale et évocatrice, puisant dans l’imaginaire indigéniste et les instances modernisatrices d’un pays en pleine transformation.
Évoluant entre São Paulo et Paris, Tarsila do Amaral est une passeuse incontournable entre les avant-gardes de ces deux capitales culturelles. Après avoir forgé, à Paris, un univers iconographique « brésilien », mis à l’épreuve du cubisme et du primitivisme en vogue dans la capitale française, sa peinture est à l’origine du mouvement « anthropophagique », né à São Paulo en 1928. Faisant référence à la pratique indigène du cannibalisme comme « dévoration de l’autre » dans le but d’en assimiler ses qualités, il décrit, métaphoriquement, le mode d’appropriation et de réélaboration constructive, de la part des Brésiliens, des cultures étrangères et colonisatrices.
Au croisement de plusieurs cultures, dont les identités se définissent les unes par rapport aux autres, et sans échapper au paradoxe de représenter un Brésil populaire et « authentique », pourtant interprété par son regard de femme blanche, aristocrate, érudite et cosmopolite, l’oeuvre de Tarsila do Amaral soulève aussi des questions sociales, identitaires et raciales et nous invite à repenser les clivages entre tradition et avant-garde, centres et périphéries, cultures savantes et populaires.
Si Tarsila do Amaral a été largement reconnue et exposée dans son pays d’origine, encore rares sont les expositions qui lui ont été consacrées à l’étranger. Cette première rétrospective en France (avec environ 150 oeuvres rassemblées) souhaite combler ce manque, à l’heure où le Brésil occupe une place de plus en plus importante dans les discours critiques et historiographiques de l’art « mondialisé» et où les artistes femmes commencent à retrouver leur place dans les récits de l’histoire de l’art.
Parcourant sa riche production des années 1920, liée au modernisme brésilien, au mouvement « Pau Brasil » (1924-1925) et à celui de l’« Anthropophagie» (1928-1929) – où des paysages aux couleurs vives et aux lignes claires alternent avec des visions oniriques, mystérieuses et fascinantes – cette rétrospective est aussi l’occasion de présenter des aspects moins connus, voire inédits, de la carrière de l’artiste. Si sa dimension politique et militante est perceptible dans les oeuvres des années 1930, connotées par un réalisme à forte vocation sociale, le gigantisme onirique des années 1940, la géométrie presque abstraite de certaines compositions tardives, ainsi que la façon dont l’artiste réactualise, jusqu’aux années 1960, sa production antérieure, ne font que confirmer la puissance d’une oeuvre ancrée dans la culture de son temps, toujours originale et prête à se renouveler.


Le Centre des monuments nationaux se réjouit du mécénat accordé par la Fondation ENGIE pour la mise en œuvre de son projet mené en partenariat avec la LPO « Agir pour la protection et la connaissance de la biodiversité dans nos espaces naturels »

Le Centre des monuments nationaux et la Fondation ENGIE ont signé une convention de partenariat pour accompagner et développer les programmes déployés dans les parcs et jardins du CMN, en partenariat avec la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO). Le soutien de la Fondation E NGIE va ainsi permettre de poursuivre et déployer le travail commun entrepris depuis 10 ans par le CMN et la LPO et de porter le nombre de monuments participants en 2024-2025 de 9 à 15. Ce partenariat s’inscrit pour la Fondation ENGIE dans ses engagements : biodiversité et accès de tous à la culture, au cœur des territoires.

Sur la centaine de monuments qui lui sont confiés par l’État, le Centre des monuments nationaux gère un important patrimoine naturel : 83 parcs, jardins d’agrément, potagers, vergers, mais aussi des terres agricoles et des domaines forestiers totalisant plus de 3 200 hectares. Huit d’entre eux bénéficient du label « Jardin remarquable » et vingt-deux sont labellisés « Natura 2000 ».

Le CMN mène ainsi une politique de gestion raisonnée (éco-pâturage, lutte biologique, recyclage des déchets verts) et des actions de conservation et de valorisation de la biodiversité avec l’aide de partenaires de renom, dont notamment la Ligue de protection des oiseaux (LPO).

En effet, depuis 2014, le CMN et la LPO travaillent en étroite collaboration, œuvrant pour la protection de la biodiversité dans les monuments et la reconnaissance du patrimoine naturel au même titre que le patrimoine culturel. Le partenariat a été renouvelé en 2021 pour 5 ans afin de renforcer leurs relations de travail au niveau national, avec pour objectif :

  • D’agir concrètement en faveur de la biodiversité de proximité en accompagnant le CMN dans la gestion écologique des sites à travers la mise en œuvre de diagnostics et préconisations de gestion ;
  • De mobiliser l’expertise de la LPO et ses bonnes pratiques dans la gestion écologique des monuments du CMN afin de protéger la biodiversité qui y vit ;
  • De sensibiliser et former les agents du CMN et les publics accueillis (en particulier les publics jeunes et « empêchés ») sur les sites aux enjeux de protection de la biodiversité.

 

Ainsi, par exemple,

  • Au château d’Angers (Maine-et-Loire), lors de la rénovation de la chapelle du château, un plan de gestion a été mis en place pour protéger les espèces présentes sur le site. Des nichoirs destinés aux faucons crécerelles ont été inclus dans les murs par les maçons. Résultat, l’espèce nidifie désormais tous les ans ! Il est également prévu de conserver ou d’aménager des cavités pour les martinets noirs et des fissures pour les chauves-souris, des espèces intégralement protégées.
  • Au village fortifié de Mont-Dauphin (Hautes-Alpes), les actions déployées vont de l’installation de nichoirs, gîtes, panneaux de sensibilisation à des animations d’ateliers nature en passant par la formation des équipes du CMN. Mais la principale particularité de Mont-Dauphin est la conception d’un parcours faune et flore par le CMN et la LPO pour traverser les différents milieux naturels et paysages remarquables et présenter la biodiversité de la place forte.
  • Au site archéologique de Glanum (Bouches-du-Rhône), les ruines antiques bordées de falaises, galeries souterraines et de nombreux points d’eau constituent une diversité de milieux très accueillante. Une centaine d’espèces animales ont été recensées sur le site. Une carte de découverte sur la biodiversité de Glanum a été réalisée avec la LPO en lien avec le Parc naturel régional des Alpilles, ainsi qu’une exposition. De plus, des animations nature et ateliers familiaux sont proposés tous les ans aux visiteurs pour découvrir la biodiversité présente sur le site.

Neuf monuments et sites sont actuellement engagés dans la démarche : le château d’Angers, le château d’Assier, le château d’Aulteribe, le site archéologique de Glanum, le domaine national de Saint-Cloud, le site gallo-romain de sanxay, l’Oppidum d’Ensérune, l’Abbaye de Beaulieu-en Rouergue, la colonne de la grande Armée à Wimille.

Le soutien de la Fondation E NGIE va permettre de poursuivre et déployer le travail commun entrepris depuis 10 ans par le CMN et la LPO et de porter le nombre de monuments participants en 2024-2025 de 9 à 15.

«  C’est un beau projet bien en ligne avec les priorités de notre Fondation et qui permet de conjuguer valorisation du patrimoine historique et naturel, sensibilisation et protection de la biodiversité, accès de tous à la culture au cœur des territoires. Nous sommes heureux de permettre le développement d’un projet innovant avec deux acteurs de reference : le CMN et la LPO.

Jean-Pierre Clamadieu, Président du Conseil d’administration d’ENGIE et Président de la Fondation d’entreprise ENGIE

La ligue de protection des oiseaux (LPO)

Créée en 1912, et forte de plus de 57000 adhérents, 8000 bénévoles et 550 salariés sur l’ensemble du territoire, la LPO œuvre au quotidien pour la protection des espèces, la préservation des espaces et pour l’éducation et la sensibilisation à l’environnement.

La LPO met en œuvre des plans nationaux de restauration d’oiseaux parmi les plus menacés de France, coordonne des programmes européens de sauvegarde d’espèces et gère la réintroduction d’oiseaux menacés. L’association participe à de grandes enquêtes nationales et internationales. Elle propose à l’État, aux collectivités régionales et locales, son expertise sur le patrimoine naturel, et concourt ainsi à la protection d’espèces et d’habitats menacés, notamment lors de projets d’infrastructures. La LPO accueille chaque année des milliers d’oiseaux blessés, tombés du nid ou mazoutés dans ses centres de sauvegarde.

Avec son réseau de délégations, la LPO est l’un des principaux conservatoires nationaux d’espaces naturels, notamment en zone humide, dont elle est un des gestionnaires historiques majeurs. Elle gère plus de 20 000 hectares de milieux naturels répartis sur 130 sites dans 21 régions françaises, dont 15 000 ha en réserves naturelles terrestres et maritimes, et 1 350 ha en propriété. La LPO offre l’opportunité aux particuliers, aux associations et aux collectivités d’inscrire leurs terrains dans le réseau des Refuges LPO, premier réseau français de jardins écologiques en faveur de la biodiversité. Depuis sa création, plus de 33 000 Refuges ont vu le jour sur plus de 44 000 ha. Grâce à ce réseau, il est possible d’accueillir la faune et la flore, tout en apprenant à réduire son impact sur l’environnement et jardiner nature. La LPO bénéficie de l’agrément « Protection de l’environnement », ce qui lui permet de porter plainte et de se constituer partie civile contre les infractions aux dispositions législatives relatives à la protection de la nature et de l’environnement, par le biais de sa Mission juridique.

Acteur essentiel de l’éducation à l’environnement, la LPO bénéficie de l’agrément « Éducation Nationale », de l’agrément « Jeunesse et Education populaire » ainsi que de l’agrément au titre de l’engagement de Service Civique. Elle propose à tous les publics, et plus particulièrement aux scolaires, des ateliers, des visites guidées, des conférences, des expositions… Ainsi, chaque année, plus de 15 000 animations ou programmes éducatifs sont proposés près de 500 000 personnes, dont plus d’un quart de scolaires.

A propos de la Fondation d’entreprise ENGIE

Créée en 1992, la Fondation ENGIE inscrit son action dans la Raison d’être d’ENGIE : « Agir pour accélérer la transition vers une économie neutre en carbone, par des solutions plus sobres en énergie et plus respectueuses de l’environnement. » La Fondation ENGIE agit pour une transition partagée et juste, accompagne les populations fragilisées ou éloignées. 

Planet For people : à travers ses deux grands engagements, l’action de la Fondation ENGIE pour son 7ième mandat 2020 2025 se décline à travers plusieurs priorités :  

  • Lutter contre le réchauffement climatique / favoriser l’accès de toutes et tous à une énergie peu carbonée / protéger la biodiversité 
  • Agir pour l’Education et les jeunes générations (notamment à travers l’accès à la culture pour les publics éloignés)
  • Lutter contre les précarités et Agir pour l’emploi 

Chaque année, elle accompagne plus d’une centaine de projets à travers le monde. Avec 50% de ses projets consacrés à la biodiversité et à l’accès des populations les plus fragiles à une énergie peu carbonée en 2024, la Fondation ENGIE s’engage année après année pour l’environnement. 

Soutenir des projets à impact, participer à l’effort collectif de l’Agenda 2030 et porter la raison d’être d’ENGIE : c’est ce qui guide quotidiennement l’action de la Fondation ENGIE.

Le CMN en bref

Le Centre des monuments nationaux (CMN) est l’établissement public chargé de la conservation, la restauration et l’animation de plus de 100 monuments historiques et jardins répartis sur tout le territoire. 

Dans leurs écrins de nature ou en cœur de ville, des sites archéologiques et préhistoriques, des abbayes médiévales, des châteaux forts, des villas modernes, des tours ou trésors de cathédrales, illustrent la diversité de cet ensemble de monuments.

Une programmation riche de plus de 400 manifestations et partenariats associée à des actions d’éducation artistique et culturelle attire chaque année plus de 11 millions de visiteurs : expositions, ateliers, concerts, spectacles sont autant d’expériences originales ouvertes à tous les publics et au service du développement des territoires.

Au sein des monuments, des équipes passionnées ont à cœur de faire découvrir au public l’histoire et la vie de ces sites exceptionnels ainsi que leurs parcs et jardins.

Grâce au numérique, le CMN propose également de nouvelles expériences de visite des monuments (réalité virtuelle, casque géolocalisé, parcours immersif, tablette interactive, spectacles nocturnes ou immersifs…) qui satisfont petits et grands.

Pour prolonger leur visite, les visiteurs peuvent retrouver au sein des 80 librairies-boutiques du réseau les livres d’art et d’architecture ainsi que les guides publiés par les Éditions du patrimoine.

Contacts presse :
Pôle presse du CMN :
Marie Roy 01 44 61 21 86 presse@monuments-nationaux.fr
Pour retrouver l’ensemble des communiqués du CMN :
presse.monuments-nationaux.fr
www.monuments-nationaux.fr