La Fondation s'engage pour la restauration de la Cathédrale Notre Dame

Isabelle Kocher Directrice Générale d’ENGIE et Présidente de la Fondation ENGIE a signé un partenariat pour la restauration de la Cathédrale Notre Dame avec Franck Riester Ministre de la Culture.

C’est une grande fierté pour la Fondation ENGIE d’être aux côtés du Ministère de la Culture pour la restauration de la Cathédrale ND avec un fort volet social. Au-delà du financement des travaux de restauration et de conservation de la Cathédrale, la Fondation souhaite :

Donner la priorité à l’emploi avec des actions en faveur de la formation aux métiers du patrimoine nécessaires à la restauration de la Cathédrale, occasion de donner leur chance à des jeunes et valoriser des filières de formation professionnelle.

Partager et financer les actions et outils de médiation culturelle qui contribueront au rayonnement de la Cathédrale Notre-Dame de Paris et à la valorisation des métiers du patrimoine pendant la durée du chantier. Ces projets devront comporter des programmes destinés aux publics éloignés de la culture.

Cette signature est faite dans la continuité de l’engagement de la Fondation ENGIE en faveur du Patrimoine depuis 1994 aux côtés du Ministère. La Fondation a contribué à la création et à la restauration de vitraux dans 52 monuments historiques répartis sur l’ensemble du territoire national, rappelant l’ancrage territorial de l’entreprise dans le cadre de 5 conventions nationales signées avec le Ministère. 54 opérations situées dans 20 régions ont été réalisées. Plus d’une centaine de projets locaux ont complété cet engagement national, ce qui a valu à la Fondation d’être distinguée en 2008 par le ministre de la Culture et de la Communication comme “grand mécène de la culture”. Actuellement la Fondation est partenaire du Ministère pour la restauration de la rose sud de la Basilique de Saint Denis.


Embarquez pour l’énergie verte en Afrique Centrale

Une solution locale et durable

Les zones rurales d’Afrique Subsaharienne enregistrent un des taux d’électrification les plus bas du monde (12%). Cette grande précarité énergétique empêche le développement élémentaire de l’agriculture et oblige les populations locales à se nourrir de près de 75% de produits d’importation, le pays est en insécurité alimentaire. Un paradoxe lorsque l’on sait que cette région bénéficie de ressources naturelles importantes (terre, soleil, eau), en particulier le fleuve Congo et ses affluents qui débordent de l’énergie nécessaire pour répondre aux besoins en électricité et en eau potable des populations locales.

C’est fort de ce constat qu’un consortium franco-congolais composé de Pot@maï, association française à but non lucratif spécialisée dans les énergies renouvelables, de L’Aquaphile, entreprise française fournisseur d’hydroliennes flottantes et de l’Aide à l’Enfance, association congolaise à but non lucratif, décide de l’installation d’une hydrolienne flottante sur le fleuve Congo et d’une Unité de Services Essentiels (USE) dans le village de Loubassa.

Ce projet permettra d’améliorer durablement les conditions de vie des populations locales et de créer des activités économiques dans les villages enclavés situés proches des fleuves et rivières : eau potable, stockage froid, charge batteries, communications, transformation des produits de l’agriculture et de la pêche, machines/outils pour l’artisanat. Capable de produire et de consommer de l’énergie 24h/24, l’USE permettra d’alimenter en énergie verte et locale près de 3 000 habitants de deux villages. Ce site sera également un lieu de formation et d’insertion professionnelle pour les jeunes artisans/agriculteurs.

Un projet fort qui répond une fois de plus à l’engagement de la Fondation pour l’accès à l’énergie pour tous, qui ne peut se faire sans conscience écologique.


Exposition « Figure d’artiste » à la Petite Galerie du Louvre

À partir du 25 septembre 2019, la Petite Galerie du Louvre, soutenue par la Fondation ENGIE, propose une exposition sur le thème de la figure de l’artiste. Cette thématique vient accompagner le cycle d’expositions que le musée consacre en 2019-2020 aux génies de la Renaissance : Vinci, Donatello, Michel Ange ou Altdorfer.


La Petite Galerie : comprendre et s’émerveiller

La Petite Galerie du Louvre est l’espace d’éducation artistique et culturelle du musée du Louvre. Elle propose chaque année aux jeunes et à leurs accompagnateurs d’explorer une thématique autour d’œuvres majeures de la préhistoire à la création contemporaine. La Petite Galerie, c’est aussi une large offre numérique avec des ressources innovantes et interactives. Objectif, ouvrir les portes du musée et rendre accessible à tous le plaisir de découvrir la culture et d’en percer les mystères.

Pour sa 5e édition, La Petite Galerie du Louvre propose du 25 septembre 2019 au 29 juin 2020, une exposition sur le thème de la figure de l’artiste. Adaptée à tous, cette exposition vise à nous familiariser avec toutes les « signatures » utilisées par les artistes dans le temps. Un espace de 250 m2, une quarantaine d’œuvres décortiquées, pour découvrir l’histoire de la figure de l’artiste, du statut d’artisan durant l’antiquité à celui d’artiste célébré au 21e siècle !

L’exposition se déroule en 5 parties : signatures, autoportraits, vie d’artistes, l’académie, le salon et se prolonge sur le site internet dédié petitegalerie.louvre.fr et l’application mobile gratuite « Petite Galerie » destinée aux visiteurs en situation de handicap. Plusieurs visites et ateliers sont au programme, en plus d’un cycle de conférences et de projections à l’auditorium du Louvre. Plus d’informations par ici.


Informations pratiques :

Horaires : de 9h à 18h, sauf le mardi. Nocturne mercredi et vendredi jusqu’à 22h.
Tarif d’entrée au musée : 15 €. Réservation d’un créneau horaire pour un accès en moins de 30mn : 17 €. Gratuit pour les moins de 18 ans et les moins de 26 ans résidents de l’U.E.
Achat en ligne : ticketlouvre.fr
Renseignements, dont autres gratuités : louvre.fr


Warang les Cajoutiers : trois ans plus tard !

Les Cajoutiers est une association qui vise à donner un avenir aux enfants démunis du village sénégalais de Warang et de ses environs. En 2016, avec le soutien de la Fondation ENGIE, Energy Assistance ASBL (ONG interne du Groupe), intervenait sur place pour électrifier l’école au moyen de panneaux solaires et permettre à l’association de continuer son développement. Quelles sont les avancées trois ans plus tard ? Focus !

 

Les Cajoutiers, 650 enfants bénéficiaires

Fondée en 2008, l’association « Les Cajoutiers » est née de la volonté de donner aux enfants sénégalais, issus de familles démunies, sourds et atteints de Trisomie 21, une chance à un meilleur avenir à travers une éducation scolaire, une alimentation équilibrée et un suivi médico-social.

En 2016, la Fondation ENGIE a apporté son soutien à Energy Assitance ASBL pour l’électrification du groupe scolaire de Warang Les Cajoutiers. Trois bénévoles d’ENERGY ASSISTANCE ASBL se sont rendus sur place pour procéder à l’installation d’un kit solaire d’une puissance de 2,8 KW permettant d’alimenter les 21 classes, un bâtiment administratif, une cuisine, une infirmerie, une bibliothèque, soit près de 46 points lumineux et autant de prises de courant. Une pompe de puit auto alimentée, ainsi qu’un éclairage de sécurité de nuit par panneau solaire ont aussi été installés.

Grâce à cette installation, Les Cajoutiers a poursuivi son développement en créant de nouvelles classes spécialisées pour les enfants de Warang.

Aujourd’hui, le groupe scolaire accueille plus de 650 enfants et propose :

Une école pour entendants « Les Cajoutiers » composée d’un cycle préscolaire de 3 classes qui permet aux jeunes élèves d’atteindre un bon niveau avant de rentrer dans le cycle primaire, composée de 12 classes et dans lequel l’enseignement est dispensé par des professeurs qualifiés et diplômés. Les enfants ont d’ailleurs obtenu d’excellents résultats au CFEE (Certificat de Fin d’Études Élémentaires), validé en fin de cycle.

Une école pour sourds « Graines de Cajou » composée de 7 niveaux, une première au Sénégal. 80 élèves sourds âgés entre 4 et 18 ans y apprennent la langue des signes, ainsi que le calcul, la lecture, et découvrent la culture générale, dont ils sont trop souvent exclus. En 2016, un internat pour filles et garçons sourds « Foyer des Cajous » a été ouvert pour les élèves de l’école dont les familles sont trop éloignées.

Une école pour enfants atteints de Trisomie 21 « Fleurs de cajou », composée de 2 classes. 17 élèves, âgés de 3 à 10 ans apprennent les matières scolaires, souvent de manière ludique, avec un rythme et des moyens adaptés. Grâce aux bénévoles, ils bénéficient d’un enseignement adapté à leur handicap et d’un suivi personnalisé.

Lors de son séjour au Sénégal en juillet 2019, Sylvia, bénévole d’Energy Assistance ASBL, est retournée sur place :

« L’installation répond toujours parfaitement aux besoins de l’école. Elle est en parfait état de fonctionnement, ce qui montre l’importance du travail de formation de volontaires locaux pour assurer le bon entretien du matériel. Cette maintenance quotidienne permet d’allonger la durée de vie des panneaux solaires et d’en assurer la pérennité. L’électrification a depuis permis l’installation d’un congélateur et l’utilisation de matériels audiovisuels dans les classes, une belle avancée pour l’école et les élèves ».


Avant première du film WOMAN à la Mostra de Venise

50 pays. 2 000 interviews. 50 tournages. « WOMAN », est un message d’amour et d’espoir envoyé à toutes les femmes du monde. Réalisé par Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova, le film est une « fresque » qui rend hommage aux femmes, à leurs parcours, à leurs combats, à leurs victoires, du Congo au Mozambique, en passant par l’Afghanistan ou la Syrie. Présenté en avant première à la Mostra de Venise hors compétition le 1er septembre, il sera présenté au grand public à l’automne.

Après son dernier film HUMAN, le réalisateur et photographe français Yann Arthus-Bertrand et la journaliste Anastasia Mikova ont souhaité réaliser le film documentaire, WOMAN, consacré aux femmes du monde entier.

Pour ce projet, ils ont donné la parole aux femmes à une échelle sans précédent avec 2 000 interviews réalisées dans 50 pays avec des femmes aussi différentes que l’ancienne présidente Irlandaise, Mary Robinson, la première femme astronaute française Claudie Haigneré ou le prix Nobel de littérature Biélorusse Svetlana Aleksievitch, mais aussi et surtout des femmes qui ne sont pas dans la lumière mais réalisent des choses incroyables dans leur vie quotidienne. Ce film aborde plusieurs thèmes : l’éducation, la pauvreté, la justice et le courage. Il met en évidence la volonté de chaque femme à vouloir changer sa condition de vie en levant les tabous. A travers ce film-documentaire, les deux réalisateurs souhaitent faire changer les façons dont les hommes et les femmes se voient les uns les autres. Le film pose une question essentielle : « Quelle sera la place de la femme dans le monde de demain ? »

« Les femmes se disent : « Je ne veux plus attendre de voir ce qu’il va se passer demain. Je veux faire partie de ce changement, et je veux que ce changement ait lieu dès maintenant. »» – Anastasia Mikova

 

Les bénéfices du film seront reversés à l’association WOMAN(s) (Women on media and news – school) dont la principale mission sera de former des femmes et jeunes filles du monde entier aux métiers des médias. Grâce aux recettes du film et au soutien des partenaires, l’association proposera aux femmes d’apprendre les métiers de l’image afin qu’elles puissent à leur tour porter la parole de toutes celles qui pendant trop longtemps n’ont pas été entendues dans leur pays.


La Fondation ENGIE s’engage

Le souhait de la Fondation est de soutenir des causes concrètes sur le terrain, présentées dans le film. La Fondation s’est ainsi engagée sur 3 grandes causes et projets concrets, en mobilisant ses collaborateurs :

– Le soutien aux femmes victimes de viol

La Fondation ENGIE a souhaité soutenir l’action du Prix Nobel de la Paix – le Pr Denis Mukwege – qui se bat contre le viol, devenu une arme de guerre des groupes qui se battent pour le contrôle des minerais de la région. Celui qu’on appelle le « réparateur des femmes » a soigné plus de 50 000 femmes survivantes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi, qu’il a créé en 1999. Les victimes sont opérées dans l’établissement – grâce à des techniques en pointe d’endoscopie médicale -, elles sont également accompagnées psychologiquement et juridiquement. Apporter l’énergie et la lumière : la Fondation ENGIE, en partenariat avec la Croix Rouge luxembourgeoise, soutient le reengineering des installations électriques de l’hôpital de Panzi, pour sécuriser l’alimentation électrique et augmenter l’efficacité écologique et économique de l’ensemble des installations et équipements. Les travaux seront réalisés par des bénévoles d’ENGIE, à travers Energy assistance, l’ONG du Groupe.

– Soutenir l’accès à l’eau et l’énergie de communautés de femmes, pour favoriser le développement économique et l’émancipation des femmes.

Avec les équipes de WOMAN, nous avons identifié l’ONG des villageois de NDEM au Sénégal. Dans ce village situé entre Dakar et Saint-Louis, des communautés de femmes se sont fédérées pour développer des solutions d’accès à l’eau et à des installations solaires. La Fondation ENGIE finance une mission d’Energy Assistance pour développer le projet.

– L’aide à l’enfance en détresse

La Fondation accompagne depuis de nombreuses années l’association CAMELEON aux Philippines. Un partenariat de long terme, une aventure partagée, mise en valeur dans le film WOMAN.


Le Louvre et sa Petite Galerie tout l'été à Paris Plages

Pour sa deuxième participation à Paris Plages au Bassin de la Villette, le Louvre invite petits et grands à découvrir certaines œuvres majeures du musée. Une exposition pour petits et grands, au fil de l’eau, à découvrir durant tout le mois d’Août !


Une exposition au bord de l’eau

Consacrée l’année dernière à l’exposition « Archéologie en bulles », le musée du Louvre prend à nouveau ses quartiers d’été au bassin de la Villette avec cette fois un avant-goût de l’exposition « Figure d’artiste ». Une exposition qui interroge sur l’évolution de la figure d’artiste dans le temps et tente de comprendre comment l’artisan est devenu artiste, qui sera présentée à partir du 25 septembre 2019 dans la Petite Galerie du Louvre, dont la Fondation ENGIE est mécène. Autoportraits de Delacroix, Rembrandt ou encore Vigée-Le Brun, les visiteurs sont invités tous les après-midis jusqu’au 1er septembre à découvrir cette magnifique exposition et à participer à des activités ludiques et gratuites autour de cette thématique. Quatre médiateurs du musée sont présents pour échanger avec les visiteurs et un espace lecture et jeux de société complète le dispositif.


Des activités gratuites pour toute la famille

Tous les après-midis, des activités ludiques et interactives de 30 minutes sont proposées par les équipes du Louvre. Enfants bienvenus !

  • Les cambrioleurs du Salon : Des cambrioleurs dérobent chaque nuit les œuvres du Salon. Qui est donc le voleur ?
  • Le critique d’art : Saurez-vous convaincre l’auditoire de votre œuvre préférée ?
  • Les copistes fous : Observez une œuvre et reproduisez la le plus fidèlement possible.
  • Les artistes se mettent en scène : Observez un autoportrait d’artiste, tentez de le reproduire à l’aide d’accessoires et immortalisez votre portrait en photo.
  • Elève à l’Académie : Imaginez-vous artiste et découvrez les apprentissages de l’Académie de peinture et de sculpture.
  • Les gardiens du musée : Chaque nuit les œuvres du musée se réveillent. Profitez de votre rôle de gardien pour aller à leur rencontre.


Informations pratiques

– L’Espace Louvre de Paris Plages se situe au bassin de la Villette, côté quai de Seine.
– Métros : Jaurès/Stalingrad/Riquet (lignes 2, 5 et 7bis)
– Exposition et animations gratuites
– Les animations sont proposées tous les après-midis sur inscription auprès des chargés d’accueil, sur place.

– Du lundi au vendredi : 16h–19h
les mercredis et vendredis, jusqu’à 21h
et les samedis et dimanches : 14h –19h

Des ateliers gratuits

– Chaque week-end, de 15h à 17h, les visiteurs peuvent expérimenter gratuitement des ateliers de dessin, de modelage et d’écriture en compagnie d’artistes et d’écrivains.
– Inscription sur place à l’espace Paris Plages, auprès de l’équipe du Louvre.

 

Crédits : Dispositif conçu par le musée du Louvre et scénographié par JE FORMULE : Juliette Dupuy, scénographie, Estelle Maugras, graphisme


SCHOOLS, LIGHTS AND RIGHTS : PARCE QUE CHAQUE ENFANT A DROIT À L’ÉDUCATION ET À L’ÉNERGIE


SCHOOLS : quand la lumière arrive à l’école

Le volet « Schools » du programme a permis d’électrifier six écoles ou centres d’accueil dans des villages ruraux en Afrique, en Asie ou à Madagascar. Les panneaux solaires installés par les bénévoles d’Energy Assistance France, ONG interne du Groupe ENGIE, sur les toits des écoles apportent non seulement la lumière, mais ils permettent aussi d’innover et d’enrichir les parcours pédagogiques : des salles digitales équipées d’ordinateurs ont ainsi été créées en Afghanistan, en partenariat avec l’association Afghanistan Libre, pour former les filles au code et aux métiers du numérique.

– 6 écoles électrifiées
– Plus de 3 000 bénéficiaires
5 salles digitales créées en Afghanistan, bénéficiant à 630 jeunes filles formées aux métiers du numérique


LIGHTS : pour étudier à la tombée du soir

Grâce au volet « Lights », près de trente-cinq mille lampes solaires de poche ont été distribuées à des écolier.ères et lycéen.nes, notamment dans les villages ruraux non reliés au réseau électrique. Les lampes chargées à l’énergie solaire ont une autonomie de plus de trente heures et permettent aux enfants de rentrer de l’école à la tombée de la nuit et de faire leurs devoirs le soir à la maison.

L’utilisation des lampes permet par ailleurs de sensibiliser les communautés et familles aux bienfaits des énergies renouvelables.

34 700 lampes solaires distribuées
30 heures d’autonomie, avec un témoin de charge lumineuse et un mode Flash SOS


RIGHTS : rendre leurs droits aux enfants fantômes

Dans le monde, un être humain sur sept n’a pas d’état civil. En Afrique, selon l’UNICEF, près de 50% de la population n’est pas enregistrée à l’état civil. Pour les « enfants fantômes » dépourvus d’identité, la sanction est sans appel : ils n’ont simplement pas accès à l’école ni à la santé et, plus tard à l’emploi.

C’est pourquoi le volet « Rights » est prioritaire.
Sur le terrain, les associations partenaires de La Voix
De l’Enfant, se mobilisent pour redonner une identité aux enfants fantômes et convaincre les parents d’inscrire leurs enfants à l’école. L’action la plus spectaculaire a été menée en RDC (République démocratique du Congo), mais de nombreux enfants ont reçu le précieux sésame dans les autres pays où le programme est implanté, notamment en Afrique du Sud, à Madagascar et en Afghanistan.

1 million d’états civils distribués en RDC
3 000 « Tazkira » (pièces d’identité) distribués à des jeunes filles afghanes
2 000 jeunes sud-africains ont reçu leurs papiers dans la province du Gauten


En synergie avec les partenaires de la Fondation ENGIE

Trois associations d’ores et déjà partenaires
de la Fondation ENGIE sont mobilisées pour déployer le programme Schools, Lights and Rights sur le terrain : Afghanistan Libre, Valued Citizens Initiative (Afrique du Sud), Sourires d’Enfants (Laos).


Une représentation exceptionnelle pour un public éloigné de la culture à l’Opéra Bastille

La Fondation ENGIE, mécène Fondateur de l’Académie de l’Opéra de Paris, soutient une initiative importante de l’Opéra en faveur de l’accès à la culture pour tous : une représentation exceptionnelle destinée exclusivement à des associations et à un public éloigné de la culture, à l’Opéra Bastille le dimanche 14 juillet prochain.


25 ans d’engagement pour l’accès à la culture pour tous

Plus de 2 800 personnes bénéficiaires d’associations soutenues par la Fondation ENGIE et par l’Opéra national de Paris sont invitées à assister à la représentation du ballet « Tree of codes » à l’occasion de la Fête nationale.

Nous sommes fiers de permettre à des associations comme La Fondation K Urgence, créée par Christine Kelly, pour les familles monoparentales, l’Institut de l’Engagement, le Secours Catholique, Adoma (L’insertion par le logement) et la Voix de l’Enfant, de faire découvrir à des jeunes spectateurs ce lieu unique pour la culture, l’Opéra Bastille qui fête cette année ses 30 ans.

« L’opéra ouvre ses portes à 300 familles monoparentales grâce à la Fondation ENGIE. Extraordinaire soirée qui permet d’oublier ses difficiles conditions de vie…. »
– Christine Kelly, Présidente de la Fondation k urgence

Promouvoir l’accès de tous à la culture est une exigence au cœur de l’action de la Fondation d’entreprise ENGIE depuis 25 ans. La culture représente un formidable outil d’enrichissement, d’expression et d’ouverture aux autres : plus de 40 programmes d’accès à la culture sont soutenus chaque année par la Fondation ENGIE en France et à l’international.

La Fondation ENGIE soutient les programmes pédagogiques de plusieurs institutions culturelles comme l’Opéra national de Paris et son programme « Dix Mois d’Ecole et d’Opéra » qui permet d’accompagner chaque saison un millier d’élèves éloignés de certaines formes d’art et de culture et offre à 33 classes – relevant le plus souvent de l’Éducation prioritaire – la possibilité de construire durant deux années des projets qui sont autant de parcours singuliers contribuant à la réussite et à l’épanouissement des élèves. Grâce à ce programme, de nombreux jeunes reprennent confiance en eux, osent s’affirmer en s’exprimant, en créant et en révélant leurs talents. Plus ouverts, plus solidaires, ils établissent de nouveaux liens et prouvent qu’ils sont également capables de réaliser de belles choses.

L’Académie de l’Opéra de Paris c’est également le pôle de formation professionnelle qui a accueilli 40 artistes en résidences cette année pour les accompagner dans le perfectionnement de leur savoir-faire dans des domaines variés de l’art et de l’artisanat (chant, musique, mise en scène, couture, perruque, tapisserie ou encore menuiserie).

La Fondation d’entreprise ENGIE, c’est plus de 25 ans d’engagements pour la solidarité. Centrée à l’origine sur l’aide à l’enfance et les territoires, elle a évolué pour prendre en compte les nouveaux enjeux, l’accès de tous à l’énergie et la lutte pour la biodiversité, décliner notre combat pour l’aide à l’enfance en détresse par des volets accès de tous à la culture, insertion par le sport. Ce sont aujourd’hui, deux grands engagements, à travers le monde : l’aide à l’enfance, l’accès à l’énergie et la biodiversité.

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ENGIE et sa Fondation partenaires de la 8e Edition du We Love Green


We Love Green : un évènement unique

C’est au Bois de Vincennes que le festival We Love Green 2019 a une nouvelle fois eu lieu cette année le premier week-end de Juin. Pour cette 8e édition, le festival revenait en force avec une programmation des plus engagées, proposant à la fois des artistes francophones et des artistes de renommée internationale. Aya Nakamura, Booba, Metronomy, Christine & the Queens, FKA twigs, pendant deux jours, plus de cinquante artistes ont fait vibrer le bois de Vincennes et les 80 000 festivaliers présents sous le soleil.

En plus d’être devenu au fil des années un des évènements majeurs de l’été parisien, le We Love Green assume, édition après édition, son engagement. Un engagement qui démarre dans la conception d’un évènement éphémère en phase avec les problématiques actuelles de développement durable, et qui se poursuit tout au long du festival par la sensibilisation du public à ces enjeux. Interventions de personnalités sur la scène du Think Tank, projections de films et documentaires, rencontre avec des entreprises engagées, le festival permet au public de mieux comprendre ce monde en pleine mutation et lui permet de devenir acteur de son futur.


ENGIE et sa Fondation partenaires énergétiques et solidaires du festival

Partenaires pour la 3ème année consécutive, We Love Green et ENGIE ont innové en matière d’électricité renouvelable pour cette 8e édition. Grâce à ses entités ENGIE Hydrogène et ENGIE Entreprises et Collectivités, ENGIE a proposé une solution sur-mesure au festival pour la fourniture d’électricité verte. Des films souples photovoltaïques ainsi qu’un groupe électrogène alimenté par de l’hydrogène vert, produit à partir d’eau ont été installés sur le site du festival, une première en France ! Dans ce cadre, ENGIE a déployé une chaine complète d’hydrogène vert, des éoliennes jusqu’au site du festival, où l’hydrogène est converti en électricité. Enfin, ENGIE a permis aux organisateurs de suivre en temps réel l’origine de l’énergie et les performances de l’installation, grâce à une solution de monitoring développée en partenariat avec la start-up « TEO ».

En plus de la fourniture d’électricité et le monitoring des performances énergétiques du festival, ENGIE et sa Fondation avaient pour objectif de sensibiliser le public présent aux énergies vertes et au Développement Durable par le biais de diverses animations. Dans le cadre de son volet « accès la culture pour tous », la Fondation a également permis à des jeunes issus de milieux défavorisés, bénéficiaires d’associations partenaires, de participer à cet évènement exceptionnel.

Ces initiatives de développement des énergies vertes illustrent l’engagement d’ENGIE à rendre possible la transition zéro carbone pour un monde plus respectueux de la planète. Elles s’inscrivent dans une démarche de progrès harmonieux, en collaboration avec We Love Green pour réduire et compenser l’empreinte carbone du festival.

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La Fondation ENGIE inaugure le Salon de Lyon du Palais Catherine - musée de Tsarskoïé Selo

Le Salon de Lyon a retrouvé sa splendeur d’antan. Pour le musée de Tsarskoïé Selo, c’est un événement historique : 74 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, toute l’enfilade d’apparat du palais Catherine est désormais rendue aux visiteurs. L’église de la Résurrection du Christ et le Salon de Lyon forment l’alpha et l’oméga de l’exposition.

C’est grâce au soutien financier de la Fondation d’entreprise ENGIE et de Gazprom que le Salon de Lyon a connu sa renaissance. La Fondation ENGIE a financé la fabrication des soieries, réalisées par la manufacture Prelle, qui avait réalisé les soieries d’origine en 1861. Lors de cette inauguration, les invités ont pu assister à un récital de deux jeunes talents de l’Académie de l’Opéra de Paris dont la Fondation est mécène fondateur : Vladimir Kapshuk – Baryton et Yoan Héreau – Pianiste-chef de chant.

Le Salon de Lyon est l’un des intérieurs les plus parfaits de l’architecte Charles Cameron. Il faisait partie des appartements privés de la Grande Catherine au Grand Palais de Tsarskoïé Selo (ou Palais Catherine). Ce chef d’œuvre fut créé entre 1781 et 1783 et doit son nom aux soieries fabriquées à Lyon qui ornaient ses murs et son mobilier. Le salon de Lyon faisait partie de l’enfilade d’apparat du palais, ce qui exigeait une magnificence particulière de sa décoration. Un effet d’une rare élégance fut obtenu grâce à l’alliance de la soie « dorée » et des décorations bleues en lapis-lazuli. Les maîtres artisans utilisèrent presque une tonne et demie de lapis-lazuli, et pour la décoration des portes et du parquet ils employèrent une douzaine d’essences de bois rare et de la nacre.

Depuis l’époque de Catherine II, les tapisseries en soie ont été changées plus d’une fois. Au milieu du XIXe siècle, le Salon de Lyon devient le salon d’apparat de Maria Alexandrovna, épouse du tsar Alexandre II. A sa demande, l’architecte Hippolyte Monighetti apporte des changements cardinaux à la décoration intérieure : désormais, le tissu couvre entièrement les murs. Le salon est en outre complété avec de nouveaux meubles réalisé selon les esquisses de Monighetti, ainsi qu’un lustre en lapis-lazuli du Baïkal et du Badakhchan doté d’éléments en bronze doré et d’un monogramme de l’impératrice Maria Alexandrovna. En 1866, à l’occasion du 25ème anniversaire du mariage d’Alexandre II et de Maria Alexandrovna, les murs furent recouverts d’une nouvelle soie de Lyon. Ce tissu avait la couleur « bouton d’or » et recouvrait les murs jusqu’au bord supérieur de la corniche. Il fut également utilisé pour le revêtement des meubles et les rideaux. La combinaison des éléments raffinés du décor de l’époque de Catherine II, de la soie et des objets du XIXe siècle firent du Salon de Lyon la salle la plus envoûtante de l’époque historiciste.

Le Salon de Lyon reproduit en 1878 sur l’aquarelle de Luigi Premazzi, exista dans cet aspect jusqu’à 1941.

Sa décoration fut détruite pendant la guerre. Puisqu’il restait 25 objets du mobilier fabriqués avec l’utilisation du lapis-lazuli, des échantillons de soie, ainsi que des inventaires du palais et des photos, il fut décidé de restaurer la décoration de l’époque d’Alexandre II. Le premier pas vers la renaissance de la salle fut posé en 2005. Le projet de restauration avait été rédigé en 1983 par l’architecte principal du musée, Alexandre Kedrinsky, (1917-2003), cependant le projet fut mis à jour en 2006-2007.

La fabrication des soieries a été financée par la Fondation d’entreprise ENGIE. Par bonheur, le musée avait conservé les matériaux iconographiques (les inventaires, les photos, les autochromes, l’aquarelle, les échantillons de soie), et à Lyon, les archives de la manufacture Lamy et Girault, qui en 1861 avait exécuté la commande de la Cour impériale russe, étaient restées intactes. L’entreprise qui lui a succédé, la manufacture lyonnaise Prelle, avait conservé les carnets de commandes du XIX siècle. Une décision historiquement justifiée a alors été prise, celle de confier la fabrication des nouvelles soieries du Salon de Lyon aux spécialistes français de la manufacture Prelle. Conformément au projet de restauration des tentures murales, des portières, des tissus pour les portières et de l’étoffe des meubles élaboré par le musée, les artisans du XXIe siècle ont confectionné 320 mètres de tissu « Lampas bouton d’or Louis XVI », d’une largeur de 162 cm. Ainsi, les soieries, résultat d’un travail virtuose des maîtres français, sont redevenues l’élément décoratif principal du Salon.


Salon de Lyon. Quelques chiffres et faits :

  • Pendant le règne de la Grande Catherine, la vie officielle de la Cour se déplaça au salon de Lyon qui se transforma en une sorte de salle d’attente d’apparat. Des invités venus présenter leurs rapports y attendaient d’être reçus. Le soir, on y jouait aux cartes, on donnait des concerts musicaux. Là, se réunissaient des « nobles, hommes et femmes » faisant partie de la suite de l’impératrice, afin de participer à une promenade, un repas ou un spectacle.
  • L’impératrice Maria Alexandrovna aimait sa salle de séjour fastueuse et y réunissait ses enfants et ses proches. Pendant le séjour de la princesse Dagmar de Danemark en 1866, après un déjeuner solennel dans la salle des Arabesques voisine, la famille a pris le café en petit cercle au Salon de Lyon.
  • Au début du XIXe siècle, c’est au Salon de Lyon que l’on habillait les princesses avant les cérémonies de mariage, lorsqu’elles se déroulaient à Tsarskoïé Selo.
  • Pendant la Seconde Guerre mondiale, le divan Georges Jacob, le mobilier en lapis-lazuli et les tableaux furent évacués du Salon de Lyon. Après la guerre, il a été possible de récupérer le paravent à trois battants (qu’on retrouva en Estonie). Dans le parc Alexandre, on retrouva trois fauteuils ayant fait partie de l’ensemble du XIXe siècle. En 2018, ils furent restaurés et tapissés avec de la soie fabriquée à Lyon.
  • Les objets en lapis-lazuli réunis au Salon de Lyon représentent la plus grande collection, parmi les musées russes, d’objets d’art décoratif du XIXe siècle en lapis-lazuli et bronze doré.
  • Le lapis-lazuli est une pierre semi-précieuse de couleur bleue d’une composition minéralogique complexe avec des insertions blanches et dorées. Au milieu du XIXe siècle, le lapis-lazuli d’Afghanistan, qui arrivait en Russie via Boukhara dans l’actuel Ouzbékistan, était le plus prisé.