La Fondation ENGIE mécène des jardins potagers du Château de Chambord

La Fondation ENGIE mécène des jardins potagers du Château de Chambord

140 arbres fruitiers de variétés anciennes, plus de 40 variétés de légumes dont un jardin dédié aux légumes anciens et aux légumes de la Renaissance, des plantes aromatiques et médicinales, les jardins potagers du Château de Chambord sont un modèle de biodiversité et de valorisation de notre patrimoine. C’est donc tout naturellement que la Fondation ENGIE a souhaité participer à leur développement et leur mise en valeur. Focus !


Un programme écologique, innovant, dans un lieu chargé d’histoire

Trois ans après la restitution des jardins à la française sur les parterres Nord et Est du château, Chambord a imaginé un potager biologique en culture maraîchère et fruitière. Basé sur les principes de la permaculture, il se concentre sur l’observation minutieuse de la nature et de son milieu, le respect de l’environnement et la santé des sols. Installés sur une parcelle de plus de 6 hectares qui accueillait déjà des cultures aux XVIIe et XIXe siècles, les jardins-potagers ont vu le jour au sein des écuries du maréchal de Saxe.

En plus de sa portée écologique et historique, ce projet adopte une véritable démarche pédagogique. Il vise à éveiller et sensibiliser les consciences aux bienfaits d’une agriculture raisonnée. Ainsi, des visites guidées sont quotidiennement menées et le château propose des formations à destination des professionnels et porteurs de projet.

Après des premières récoltes commercialisées au courant de l’été 2019, des développements supplémentaires sont prévus en 2020 et 2021. Les produits des récoltes, certifiés biologiques, sont commercialisés via un circuit court. Les premiers bénéficiaires sont les visiteurs qui peuvent acheter des légumes au sein d’une boutique aménagée sur le site, les agents du domaine, 35% de la vente à l’étalage, puis les restaurants de Chambord, les magasins de produits biologiques de la région, etc.

La Fondation d’entreprise ENGIE, engagée en faveur de la préservation du patrimoine et de la biodiversité sur tous les territoires, poursuit son engagement auprès du Château de Chambord. Pour rappel, elle avait déjà soutenu en 2013 l’aménagement du grand canal de Cosson, qui consistait notamment en la création d’un parcours pédagogique sur la faune et la flore. En 2019, la Fondation a apporté son soutien aux célébrations des 500 ans de Chambord, qui ont contribué à faire rayonner avec excellence le château. Enfin, chaque année, la Fondation ENGIE accompagne des jeunes du secours populaire sur le domaine de Chambord pour fêter noël et leur offrir un joli moment de partage et d’émotion.


Témoignages : « Pot@maï », de l’énergie verte et solidaire en République du Congo

Lancé en 2019 à l’initiative de « Pot@maï », association française à but non lucratif spécialisée dans les énergies renouvelables, avec le soutien de la Fondation ENGIE, ce programme permettra d’améliorer durablement les conditions de vie des 3 000 villageois de Loubassa. Un projet fort qui répond une fois de plus à l’engagement de la Fondation pour l’accès à l’énergie pour tous, qui ne peut se faire sans conscience écologique. Témoignages !


Une aventure humaine, un défi technologique

Dans une région où 90% de la population rurale souffre d’une grande précarité énergétique, l’association Pot@maï, soutenue par la Fondation ENGIE, développe un programme inédit d’accès à l’énergie verte pour les villageois de Loubassa, à environ 10km de Brazzaville. Objectif ? Construire et développer à Lyon une hydrolienne flottante capable d’alimenter une « Unité de Services Essentiels (USE) », puis l’installer sur le fleuve Congo pour alimenter près de 3 000 villageois, une première en Afrique !

Mise en service dans les prochaines semaines, l’USE permettra de produire de l’eau potable et de l’électricité, de stocker et transformer les produits agroalimentaires et d’alimenter des équipements pour l’artisanat, l’agriculture et l’élevage. Une entreprise locale assurera ensuite la gestion et la maintenance du site. Enfin, le site deviendra un lieu de formation et d’insertion professionnelle pour les jeunes artisans et agriculteurs de la région.


Témoignages

« Ici l’achat de l’essence est très difficile, et il nous manque de l’eau à boire. On est obligé de traverser le fleuve pour aller acheter l’eau à Brazzaville. À chaque fois, partir et revenir, c’est beaucoup de dépenses. Nous sommes dans la joie que le village progresse avec ce projet. On va aussi pouvoir garder les poissons au frais et les vendre sur place. Ici, il n’y a pas d’hôpital, on aimerait avoir un centre de santé. Et pour les jeunes, au lieu de les voir traîner, on serait content qu’ils puissent avoir une formation professionnelle sur le site du projet. »

– Françoise Matondo, habitante de Loubassa

 

« Ce projet est né quand j’ai eu l’immense privilège de rencontrer le fleuve Congo et ses riverains. De les côtoyer, d’ échanger, et de construire ensemble une solution durable au manque d’eau potable et de moyen de conservation des poissons. Travailler sur ce projet présente des défis techniques, socio-économiques, organisationnels et culturels, qui semblent parfois insurmontables mais c’est une expérience irremplaçable. La volonté de voir cette USE en fonctionnement grâce à l’hydrolienne Hydro-Gen – qui doit son existence à l’ingéniosité et la motivation infaillible de David Adrian – et la curiosité d’être témoin de ce qu’en feront les usagers sont des aiguillons vers le succès ! Nombreux nous ont rejoints dans cette aventure et je les en remercie. »

– Maguelonne Chevallier Loubelo, Déléguée Générale de Pot@maï


WOMAN (bande annonce) par Anastasia Mikova et Yann Arthus-Bertrand

WOMAN met en scène des femmes de tous continents, riches, pauvres, connues, inconnues. Toutes délivrent, sans tabous, leurs émotions et leurs histoires. Ensemble, elles font émerger une autre vision du monde, indispensable pour construire l’avenir de notre planète. Après « Human » en 2015, Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova proposent « WOMAN » en abordant plusieurs thèmes forts comme l’éducation, la pauvreté, la justice et le courage. Parce que faire entendre la voix des femmes est une priorité, la Fondation ENGIE a décidé de soutenir Woman et plusieurs associations mises en avant dans le film.

 

« Nous avions le sentiment que les femmes avaient un besoin urgent de parler et que nous devions leur donner l’occasion de le faire. » – Anastasia Mikova.


2 000 Femmes dans 50 pays

Woman répond à l’envie de regarder le monde avec les yeux d’une femme. Ce film nous amène aux quatre coins du monde à la rencontre des premières concernées : toutes ces femmes aux parcours de vie différents, façonnées par leur culture, leur foi ou encore leur histoire familiale. C’est aussi le reflet du monde actuel. Un reflet parfois sombre face à toutes les injustices subies par les femmes. Mais avant tout, ce film est un message d’amour et d’espoir envoyé à toutes les femmes du monde. Une tentative de comprendre leur vie, de mesurer le chemin parcouru mais aussi tout ce qui reste à faire. Comment y parvenir ?

« WOMAN » est une « fresque » qui fait entendre la voix de 2 000 femmes ayant accepté de témoigner dans 50 pays. Aux quatre coins du monde, Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova ont rencontré des figures connues ou inconnues, toujours héroïques dans leur quotidien. Objectif ? Dénoncer certaines injustices auxquelles les femmes doivent faire face, et mettre en lumière leur détermination à dépasser les obstacles et les stéréotypes.

Les bénéfices du film seront reversés à l’association WOMAN(s) (Women on media and news – school) dont la principale mission sera de former des femmes et jeunes filles du monde entier aux métiers des médias. Grâce aux recettes du film et au soutien de nos partenaires, l’association proposera aux femmes d’apprendre les métiers de l’image afin qu’elles puissent à leur tour porter la parole de toutes celles qui pendant trop longtemps n’ont pas été entendues dans leur pays.


La Fondation ENGIE s’engage !

Au delà du soutien au film WOMAN, la Fondation ENGIE a souhaité accompagner certaines femmes rencontrées par les équipes du film dans leurs actions.

  • Soutien aux femmes victimes de viol en République Démocratique du Congo

Prix Nobel de la Paix lutte contre un fléau : le viol, devenu une arme de guerre des groupes qui se battent pour le contrôle des minerais de la région. Denis Mukwege, celui qu’on appelle le « réparateur des femmes », a soigné plus de 50 000 femmes survivantes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi, qu’il a créé en 1999. Les victimes sont opérées dans l’établissement, grâce à des techniques de pointe d’endoscopie médicale, elles sont également accompagnées psychologiquement et juridiquement.

Parce que la cause des femmes est au cœur de ses engagements, la Fondation ENGIE a décidé d’apporter son soutien à Denis Mukwege. Ce partenariat prévoit le reengineering des installations électriques de l’Hopital de Panzi, ceci en vue de la sécurisation de l’alimentation électrique ainsi que d’une augmentation importante de l’efficacité écologique et économiques de l’ensemble des installations et équipements de la structure.

  • ONG des villageois de Ndem au Sénégal

Nous voulons être un partenaire qui agit. Avec les équipes de WOMAN, nous avons identifié l’ONG NDEM au Sénégal, située entre Dakar et Saint-Louis. Une ONG de 4 600 membres et de nombreuses femmes actives, qui intervient depuis 30 ans auprès de 16 villages, dans des domaines variés tels que la santé, éducation, environnement, agroécologie ou encore l’entrepreneuriat. Elle a aujourd’hui besoin de forages et d’installations solaires pour continuer de développer son programme et apporter l’énergie aux plus isolées. Nous avons mis Energy Assistance, ONG interne du Groupe ENGIE, sur le coup pour peaufiner au mieux le programme !


L’histoire de Marie Perline, bénéficiaire du programme Biogaz à Madagascar

En 2018, la Fondation d’Entreprise ENGIE s’est engagée aux côtés de CODEGAZ, ONG interne du Groupe ENGIE, pour soutenir le développement du biogaz comme énergie d’avenir et améliorer les conditions de vie des paysans malgaches. Grâce à cette énergie verte, les populations locales réalisent des économies, obtiennent des revenus supplémentaires et participent au maintien de la biodiversité de la région.


Un projet d’accès à l’énergie verte lancé en 2018

Il y a un peu plus d’un an, CODEGAZ a été chargé de construire dix biodigesteurs biogaz pour fournir énergie de cuisson, éclairage et engrais à des paysans de la région de Fianarantsoa, située à quelques 400 km au sud de la capitale. Les biodigesteurs permettent aux agriculteurs et éleveurs de la région de valoriser leurs déchets organiques pour produire du « biogaz » et du « digestat », grâce au procédé de méthanisation.

Le biogaz, source d’énergie verte, permet à ces populations isolées de cuire les plats et d’éclairer l’habitat. Alternative au bois de cuisine, il permet ainsi de limiter la déforestation et de favoriser la biodiversité de la région. Le digestat (substrat résiduel de la méthanisation) est utilisé comme fertilisant agricole, notamment dans les rizières.

Cette installation est accompagnée d’un programme de formation. Objectif ? Former les villageois malgaches au fonctionnement, à l’exploitation, à la maintenance des biodigesteurs et à l’utilisation des installations d’éclairage et de cuisson au biogaz. Les paysans de la région bénéficient d’une source d’énergie durable et sont autonomes dans sa valorisation au quotidien.

Marie Perline, agricultrice et éleveuse, témoigne

Marie Perline habite dans le village de brousse d’Andohasamahamarina, situé à 20 km au sud de Fianarantsoa, 2ème plus grande ville de Madagascar. Pour arriver à ce village, pas de route, juste une piste rudimentaire. Sans accès à l’électricité, comme la grande majorité de la population locale, la préparation des repas pour la famille se faisait jusqu’alors au charbon de bois, et l’éclairage à la lampe à pétrole.

 

Depuis un peu plus d’un an, grâce à CODEGAZ et au soutien de la Fondation ENGIE, Marie Perline est équipée d’un biodigesteur. Cette installation transforme les déjections de ses 3 vaches laitières en biogaz, qu’elle utilise pour la cuisson et l’éclairage, et en digestat qui lui sert d’engrais pour ses cultures. Et c’est toute la famille qui bénéficie des changements !

Marie Perline a 4 enfants, elle témoigne : « Avant, ils faisaient leurs devoirs autour de la lampe à pétrole. Ils étaient tous sur la même table et ils avaient les yeux rouges le lendemain matin. Avec la lampe à gaz, ils s’installent chacun de leur côté. Ils sont plus concentrés. Et leurs yeux vont mieux. »

Grâce à cette installation, elle réalise des économies sur ses achats : de charbon de bois (divisé par 3), de pétrole (divisé par 4), d’engrais et de pesticides. Elle obtient également des revenus supplémentaires : grâce à sa boutique, qu’elle peut maintenant laisser ouverte après la tombée de la nuit, et à l’amélioration de ses récoltes (tomates, fruits, plantes aromatiques, etc.). Elle gagne également plus de 2h par jour sur la préparation des repas grâce à l’acquisition d’un cuiseur à riz, plat de base de l’alimentation malgache. Autant de temps qu’elle peut maintenant consacrer à sa famille, à ses animaux et à sa petite épicerie !

Ces revenus supplémentaires lui permettent d’assurer la scolarité de ses trois plus grands enfants : celui de 7 ans qui est en primaire, celui de 13 ans qui est au collège et elle a même pu permettre à Hariniaina, sa plus grande, âgée de 17 ans, d’entrer à l’université.

Mais Marie Perline ne compte pas s’arrêter là ! Elle continue de développer l’arboriculture, en plantant des orangers qui reboisent et seront à termes une belle source de revenus supplémentaires. Elle est également en train d’étendre sa pépinière de plantes aromatiques pour l’élaboration d’huiles essentielles.

Un bel exemple de ce que peut amener le biogaz, énergie verte, renouvelable et complètement adaptée aux situations rencontrées dans ces zones rurales isolées et permettant aussi aux femmes d’avoir plus d’autonomie !


Lancement de la 31e édition de l’Opération Pièces Jaunes

Du 8 janvier au 15 février 2020, la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France organise la 31e collecte des pièces jaunes. Partenaires de l’opération depuis 2005, ENGIE et la Fondation ENGIE accompagnent les actions menées localement et en appellent à la générosité des collaborateurs pour améliorer le quotidien des enfants hospitalisés et de leur famille !


6 semaines pour améliorer l’accueil des enfants à l’hôpital

Depuis 1989, l’Opération Pièces Jaunes s’engage pour améliorer les conditions d’accueil et de vie des enfants et adolescents dans les hôpitaux pédiatriques français. Objectif ? Lutter contre les ruptures familiales, sociales et culturelles engendrées par l’hospitalisation. En 30 ans, ce sont près de 9 000 projets qui ont été soutenus grâce à la générosité du public et des partenaires de l’opération.

Cette année, la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France a choisi le Centre Hospitalier Régional d’Orléans pour le lancement de la collecte qui durera 6 semaines, du 8 janvier au 15 février 2020. Le coup d’envoi de cette nouvelle édition sera donné par Brigitte Macron, Présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France et Didier Deschamps, parrain de l’opération 2020, qui rencontreront les enfants de l’hôpital et les équipes soignantes.

Le Groupe ENGIE et la Fondation ENGIE, dans le cadre de son engagement en faveur de l’enfance en détresse et en particulier des enfants hospitalisés, soutiennent l’Opération Pièces Jaunes depuis 2005 afin de financer, notamment, l’accueil des parents des enfants hospitalisés.

« Je suis heureuse de lancer cette nouvelle édition de l’Opération Pièces Jaunes. Ma première pensée est pour Bernadette Chirac qui a présidé la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France pendant 25 ans. Je me réjouis que Didier Deschamps, homme de cœur et de terrain, et nos nombreux partenaires soient à nos côtés pour cette nouvelle saison. »Brigitte Macron, Présidente de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France

« Porter le maillot de l’équipe de France offre un privilège immense, celui de pouvoir procurer du bonheur aux gens. C’est dans cet esprit que j’ai accepté d’accompagner l’opération Pièces Jaunes cette année encore. C’est donc avec beaucoup de plaisir et de fierté que j’accompagnerai Brigitte Macron et les équipes de la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France. Les enfants hospitalisés font preuve d’un courage incroyable. Ils méritent le respect et le soutien du plus grand nombre dans leur combat contre la maladie. Améliorer leur quotidien à l’hôpital est une très belle cause. Tous ensemble et chacun à notre façon, soutenons-la. »Didier Deschamps, sélectionneur de l’équipe de France de Football et parrain de l’opération 2020.


Comment contribuer ?

Pendant 6 semaines, petits et grands seront encouragés à recueillir des dons en faveur des enfants hospitalisés. Plus de 2,3 millions de tirelires seront mises à disposition dans tous les bureaux de Poste de France et chez les partenaires de l’opération, dont ENGIE. L’année dernière, la collecte dans les différents sièges du Groupe a permis de récolter plus de 65 kg de pièces jaunes. La Fondation ENGIE fait appel à la générosité des collaborateurs ENGIE pour battre ce record et améliorer le quotidien des enfants hospitalisés, de leur famille et des équipes soignantes ! Rendez-vous sur le site web de la Fondation Hôpitaux de Paris-Hôpitaux de France pour contribuer à la collecte 2020.


[Vidéo] NOC - Nous On Créé ! - La Saint Nicolas des enfants à l'Institut Curie

Depuis 2004, NOC – Nous On Créé ! est implanté au coeur des structures de soin afin de participer à l’amélioration de la qualité de vie des jeunes patients grâce à des ateliers d’art plastique. Un merveilleux programme, soutenu par la Fondation ENGIE, qui a permis à plus de 800 enfants de retrouver le sourire. Retour en image sur La Saint Nicolas organisée pour les enfants de l’Insitut Curie en compagnie d’Elodie Thébault, enseignante de l’association NOC!, de l’ambassadeur de Belgique Francois de Kerchove d’Exaerde et de Philippe Peyrat, délégué général de la Fondation ENGIE.

 


Make.org dévoile le plan d’actions “Comment rendre la culture accessible à tous ?”

Le lundi 9 décembre, au Palais de Tokyo, la plateforme de mobilisation citoyenne Make.org et les partenaires de la Grande Cause Culture, dont la Fondation ENGIE, dévoilent le plan d’actions “Comment rendre la culture accessible à tous ?”, en présence du ministre de la Culture, Franck Riester, et de la secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées, Sophie Cluzel.

 

Lancée grâce au soutien de la Fondation ENGIE en juin 2018, la consultation nationale menée par Make.org « ​Comment rendre la culture accessible à tous ? » avait pour objectif de mobiliser la société civile en lui permettant de partager ses solutions et de participer à l’élaboration d’actions concrètes avec le Ministère de la Culture, des associations, des entreprises et des médias. Cette consultation citoyenne exceptionnelle a recueilli 393 000 contributions, dont 2 500 propositions.

Franck Riester, Ministre de la Culture
“Plus que jamais, nos concitoyens demandent à être associés aux décisions qui les concernent.
Les Français ne veulent plus être seulement spectateurs de la culture ; ils veulent aussi en être acteurs. A cet égard, la consultation de Ma​ke.org est une initiative salutaire.  Je me réjouis que les priorités exprimées par nos concitoyens fassent écho à celles de mon ministère. J’ai la conviction que c’est en travaillant ensemble – avec les artistes, les professionnels de la culture, les associations, les institutions, les entreprises, les collectivités locales – que l’on rendra la culture accessible à tous.”


6 actions concrètes pour rendre la culture accessible à tous

Le Palais de Tokyo, dont la Fondation ENGIE est un grand mécène, a été choisi pour la révélation de ce plan d’actions en raison de son engagement en faveur de la réduction des inégalités d’accès à la culture.

Accroître l’accès à la culture pour les publics fragiles, lever les blocages culturels, réduire la fracture sociale et territoriale sont les piliers de ce plan d’actions, piloté par Make.org et ses partenaires, avec l’appui de la Fondation Accenture :

1. JENI : Les JumElages Numériques Interculturels
Favoriser le partage d’expériences artistiques et culturelles par et pour les élèves d’horizons différents autour de projets pédagogiques communs en ateliers et par le biais d’une plateforme numérique d’échanges (E-Twinning).

2. Choisissons le programme
Mettre en place une plateforme nationale (déclinée par collectivité) pour permettre aux citoyens de contribuer à la sélection de la programmation culturelle de leur territoire et pour faciliter le cofinancement de ces programmes.

3. La Place est libre !

Mettre à disposition et accompagner l’utilisation de plus de 600 000 invitations à des évènements culturels pour des personnes vulnérables.

4. Programme court HandiArtistes
Diffusion d’une série télévisée de programmes courts qui présente des oeuvres artistiques et le parcours de leur auteur en situation de handicap.

5. E-learning Accessibilité +
Développer un module de e-learning sur le handicap pour sensibiliser les personnels des sites culturels.

6. Une Star – Une Oeuvre
Durant une semaine, mobilisation massive d’influenceurs très grand public qui racontent et expliquent une oeuvre d’art qui les a marqués.

 

Axel Dauchez, Président et Fondateur de Make.org
« L’accès à la culture pour tous, c’est une double réconciliation. La réconciliation urgente d’une société extrêmement fragmentée, entre urbains, ruraux, banlieusards, athés, croyants, jeunes, personnes âgées, classes aisées, ménages modestes, personnes handicapées… C’est aussi la réconciliation du présent avec le passé et le futur, à travers la culture sous toutes ses formes. Les 6 actions imaginées avec l’ensemble des partenaires de la coalition, à partir de la volonté des citoyens, vont nous permettre, dans les année à venir, de construire cette réconciliation.”

Christine Kelly, Journaliste et Administratrice de la Fondation ENGIE
« Promouvoir l’accès de tous à la culture est une exigence au cœur de l’action de la Fondation d’entreprise ENGIE depuis 25 ans. La culture représente un formidable outil d’enrichissement, d’expression et d’ouverture aux autres : plus de 40 programmes d’accès à la culture sont soutenus chaque année par la Fondation ENGIE en France et à l’international. Moins d’un Français sur cinq s’est déjà rendu au spectacle. Et 3 % seulement du visitorat des musées est constitué d’ouvriers. Ces chiffres illustrent combien les inégalités en matière d’accès à la culture sont tenaces et flagrantes. Pour la Fondation ENGIE, qui inscrit l’ancrage territorial et la responsabilité sociétale au cœur de son ADN, il est important de lutter contre ces fractures. Il y va de la qualité du « vivre ensemble » dans les quartiers et dans les villes. La culture est un levier essentiel pour stimuler le vivre ensemble. »


À propos de Make.org et des Grandes Causes

Make.org est une Civic Tech proposant une plateforme de consultation et d’engagement à l’ensemble des acteurs de la société civile – citoyens, associations, entreprises et médias ainsi qu’aux institutions afin d’adresser des problématiques d’intérêt général essentielles pour la société : la lutte contre les violences faites aux femmes, la culture accessible à tous, la création de lien social, le soin de nos aînés… Ces consultations ont pour objectif d’engager les citoyens dans des actions concrètes et collaboratives au niveau local, national ou européen. Make.org s’engage dans ce processus à respecter sa Charte Éthique pour assurer la remontée des idées citoyennes, la transparence de la démarche et la lisibilité des résultats.

EN SAVOIR PLUS > Le plan d’action de la société civile sur Make.org


30ème anniversaire de la Convention internationale des droits de l'enfant (CIDE)

La CIDE : donner des droits aux enfants du monde

La Convention Internationale des Droits de l’Enfant (CIDE), adoptée à l’unanimité par l’assemblée générale des Nations unies, est le premier texte à reconnaître les droits spécifiques des enfants. Il représente un consensus historique entre les 195 États signataires pour protéger les droits de tous les enfants dans le monde.

La CIDE n’est pas seulement symbolique, elle est juridiquement contraignante, c’est-à-dire que les états signataires s’engagent à répondre de leurs engagements pour les enfants via des rapports réguliers examinés par un comité d’experts des Nations unies. Composée de 54 articles, la convention rassemble l’ensemble des droits civils, politiques, économiques, sociaux, culturels des mineurs et introduit le concept d’intérêt supérieur de l’enfant. Elle est construite sur 4 grands principes :

– la non-discrimination

– l’intérêt supérieur de l’enfant

– le droit à la vie, à la survie et au développement

– le respect de l’opinion de l’enfant

La CIDE a été enrichie en 2000 par deux protocoles facultatifs concernant notamment l’implication des enfants dans les conflits armés ou la vente, la prostitution et la pornographie mettant en scène des enfants. En 2011, un nouveau protocole facultatif prévoit la possibilité pour les enfants de déposer des plaintes auprès du « comité des droits de l’enfant ».


Redonner confiance et espoir aux enfants les plus vulnérables

Depuis plus de 25 ans, la Fondation ENGIE est engagée auprès des enfants fragilisés. L’insertion pour l’enfance et la jeunesse fait partie, avec l’accès à l’énergie pour tous, des missions de la Fondation depuis sa création. Accès à la culture, à l’éducation, à la santé, au sport, accompagnement des enfants migrants, la Fondation soutient une grande variété de programmes portés par des associations et partenaires du monde entier. Ils ont tous un point commun : créer du lien social et donner aux enfants l’énergie de grandir.

La Fondation ENGIE accompagne les associations en tissant des partenariats sur le long terme pour faire fructifier les projets dans la durée. C’est par exemple le cas avec La Voix De l’Enfant, l’Unesco, le Samu Social de Paris ou encore La Chaîne de l’espoir.

Accompagnement des enfants hospitalisés avec l’Orchestre de Paris et NOC !, accès à la culture avec l’Opéra de Paris, le Louvre, la Fondation Culturespaces, au sport avec l’association Caméléon aux Philippines, Fête le Mur ou encore Impulsion 75, et à l’éducation avec Gol de Letra au Brésil, Afghanistan Libre, Valued Citizens Initiative, etc. Au total, la Fondation a accompagné plus de 200 000 enfants grâce au soutien à 92 projets d’insertion pour l’enfance et la jeunesse. Ce jour anniversaire des 30 ans de la Convention des droits de l’enfant est aussi l’occasion pour la Fondation de remercier tous les bénévoles qui ont œuvré pour éclairer l’avenir de ces enfants.

« En 2019, un million d’enfants a retrouvé ses droits civiques en République démocratique du Congo, grâce au programme Schools, Lights and Rights ; 76 000 enfants en situation de grande précarité ont suivi des programmes d’insertion en Belgique ; 200 « grands exclus » (femmes seules, enfants, sans-abris…) sont hébergés dans le nouveau centre d’accueil du Samu social à Ivry… » – Bernard Guirkinger, Vice-Président de la Fondation ENGIE


NOC ! : une fresque de 30 mètres réalisée par les enfants à L'Institut Curie

Depuis 2005, NOC ! (Nous On Créé !), propose aux enfants hospitalisés à l’Hôpital Necker et à l’Institut Curie des ateliers d’arts plastiques. À l’instar de la réalisation de cette fresque, l’association souhaite multiplier les actions afin de donner une grande visibilité aux travaux réalisés par les enfants !

 

Cette fresque de 30 mètres a été réalisée à partir des dessins des enfants et adolescents hospitalisés à l’Institut Curie et fréquentant l’atelier d’arts plastiques mis en place par l’association NOC ! Nous on crée – Arts plastiques à l’hôpital. L’institut Curie a financé cette fresque et a offert ainsi à NOC !, aux nombreux patients et professionnels qui fréquentent ce couloir chaque jour, une opportunité d’admirer l’immense talent des jeunes patients hospitalisés.

L’association NOC ! propose des ateliers d’arts plastiques gratuits et réguliers, implantés au cœur des structures de soins, afin de participer à l’amélioration de la qualité de vie des jeunes patients, dans le cadre d’un processus de soins global. L’association NOC ! attache une grande importance à donner une visibilité aux œuvres créées, à travers des projets de décoration à l’intérieur des services hospitaliers mais aussi grâce aux expositions annuelles dans des lieux culturels.

L’atelier d’arts plastiques est le fruit d’une initiative mise en place dès 2005 dans le service d’oncologie pédiatrique de l’Institut Curie. Afin de pérenniser l’atelier et de démultiplier le concept, l’association NOC ! a été créée en 2015. La Fondation ENGIE est le partenaire historique de NOC ! depuis sa création. En 2020, NOC ! fêtera ses quinze ans d’existence, et pour cet anniversaire, la Fondation ENGIE sera à ses côtés pour organiser un bel évènement.


3e année du programme Schools, Lights & Rights : le point à mi-parcours

Le programme Schools, Lights & Rights, initié et financé par la Fondation ENGIE, avec son partenaire historique « La Voix De l’Enfant », continue de se déployer en Afghanistan, en Afrique du Sud, au Burkina Faso, au Cameroun, en Inde, au Maroc, au Laos, à Madagascar et en République Démocratique du Congo. Petit point à mi-parcours 9 mois après le lancement de la troisième année du programme !

Lancé en Afrique du sud lors de la COP 21 en 2015, Schools, Lights and Rights, intervient aujourd’hui dans 10 pays autour des deux engagements majeurs de la Fondation : l’accès à l’énergie pour tous et l’insertion pour l’enfance et la jeunesse. Les bénévoles œuvrent chaque jour sur le terrain pour améliorer les conditions de vie des enfants autour de trois missions : l’électrification d’écoles et de structures d’accueil (avec Energy Assistance France, ONG interne au Groupe ENGIE), la distribution de lampes solaires portables et l’établissement d’états civils.

Pour sa 3e année, Schools, Lights and Rights vise à pérenniser les actions menées depuis 2015 et à prendre de l’ampleur grâce à l’implication des autorités locales pour l’accès à l’éducation et la digitalisation des états-civils. Les bénévoles continuent les enregistrements et la sensibilisation des populations locales dans des conditions parfois difficiles, notamment en raison de troubles sociaux qui engendrent de forts afflux de réfugiés et de personnes en situation irrégulières. Plus de 161 000 enregistrements supplémentaires d’états civils devraient être réalisés cette année pour atteindre 1 million d’états civils enregistrées depuis 2015. Une extension du programme est actuellement à l’étude au Laos.

Dans le volet « Lights », les lampes solaires portables continuent d’être distribuées progressivement grâce au support des associations locales. A Madagascar, elles sont arrivées juste à temps à Antananarivo pour éclairer la rentrée scolaire des enfants. Ces lampes solaires portables leurs permettront de faire leurs devoirs le soir, de lire et d’être en sécurité sur le chemin du retour de l’école. Au total, ce sont plus de 21 000 lampes qui vont être distribuées cette année.

Enfin, le programme s’enrichie de nouveaux projets d’électrification d’écoles et de centres de formation dans des zones isolées. Deux à trois projets devraient voir le jour cette année grâce à l’intervention constante et l’engagement très fort des bénévoles d’Energy Assistance France, ONG interne du Groupe. Dans ces villages reculés, l’accès à l’électricité améliore les conditions d’enseignement des enfants et créée un véritable un lieu d’échange et de convivialité entre tous les habitants du village. De nouvelles demandes d’intervention sont actuellement étudiées en Afrique et en Asie.