La Fondation ENGIE inaugure le Salon de Lyon du Palais Catherine - musée de Tsarskoïé Selo

Le Salon de Lyon a retrouvé sa splendeur d’antan. Pour le musée de Tsarskoïé Selo, c’est un événement historique : 74 ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, toute l’enfilade d’apparat du palais Catherine est désormais rendue aux visiteurs. L’église de la Résurrection du Christ et le Salon de Lyon forment l’alpha et l’oméga de l’exposition.

C’est grâce au soutien financier de la Fondation d’entreprise ENGIE et de Gazprom que le Salon de Lyon a connu sa renaissance. La Fondation ENGIE a financé la fabrication des soieries, réalisées par la manufacture Prelle, qui avait réalisé les soieries d’origine en 1861. Lors de cette inauguration, les invités ont pu assister à un récital de deux jeunes talents de l’Académie de l’Opéra de Paris dont la Fondation est mécène fondateur : Vladimir Kapshuk – Baryton et Yoan Héreau – Pianiste-chef de chant.

Le Salon de Lyon est l’un des intérieurs les plus parfaits de l’architecte Charles Cameron. Il faisait partie des appartements privés de la Grande Catherine au Grand Palais de Tsarskoïé Selo (ou Palais Catherine). Ce chef d’œuvre fut créé entre 1781 et 1783 et doit son nom aux soieries fabriquées à Lyon qui ornaient ses murs et son mobilier. Le salon de Lyon faisait partie de l’enfilade d’apparat du palais, ce qui exigeait une magnificence particulière de sa décoration. Un effet d’une rare élégance fut obtenu grâce à l’alliance de la soie « dorée » et des décorations bleues en lapis-lazuli. Les maîtres artisans utilisèrent presque une tonne et demie de lapis-lazuli, et pour la décoration des portes et du parquet ils employèrent une douzaine d’essences de bois rare et de la nacre.

Depuis l’époque de Catherine II, les tapisseries en soie ont été changées plus d’une fois. Au milieu du XIXe siècle, le Salon de Lyon devient le salon d’apparat de Maria Alexandrovna, épouse du tsar Alexandre II. A sa demande, l’architecte Hippolyte Monighetti apporte des changements cardinaux à la décoration intérieure : désormais, le tissu couvre entièrement les murs. Le salon est en outre complété avec de nouveaux meubles réalisé selon les esquisses de Monighetti, ainsi qu’un lustre en lapis-lazuli du Baïkal et du Badakhchan doté d’éléments en bronze doré et d’un monogramme de l’impératrice Maria Alexandrovna. En 1866, à l’occasion du 25ème anniversaire du mariage d’Alexandre II et de Maria Alexandrovna, les murs furent recouverts d’une nouvelle soie de Lyon. Ce tissu avait la couleur « bouton d’or » et recouvrait les murs jusqu’au bord supérieur de la corniche. Il fut également utilisé pour le revêtement des meubles et les rideaux. La combinaison des éléments raffinés du décor de l’époque de Catherine II, de la soie et des objets du XIXe siècle firent du Salon de Lyon la salle la plus envoûtante de l’époque historiciste.

Le Salon de Lyon reproduit en 1878 sur l’aquarelle de Luigi Premazzi, exista dans cet aspect jusqu’à 1941.

Sa décoration fut détruite pendant la guerre. Puisqu’il restait 25 objets du mobilier fabriqués avec l’utilisation du lapis-lazuli, des échantillons de soie, ainsi que des inventaires du palais et des photos, il fut décidé de restaurer la décoration de l’époque d’Alexandre II. Le premier pas vers la renaissance de la salle fut posé en 2005. Le projet de restauration avait été rédigé en 1983 par l’architecte principal du musée, Alexandre Kedrinsky, (1917-2003), cependant le projet fut mis à jour en 2006-2007.

La fabrication des soieries a été financée par la Fondation d’entreprise ENGIE. Par bonheur, le musée avait conservé les matériaux iconographiques (les inventaires, les photos, les autochromes, l’aquarelle, les échantillons de soie), et à Lyon, les archives de la manufacture Lamy et Girault, qui en 1861 avait exécuté la commande de la Cour impériale russe, étaient restées intactes. L’entreprise qui lui a succédé, la manufacture lyonnaise Prelle, avait conservé les carnets de commandes du XIX siècle. Une décision historiquement justifiée a alors été prise, celle de confier la fabrication des nouvelles soieries du Salon de Lyon aux spécialistes français de la manufacture Prelle. Conformément au projet de restauration des tentures murales, des portières, des tissus pour les portières et de l’étoffe des meubles élaboré par le musée, les artisans du XXIe siècle ont confectionné 320 mètres de tissu « Lampas bouton d’or Louis XVI », d’une largeur de 162 cm. Ainsi, les soieries, résultat d’un travail virtuose des maîtres français, sont redevenues l’élément décoratif principal du Salon.


Salon de Lyon. Quelques chiffres et faits :

  • Pendant le règne de la Grande Catherine, la vie officielle de la Cour se déplaça au salon de Lyon qui se transforma en une sorte de salle d’attente d’apparat. Des invités venus présenter leurs rapports y attendaient d’être reçus. Le soir, on y jouait aux cartes, on donnait des concerts musicaux. Là, se réunissaient des « nobles, hommes et femmes » faisant partie de la suite de l’impératrice, afin de participer à une promenade, un repas ou un spectacle.
  • L’impératrice Maria Alexandrovna aimait sa salle de séjour fastueuse et y réunissait ses enfants et ses proches. Pendant le séjour de la princesse Dagmar de Danemark en 1866, après un déjeuner solennel dans la salle des Arabesques voisine, la famille a pris le café en petit cercle au Salon de Lyon.
  • Au début du XIXe siècle, c’est au Salon de Lyon que l’on habillait les princesses avant les cérémonies de mariage, lorsqu’elles se déroulaient à Tsarskoïé Selo.
  • Pendant la Seconde Guerre mondiale, le divan Georges Jacob, le mobilier en lapis-lazuli et les tableaux furent évacués du Salon de Lyon. Après la guerre, il a été possible de récupérer le paravent à trois battants (qu’on retrouva en Estonie). Dans le parc Alexandre, on retrouva trois fauteuils ayant fait partie de l’ensemble du XIXe siècle. En 2018, ils furent restaurés et tapissés avec de la soie fabriquée à Lyon.
  • Les objets en lapis-lazuli réunis au Salon de Lyon représentent la plus grande collection, parmi les musées russes, d’objets d’art décoratif du XIXe siècle en lapis-lazuli et bronze doré.
  • Le lapis-lazuli est une pierre semi-précieuse de couleur bleue d’une composition minéralogique complexe avec des insertions blanches et dorées. Au milieu du XIXe siècle, le lapis-lazuli d’Afghanistan, qui arrivait en Russie via Boukhara dans l’actuel Ouzbékistan, était le plus prisé.


Renouvellement du partenariat entre Fête le Mur et la Fondation ENGIE

Fête le Mur et la Fondation ENGIE partenaires depuis 20 ans, renouvellent leur partenariat pour permettre la pratique du tennis pour tous

Le 7 juin 2019, Isabelle Kocher, Directeur Général d’ENGIE et Présidente de la Fondation d’entreprise ENGIE a signé le renouvellement du partenariat avec l’association Fête le Mur pour deux ans.

Isabelle Kocher, Directeur Général d’ENGIE, Tatiana Golovin, Vice présidente de l’association Fete le Mur, Rahma Mebrouk une jeune bénéficiaire du programme Fête le Mur qui achève son cursus de médecine originaire des sites de Sevran puis de La Courneuve.

 

Fondée en 1996 par Yannick Noah, Fête le Mur permet aux enfants des cités de pratiquer le tennis au cœur même de leur quartier, encadrés par des professionnels. Bien plus qu’une simple initiation au tennis, l’association a développé des programmes d’accompagnement à la compétition, d’initiation à l’arbitrage, de formation aux métiers du sport, de coaching d’insertion, d’ouverture à la culture et à l’handisport. Une seule idée en tête, faire du sport et du tennis un merveilleux outil d’épanouissement et de lutte contre l’exclusion des jeunes des quartiers.


La Fondation ENGIE acteur engagé pour l’insertion par le sport des jeunes, accompagne l’association Fête le Mur depuis 20 ans

L’association bénéficie du soutien de la Fondation ENGIE depuis 1999, grâce auquel elle a pu ouvrir 35 sites dans 12 régions de France qui rayonnent dans 92 quartiers prioritaires. En 20 ans, plus de 30 000 jeunes ont bénéficié de ses actions. Parce qu’il valorise l’excellence, l’esprit d’équipe, l’esprit d’initiative et qu’il aide à acquérir des valeurs telles que la maitrise de soi ou le respect des autres, et qu’il maintient en bonne santé, le sport constitue un des meilleurs moyens de prévenir l’exclusion, la discrimination et l’isolement des jeunes dans les quartiers difficiles ainsi que dans le monde rural et ainsi les préparer au monde de demain. Agir aux côtés d’associations ayant pour objectif de faire de la pratique sportive un outil socio-éducatif au service de la solidarité et de la cohésion sociale. Ce volet du programme Solidarité de la Fondation ENGIE permet d’encourager la mixité sociale et favorise l’égalité des chances.


Chiffres clé de Fête le Mur

  • 35 implantations Fête le Mur en France Métropolitaine et DOM-TOM
  • 5 000 enfants jouent au tennis dans les cités par an
  • 60 arbitres diplômés ayant suivi le cursus de l’Ecole d’Arbitrage Fête le Mur officient sur des tournois nationaux et internationaux
  • Plus de 800 jeunes ont intégré un des programmes d’éducation et d’insertion de Fête le Mur  : Tous sur le Court !, De l’autre côté du Mur, Ecole d’arbitrage, Jeu, Set et Job


Inauguration du Centre Babinski du Samusocial à l’hôpital Charles-Foix

Le nouveau centre d’hébergement du Samusocial, rénové grâce au soutien de la Fondation ENGIE, a été inauguré ce mardi 28 mai 2019, à Ivry-sur-Seine

Répondre aux situations de très grande précarité : c’est l’objectif du nouveau centre d’hébergement du Samusocial de Paris, créé dans l’aile Babinski de l’hôpital Charles-Foix d’Ivry-sur-Seine, avec l’aide de la Fondation d’entreprise Engie, dans le cadre de son programme aide à l’enfance en précarité.

Inauguré par la Présidente de la Région Île-de-France, Valérie Pécresse, le Préfet du Val de Marne, Laurent Prévost, et le Maire d’Ivry-sur-Seine de Philippe Bouyssou, en présence de Pierre-Yves Dulac, directeur délégué régional Ile de France d’Engie, ce site a une capacité de près de 200 places. Il accueillera notamment des familles de migrants en grande précarité.

Le centre Babinski est beaucoup plus qu’un centre d’hébergement. C’est un lieu d’accueil où tout est fait pour permettre aux « grands précaires » (sans-abris, femmes seules, familles…) de regagner en confiance et en autonomie. Jardin thérapeutique, laverie et cuisine collective, accompagnement social, psychologique et sanitaire (avec la présence d’une infirmière 24 h / 24, d’un psychologue et d’une équipe de vingt-huit travailleurs sociaux) : tout est conçu pour aider les bénéficiaires à (ré)-acquérir les codes qui leur permettront d’intégrer un logement plus durable. Ils pourront également bénéficier de la permanence d’accès aux soins de l’AP-HP.


12 000 familles et des enfants en grande précarité

Le Samusocial de Paris loge chaque soir près de 12 000 familles dans des hôtels, dont plus de 15 000 mineurs. C’est l’équivalent d’une ville comme Nevers. Aujourd’hui, le manque de places est criant, notamment pour accueillir les familles de migrants. C’est notamment pour cette raison que la Fondation ENGIE, engagée depuis sa création dans l’aide à l’enfance en précarité, a décidé d’apporter son soutien pour la rénovation et la réhabilitation de l’aile Babinski de l’hôpital Charles-Foix.


Le centre Babinski en chiffres

Le centre Babinski comprend 2 structures d’hébergement (CHU Femmes et CHU Familles) et 2 structures de soins (LHSS et LAM) :
• Un CHU Femmes de 48 places
• Un CHU Familles de 72 places
• Un LHSS et un LAM de 68 places
82 chambres
• Un bâtiment de 4 400 m2
• Un jardin de 2 500 m2


Un autre projet porté par la Fondation Engie en 2019 avec le Samu : les Bains-Douches rue de Charenton

La Fondation ENGIE est un partenaire historique du Samusocial de Paris (le Groupe est fondateur du GIP qui a donné naissance au Samu social) qu’elle accompagne depuis 1994 à travers différents projets tels que pendant 10 ans, les maraudes dans le cadre d’un mécénat de compétences, puis le BEEP (Bus Espace Enfants Parents), une innovation pour aller à la rencontre de publics en difficultés. En 2019, la Fondation ENGIE a accordé son soutien au projet « Bains douches Charenton », un lieu d’hygiène et de soins dédié aux femmes sans abris dans le 12ième arrondissement à Paris, inauguré le 20 mars dernier, en présence d’Anne Hidalgo.


A propos de la Fondation ENGIE

Depuis sa création il y a 25 ans, la Fondation a soutenu plus de 1000 projets, associations ou institutions. En 2018, les 131 actions soutenues par la Fondation, partout dans le monde, ont bénéficié à plus de 620 000 femmes, hommes et enfants. Aide à l’enfance- éducation, accès de tous à l’énergie, aide d’urgence : la fondation d’entreprise Engie déploie ses actions dans ces 3 priorités.

A propos du Samusocial de Paris

Le Samusocial de Paris développe aujourd’hui un ensemble d’actions de lutte contre la grande exclusion : écoute et orientation par le 115 de Paris, hébergement en centres d’hébergement d’urgence (CHU), accueil de jour, soins en Lits Halte Soins Santé (LHSS) et Lit d’Aide Médicalisé (LAM), accompagnement social, etc. Son credo : aller vers les personnes qui ne demandent plus rien.


Raí organise le 16ème « Trophée Gol de Letra »

Créée en 1998 par les anciens footballeurs Raí et Leonardo, Gol de Letra est une ONG dont la mission est d’apporter un soutien éducatif, culturel et sportif à des enfants et adolescents des communautés défavorisées de Rio et Sao Paulo. Depuis 2004, elle organise le « trophée Gol de Letra » qui regroupe des entreprises, d’anciens ou actuels joueurs professionnels et de nombreuses célébrités pour soutenir les actions de l’ONG au Brésil.

 


Un rendez-vous sportif et caritatif incontournable

C’est à l’Urban Soccer de Meudon que Raí et ses partenaires se sont donné rendez-vous pour un tournoi de football exceptionnel le 25 mai dernier. 1ere étape, le tournoi inter-entreprises qui voit s’affronter 32 équipes de 5 joueurs amateurs, parmi lesquels l’équipe de la Fondation ENGIE. Un moment d’échange et de partage sportif, mais surtout un merveilleux rassemblement de volontaires prêts à s’impliquer pour la cause des enfants du Brésil. Le gagnant de ce tournoi a eu l’opportunité d’affronter l’équipe de Raí et de ses amis VIP ! L’intégralité des bénéfices de la journée est reversée à la Fondation Gol de Letra, pour donner de nouvelles perspectives d’avenir aux enfants de communautés socialement vulnérables au Brésil.


Un engagement de plus de 20 ans au Brésil

Au Brésil, Gol de Letra œuvre chaque jour pour offrir un avenir aux jeunes en situation de précarité grâce à un programme d’éducation global mixant éducation, sport et culture. Objectif principal, améliorer les conditions de vie de ces enfants et adolescents trop souvent exclus de la société.

C’est dans une école abandonnée du quartier de la Vila Albertina, que Gol de Letra s’est installée en 1998. Un quartier défavorisé de la Ville de São Paulo, la plus grande du pays. En 1999, après une année de travaux, de recherches auprès d’autres ONG pour définir une méthodologie, d’implication des habitants du quartier dans le projet, la Fondation Gol de Letra ouvre ses portes et accueille des enfants dans le cadre du programme éducatif « Virando o Jogo ». La Fondation ENGIE est partenaire depuis 2013 de Gol de Letra. Elle a soutenu les programmes éducatifs « Dois Toques» et « Jogo Aberto ». Depuis sa création, plus de 15 000 jeunes ont bénéficié des 8 programmes de l’ONG à São Paulo et Rio.

Crédits photos : Eric Huynh


Interview avec Yannick Noah : 20 ans de partenariat avec Fête le Mur

Fondée en 1996 par Yannick Noah, Fête le Mur c’est aujourd’hui 37 implantations partout en France dans des quartiers prioritaires et plus de 30 000 jeunes bénéficiaires. Bien plus qu’une simple initiation au tennis, l’association a développé des programmes d’accompagnement à la compétition, d’initiation à l’arbitrage, de formation aux métiers du sport, de coaching d’insertion, d’ouverture à la culture et à l’handisport. Une seule idée en tête, faire du sport et du tennis un merveilleux outil d’épanouissement et de lutte contre l’exclusion des jeunes des quartiers.

À l’occasion des 20 ans du partenariat entre la Fondation et Fête le Mur, Yannick Noah, président fondateur de l’association, nous a accordé quelques mots lors de l’inauguration du dernier site à Bordeaux. Au programme de cette interview : ses motivations à créer Fête le Mur, les valeurs de partage et d’ouverture qu’il souhaite transmettre aux jeunes et les ambitions de l’association pour le futur !


7e édition de la Coupe de la Fraternité à Paris

La Coupe de la Fraternité, organisée par La Voix De l’Enfant depuis 2010, rassemble des enfants de 10 à 12 ans venus du monde entier pour un moment exceptionnel d’échange riche et plein de surprise à Paris. A l’occasion de la 7e édition, du 27 avril au 6 mai, focus sur ce programme inédit d’insertion pour l’enfance et la jeunesse par le sport, la culture et l’éducation !


Un programme sportif et culturel…

Ils viennent du Burkina Faso, de Madagascar, du Maroc, de Palestine, du Liban, d’Israël, de Bosnie Herzégovine, d’Inde, du Vietnam et du pays d’accueil, la France. Organisée par la Voix de l’Enfant depuis 2010, la Coupe de la Fraternité a pour principal objectif de rassembler, sous le même toit, des enfants du monde entier, afin de leur inculquer, à travers les activités citoyennes, des valeurs de paix, de fraternité, de respect et de non-violence.

Plus qu’une compétition sportive, la Coupe de la Fraternité se veut un moment d’échange entre les jeunes filles et garçons bénéficiaires des différents programmes de l’association à travers le monde. Une semaine culturelle, pédagogique, artistique et sportive, ponctuée par des moments forts : le traditionnel tournoi de football et une initiation au baseball, des visites de monuments, des ateliers de chant et théâtre, une visite guidée et commentée au Musée du Quai Branly organisée avec le soutien de la Fondation ENGIE, ou encore des soirées interculturelles préparées par chaque délégation, permettant la découverte des différents pays rassemblés.


… à vocation sociale et pédagogique !

Au-delà de cette semaine d’échange à Paris, les enfants de chaque délégation sont amenés, à chaque édition, à réfléchir sur une thématique commune. Cette année, c’est la thématique des « Droits de l’Enfant » qui a été choisie à l’occasion du 30ème anniversaire de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant.

En amont de leur venue en France, un travail préparatoire, à travers le jeu participatif avec les enfants, est demandé aux délégations de chaque pays. Objectif ? Débattre, comprendre, apprendre, mais surtout échanger avec les autres enfants et les animateurs bénévoles. Ce travail préparatoire permet aux enfants de mieux comprendre leur situation personnelle, afin de réfléchir sur des projets citoyens ancrés dans leur quotidien.

Le rassemblement des 12 délégations à Paris permet aux enfants de découvrir l’« autre », ses spécificités et ses ressemblances, à travers de nombreux échanges riches et variés. De retour dans leur pays, dans le souci de prolonger les moments de découvertes, d’intenses émotions, d’enrichissements personnels et collectifs, l’accent sera mis sur la réalisation par les enfants d’un projet qu’ils auront décidé de réaliser en fonction de leurs problématiques locales.


Une manifestation soutenue depuis plusieurs années par la Fondation ENGIE

Par sa participation et sa contribution, la Fondation ENGIE concrétise son action auprès des jeunes et contribue à réunir les conditions nécessaires à leur développement personnel.

Les collaborateurs du Groupe ENGIE s’investissent dans cette cause humaine et solidaire en portant les couleurs de la Fondation ENGIE lors du match de football inter partenaires le 4 mai 2019. L’enjeu est important pour l’équipe ENGIE qui avait remporté la Coupe lors de la dernière édition !

Enfin, c’est aussi une continuité dans l’engagement de la Fondation ENGIE, partagé avec La Voix De l’Enfant, dans le programme « Schools, Lights and Rights », initié par la Fondation ENGIE depuis fin 2015.


Reengineering des installations électriques de l’Hôpital de Panzi en RDC

La Fondation ENGIE s’engage aux côtés du docteur Denis Mukwege, prix Nobel de la Paix 2018, pour venir en aide aux femmes survivantes de violences sexuelles via le reengineering des installations électriques de l’Hôpital de Panzi en République Démocratique du Congo (RDC). La Convention est signée le 27 mars, lors de la conférence « Stand Speak Rise up ! », un forum international dédié à la lutte contre la violence sexuelle dans des environnements fragiles organisé à l’initiative de la Grande-Duchesse de Luxembourg, dont la Fondation ENGIE est partenaire.

Le docteur gynécologue Denis Mukwege est un héros à Bukavu, la capitale du Sud-Kivu, en RDC. Depuis vingt ans, le dernier Prix Nobel de la Paix lutte contre un fléau : le viol, devenu une arme de guerre des groupes qui se battent pour le contrôle des minerais de la région. Celui qu’on appelle le « réparateur des femmes » a soigné plus de 50 000 femmes survivantes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi, qu’il a créé en 1999. Les victimes sont opérées dans l’établissement – grâce à des techniques en pointe d’endoscopie médicale -, elles sont également accompagnées psychologiquement et juridiquement.

Parce que la cause des femmes est au cœur de ses engagements, la Fondation ENGIE a décidé d’apporter son soutien à Denis Mukwege. Ce partenariat prévoit le reengineering des installations électriques de l’hôpital de référence, ceci en vue de la sécurisation de l’alimentation électrique ainsi que d’une augmentation importante de l’efficacité écologique et économiques de l’ensemble des installations et équipement de l’Hopital de Panzi.


« Stand Speak Rise up ! » : pour que le corps des femmes ne soit plus un champ de bataille

Le corps de la femme est aujourd’hui utilisé comme une arme de guerre à grande échelle. Le nombre de femmes déplacés ou meurtries pour cause de conflit ou de persécutions est plus élevé que jamais. Pour agir contre ce fléau, la Grande-Duchesse de Luxembourg et sa Fondation, auxquels se sont jointes deux ONG (Fondation Dr. Denis Mukwege et We are NOT Weapons of War), ont décidé de lancer « Stand Speak Rise up ! », le premier forum international consacré à la lutte contre la violence sexuelle dans des environnements fragiles.

« Stand Speak Rise up ! » se déroule les 26 et 27 mars à Luxembourg et réunit des acteurs clés de la communauté internationale : organismes nationaux et internationaux, ONG, acteurs publics et privés, personnalités… Cinq prix Nobel sont présents lors de cet événement, dont les deux prix Nobel 2018, Nadia Murad et Denis Mukwege et Mohammad Yunus. L’objectif est de créer de nouveaux partenariats, d’élargir les initiatives actuelles et d’identifier des solutions nouvelles et durables. Le forum servira de plate-forme pour la collaboration multipartite et donnera une voix aux survivants, qui jouent un rôle central dans la conception de programmes et d’interventions efficaces


La Fondation ENGIE, partenaire de « Stand Speak Rise Up ! » et acteur engagé pour l’accès de tous à l’énergie

Le partenariat avec « Stand Speak Rise up ! » s’inscrit parfaitement dans la stratégie de la Fondation ENGIE, qui soutient depuis de nombreuses années des ONG ou associations portées par des femmes ou soutenant la cause des femmes. Par ailleurs, la Convention signée avec le Dr Denis Mukwege, qui prévoit l’électrification de l’hôpital de Panzi, entre dans le cadre des projets soutenus par la Fondation au titre de ses engagements en faveur de l’accès à l’énergie pour tous.

Depuis sa création il y a 25 ans, la Fondation a soutenu plus de 1000 projets, associations ou institutions. En 2018, les 131 actions soutenues par la Fondation, partout dans le monde, ont bénéficié à plus de 620 000 femmes, hommes et enfants, notamment pour donner l’accès à l’énergie au plus grand nombre.

Dans le monde, 1,3 milliard de personnes n’ont pas accès à l’électricité. Or, sans électricité, il n’y a pas d’accès à l’eau potable, pas d’hôpitaux, pas d’école, peu d’activité économique. Quand la lumière arrive, elle apporte la vie, éloigne les dangers, amène la prospérité. Quand elle débarque au cœur d’un village rural en Afrique subsaharienne ou dans les terres reculées du Brahmapoutre au Bangladesh, elle permet aux enfants d’étudier à la tombée de la nuit.

La Fondation ENGIE travaille en étroite collaboration avec des ONG, institutions ou associations intervenant dans le domaine de l’accès à l’énergie pour tous. Avec La Voix De l’Enfant, la Fondation ENGIE a lancé le projet emblématique « Schools, Lights and Rights ». Ce projet est déployé auprès des enfants dans neuf pays, dont six en Afrique.

Parce que le monde de demain ne peut se concevoir sans lumière ! Parce que l’énergie est la condition sine qua non pour accéder à l’éducation, à la santé, au mieux-être.


8ème festival Música em Trancoso au Brésil

Depuis 2012, le festival Música em Trancoso est un évènement musical unique au Brésil, il réunit chaque année à la fois des jeunes musiciens et des professionnels de renom. Son programme éclectique allie la musique classique, populaire, jazz, avec des artistes majeurs du Brésil et de la scène mondiale.

Sous la direction artistique du Mozarteum Brasileiro, les éditions précédentes comptabilisent déjà 56 spectacles, 1520 artistes, principalement brésiliens, et plus de 58 000 spectateurs. Le festival propose également des master-classes gratuites aux étudiants brésiliens, enseignées par des musiciens de renommée internationale, et donne également des cours d’initiation à la musique dans les écoles publiques de la région de Porto Seguro.

Pour sa huitième année, le festival Musica em Trancoso proposera du 23 au 30 mars 2019 des attractions de différents genres musicaux, favorisant une véritable interaction culturelle. L’événement réunira plus de 300 artistes du monde entier, avec Elba Ramalho chantant Dominguinhos, Paula et Jaques Morelenbaum en hommage à Tom Jobim, et de nombreux concerts de musique classique et de jazz latin.


« La musique à Trancoso est une occasion inoubliable d’assister à des concerts insolites rassemblant des artistes importants de différents horizons et origines qui ne se produiraient normalement pas ensemble »

– Sabine Lovatelli, directrice artistique de Música em Trancoso.

Dans sa volonté de favoriser l’accès de tous à la Culture, la Fondation ENGIE est très fière d’être partenaire de ce festival pour la troisième année consécutive.


La Fondation participe à l'électrification de deux écoles secondaires en Éthiopie

C’est dans une zone rurale du Woreda (district) de Mirab Abaya, à plus de 100 km du réseau électrique national, que les bénévoles d’Energy Assistance ont apportés leur expertise aux populations locales.

Le projet ? Profiter de l’excellent rayonnement solaire disponible tout au long de l’année dans la région, pour apporter l’électricité à deux lycées grâce à la technologie solaire photovoltaïque. Au total, ce sont 11 bâtiments et 34 classes qui bénéficient depuis le début de l’année d’une l’électricité propre et durable. Ce programme a permis aux 800 élèves bénéficiaires de reprendre le programme éducatif national grâce aux ordinateurs et magnétoscopes alimentés également par les panneaux solaires.

Ces deux projets, en partie financés par la Fondation ENGIE, ont été réalisés en collaboration avec l’Université Arba Minch, qui a contribué au transport du matériel de Arba Minch sur les sites et a mis à disposition un technicien pour aider à l’installation et assurer la pérennité du projet dans le temps.


Une association de collaborateurs du Groupe ENGIE

Créée en Belgique par des collaborateurs actifs et retraités d’ENGIE, Energy Assistance rassemble des volontaires des secteurs d’activité d’énergie et de distributeurs de réseaux d’électricité du Groupe. Objectif ? Mettre les compétences et le savoir-faire de ses membres, soutenus par des moyens techniques d’ENGIE, au service de projets humanitaires destinés à des populations qui n’ont pas accès aux services énergétiques essentiels, sur tous les continents.

Ils apportent leur savoir-faire pour :
– la production d’énergie décentralisée pour alimenter des dispensaires, des écoles, des orphelinats grâce aux énergies renouvelables ;
– la réalisation et le raccordement de mini réseaux pour la fourniture d’électricité aux communautés isolées, ;
– la réhabilitation d’installations électriques.

Les projets d’Energy Assistance utilisent le plus souvent l’énergie solaire photovoltaïque, mais les experts ont également recours à l’hydraulique ou à l’éolien lorsque les conditions et la géographie le permettent. L’association s’engage dans un partenariat long-terme avec les bénéficiaires locaux en vue d’assurer la pérennité de ses réalisations (formation).

En savoir plus

Une initiation aux probabilités et à l’économie pour des élèves de REP

Avec le soutien de la Fondation Engie, la Fondation Cournot met en œuvre des actions visant à favoriser l’initiation aux probabilités et à l’économie d’élèves relevant de Réseaux d’éducation prioritaire (REP).

 

Un projet sur toute l’année scolaire

Pour l’année scolaire 2018-2019, le projet concerne deux collèges en REPs, le Collège des Petits Ponts à Clamart (92) et le Collège de Penn Ar C’hleuz à Brest. Des élèves de 4e et de 3e de ces deux collèges sont ainsi jumelés et encadrés par le mathématicien Josselin Garnier.

L’objectif des ateliers Cournot est de faire travailler les élèves sur un sujet de recherche tout au long de l’année. Concrètement, les ateliers ont lieu dans les deux collèges toutes les semaines ; une coordination entre les deux groupes se fait par les professeurs de collèges et par le Professeur Garnier.

Les trois ateliers reposent sur des jeux expérimentaux :
• le jeu du quitte ou double
• le jeu de la martingale
• le jeu du maximum

La Fondation Cournot s’est rapprochée de l’association de promotion des mathématiques Math en Jeans (MeJ) pour réaliser ce projet. L’atelier avec les 3e du collège REP du Clamart s’est déroulé le 11 février dernier. Les jeunes ont été ravis de leur accueil par Josselin Garnier et par l’équipe de la Fondation Cournot sur le campus de l’Ecole Polytechnique. Après une visite guidée du campus par Josselin Garnier, les élèves ont présenté leurs premiers résultats obtenus sur les trois jeux de probabilités qu’ils testent depuis le mois d’octobre, en compagnie de leur professeur encadrant du Collège des Petits Ponts (Clamart), Clément Martin.

Les élèves participeront à la grande conférence de « Math en Jeans » au printemps et présenteront les fruits de leurs ateliers : exposé devant l’auditoire, stand avec affiches, jeux interactifs et publication dans les actes de la conférence à la fin de l’année scolaire.