La Fondation ENGIE partenaire de la saison 2018-2019 de l’Opéra de Paris

Monument de la culture française, l’Opéra de Paris célébrera, tout au long de sa saison 2018-2019, un double anniversaire : les 350 ans de la création de l’Académie royale de musique et les 30 ans de l’inauguration de l’Opéra Bastille. En 2019, l’Opéra de Paris et la Fondation ENGIE fêteront également 10 ans de partenariat et d’engagement pour favoriser l’accès à la culture des jeunes. Focus !

Favoriser l’accès à la culture pour tous

En tant qu’opéra national, l’Opéra de Paris joue un rôle essentiel dans la mise en valeur du patrimoine culturel, mais pas que ! Depuis sa prise de fonctions en 2014, Stéphane Lissner, directeur de l’Opéra national de Paris, s’attache à allier tradition et modernité dans la programmation. En plus des œuvres dites « classiques », la « Grande Boutique » se diversifie au fil des années et propose également des créations et représentations plus contemporaines, accessibles et ludiques, interprétées tantôt par quelques-unes des plus grandes voix, tantôt par de jeunes talents.

Après le Palais Garnier en 1875 et l’Opéra Bastille en 1989, c’est sur internet que l’expérience se poursuit. En 2015 l’institution a créé sa « 3e Scène », un espace numérique unique où les artistes de tous horizons sont invités à s’exprimer à leur façon (fictions, documentaires, animations, performances), afin de réaliser une œuvre en lien avec l’univers de la danse, de la musique ou de l’opéra. En plus de ses spectacles vivants et numériques, l’Opéra de Paris propose des cycles de conférences, animations et masterclasses, pour sensibiliser jeunes et moins jeunes aux joies de l’art lyrique et chorégraphique.

C’est dans cet objectif que s’inscrit le partenariat privilégié avec la Fondation ENGIE depuis 2009. À travers divers projets, notamment le programme « 10 mois d’école et d’opéra », la Fondation ENGIE et l’Opéra de Paris s’attachent à développer l’intérêt des jeunes pour la culture et à ouvrir les portes de l’opéra aux plus défavorisés. La Fondation sera mécène exclusif de la représentation du Samedi 14 juillet 2018 au Palais Garnier, qui se tiendra pour un public qui n’a habituellement pas accès aux œuvres.

« La programmation des opéras et des ballets a été construite pour rendre hommage aux compositeurs qui ont marqué notre histoire et pour poursuivre les cycles entamés il y a trois ans, notamment autour de la musique française, avec certains de nos plus grands artistes lyriques »Stéphane Lissner

Le programme complet de la saison 2018-2019 de l’Opéra de Paris par ici !


Témoignage de Chékéba HACHEMI, Présidente d' Afghanistan Libre

Chékéba HACHEMI, présidente d’ « Afghanistan Libre », fait le bilan après deux années de partenariat avec La Voix De l’Enfant et la Fondation ENGIE dans le cadre du programme Schools, Lights and Rights en Afghanistan.

Afghanistan Libre : plus de 20 ans d’engagement pour les femmes Afghanes

Afghanistan Libre est une organisation indépendante, non gouvernementale et à but non lucratif créée en 1996 par Chékéba Hachemi. Elle agit en faveur d’une amélioration de la condition des filles et des femmes afghanes à travers plusieurs axes d’intervention : l’accès à l’éducation, la santé, l’énergie et à des activités épanouissantes pour leur permettre d’acquérir leur indépendance.

Depuis 2016, Afghanistan Libre est partenaire du projet « Schools, Lights and Rights » porté par La Voix De l’Enfant en partenariat avec la Fondation ENGIE. Ce programme a permis à 2 700 jeunes afghanes d’acquérir leur Tazkira, une pièce d’identité grâce à laquelle les jeunes filles acquièrent une identité légale et donc le droit de faire valoir leurs droits et de poursuivre leurs études. Des lampes solaires ont également été distribuées pour permettre aux jeunes filles de faire leur devoir à la maison dans de meilleures conditions et sécuriser les trajets de nuit entre l’école et le foyer. L’association ambitionne de doubler la distribution d’états civils et de lampes solaires en 2018 !


La Fondation ENGIE installe un City stadium à Kigali (Rwanda)

Inauguré le 17 février dernier par Laura Flessel, le terrain multi sport de Kigali est une infrastructure moderne et innovante qui vise à encourager l’insertion des jeunes Kigaliens par le sport. Ce programme vient contribuer au large engagement de la Fondation ENGIE pour l’Afrique et son avenir : sa jeunesse !

« City Stade – Fondation ENGIE » : favoriser l’insertion des jeunes par le sport

À Kigali (Rwanda), la Fondation ENGIE s’engage aux côtés de l’association « Africa City Stade » pour favoriser l’accès au sport pour tous. Le 17 février dernier, en présence de la ministre des sports Laura Flessel, a été inauguré le premier « City Stade – Fondation ENGIE » financé par la Fondation ENGIE en partenariat avec le ministère des sports français. Le « City Stade » c’est un terrain multi sport urbain, librement accessible aux jeunes Kigaliens, pour permettre à des centaines d’enfants de pratiquer l’éducation physique et sportive en toute sécurité.

Engagée pour l’insertion par le sport des jeunes, la Fondation ENGIE souhaite avec ce nouveau projet promouvoir et favoriser l’accès au sport libre, gratuit, sans distinction ou barrière sociale (sexe, origine, religion, communauté, etc.). En plus des valeurs d’excellence, d’esprit d’équipe et de respect qu’il suggère, le sport est un excellent moyen d’encourager la mixité sociale et l’égalité des chances, en particulier dans les quartiers difficiles et le monde rural.

Le projet « City Stade – Fondation ENGIE » vient contribuer au fort engagement de la Fondation pour l’Afrique et certains de ses enjeux : accès à l’énergie durable et aux droits civiques, éducation, santé. À travers des engagements historiques, comme avec Valued Citizens ou Bayti, des projets emblématiques comme la maison des Enfants de l’Hôpital de Dakar ou le programme Schools, Lights and Rights, la Fondation s’engage auprès des autorités et de partenaires locaux pour aider l’Afrique à se réinventer.

L’association “Africa City Stade”

Fondée en 2015 par Nathanael Diamé, l’association “Africa City Stade” œuvre auprès des autorités locales et de mécènes européens pour équiper les écoles, collèges et lycées africains de terrains multi sports modernes et innovants. Objectif ? Favoriser l’insertion des jeunes africains par le sport, faire face aux problèmes de chômage, de délinquance et d’accès à l’éducation et à la formation, et offrir l’opportunité à ces populations de s’épanouir et de grandir.

« Nous allons transformer le quotidien de milliers d’enfants Africains et rendre chacune de leurs journées plus belles à vivre. C’est toute l’idée de notre projet, créer et offrir à la jeunesse Africaine francophone le moyen d »accéder à de meilleurs perspectives d’avenir »Nathanael Diamé, Président Fondateur de l’association « City Stade »


Des résultats records dans les écoles initiées par Friendship au Bangladesh

Depuis 2002, l’ONG Friendship, vient en aide aux populations les plus défavorisées du Bangladesh. La plupart habite sur les chars, des îles éphémères du fleuve Brahmapoutre qui disparaissent au gré des inondations en laissant les populations locales dans des conditions plus que sommaires. Focus sur Friendship et son action globale pour les populations bangladaises et notamment son programme d’accès à l’éducation qui affiche des résultats bien au-delà des espérances !

Friendship : un dispositif d’aide global

Créée par Runa Khan, importante figure du Bangladesh et partenaire historique de la Fondation ENGIE, Friendship travaille à l’autonomisation des personnes en difficulté dans les régions les plus reculées du Bangladesh, grâce à une approche de développement durable et intégré.

En 2002, l’ONG envoie le premier bateau-hôpital, destiné à soigner les habitants des îles fluviales du Brahmapoutre. Depuis, ce ne sont pas moins de 250 000 personnes par mois qui bénéficient de cet accès aux soins. À cela s’ajoute une aide d’urgence afin d’affréter les produits de première nécessité, ainsi que des dispositifs de sensibilisation aux catastrophes naturelles. Friendship met également un point d’honneur à préserver le patrimoine culturel de ces populations et œuvre sur le front de l’accès à l’énergie. Depuis 2011, grâce au soutien de la fondation ENGIE, 500 micro-réseaux alimentés par des panneaux solaires ont été installés. Cette année, leur nombre devrait atteindre 4 000 pour alimenter en énergie durable et locale plus de 20 000 personnes.

Développer l’accès à l’éducation

Depuis 2015, grâce au soutien de la Fondation ENGIE et des bénévoles d’Energy Assistance France, Friendship a mis en place un vaste plan d’alphabétisation via la construction d’écoles et de centres pour adultes. Objectif, créer des écoles durables grâce à l’installation de panneaux photovoltaïques, mobiles pour être facilement démontées et déplacées en cas de catastrophe naturelle et ludiques grâce à des outils spécifiques (leçons vidéo, bibliothèque scolaire portable, jardinage et sensibilisation à la biodiversité, etc.).

Un modèle innovant qui fait ses preuves puisque 100 % des 56 élèves ayant accompli leurs trois années d’études du cycle secondaire inférieur au sein des écoles initiées par Friendship en 2015 ont décroché leur diplôme ! 100% quant au niveau national, le taux de réussite est autour de 83 %. Zunaid Ahmed Palak, le Ministre de l’information, des technologies et de la communication a largement félicité Friendship, et a encouragé le développement rapide de nouvelles écoles !


« Les jeunes ont la parole » : visiter le Louvre autrement !

Découvrir les collections du Louvre d’un nouvel œil ! C’est la promesse ambitieuse de plus de 400 étudiants parisiens dans le cadre du programme « les jeunes ont la parole ». Le 15 décembre dernier, nous avons participé à la dernière nocturne de l’année… Retour sur cette belle initiative d’insertion pour les jeunes par la culture !

Des nocturnes atypiques au musée du Louvre

Deux fois par an, le Louvre donne la parole aux moins de 30 ans avec son opération « Les Jeunes ont la parole ». Objectif ? Permettre aux visiteurs de découvrir ou redécouvrir les collections du musée de manière inattendue, sensible et participative, grâce à des médiations courtes devant les œuvres avec les étudiants.

Après une première session de trois nocturnes en Mars, 400 étudiants se sont emparés du Louvre les 1er, 8 et 15 décembre derniers. Interprétations musicales ou théâtrales, livres pop-up, créations textiles et céramiques, propositions audio ou vidéo, expériences tactiles, les étudiants n’ont pas manqué d’imagination durant 2h30 pour nous exposer leur approche inventive et enthousiaste des œuvres du musée. Nouveauté cet hiver, certaines écoles ou universités ont proposé d’aborder les œuvres selon des thématiques particulières :

  • Interprétations autour du textile et de la céramique (École supérieure des arts appliqués Duperré) ;
  • Parcours théâtre à partir de la pièce Lorenzaccio d’Alfred de Musset (Association La Prisée de l’Université de Paris 1) ;
  • Les œuvres déclinées en objets interactifs (École de l’image, Gobelins) ;
  • Portraits et autoportraits (Université Paris 1 – UFR Arts plastiques) ;
  • Le Louvre au regard du Street Art (ICART – École des Métiers de la Culture et du Marché de l’Art) ;
  • Art et pouvoir dans la Petite Galerie (Sciences-Po Saint-Germain-en-Laye).

Revivez l’expérience sur les réseaux sociaux avec le hashtag #JOPLouvre ou suivez les prochaines éditions sur Facebook.

La culture et la Fondation ENGIE

Depuis 25 ans, l’accès à la culture est un axe fort de l’engagement de la Fondation ENGIE pour la jeunesse. L’opération « Les Jeunes ont la parole » fait partie des projets d’insertion pour l’enfance et la jeunesse par la culture, soutenus par la Fondation en Île-de-France.

Parmi ces programmes, on retrouve notamment « 10 mois d’école et d’opéra » qui a permis d’accueillir 20 000 jeunes depuis 1991 pour découvrir les métiers et l’univers de l’opéra de Paris. Mais aussi l’exposition itinérante « Flash Collection » qui fait rentrer l’art contemporain dans les lycées depuis maintenant 2 ans, ou encore le soutien à la médiation du Palais de Tokyo et aux 50 Campus de l’Unesco qui ont accueillis plus 15 000 jeunes de 190 collèges et lycées en trois ans.

Crédits : « Jeunes ont la Parole » ©Musée du Louvre, Florence Brochoire, 2017


Plus d’autonomie pour 2 000 jeunes au Burkina Faso

Dans les pays en développement et notamment en Afrique, l’accès à l’énergie est une absolue priorité. La Fondation ENGIE et la Fondation H.R.H. Princess Abze Djigma ont décidé de joindre leurs forces en vue de favoriser l’accès à l’énergie durable et accessible aux populations des zones rurales de la région Centre-Sud du Burkina Faso. Explications !

La Fondation H.R.H. Princess Abze Djigma

À ce jour, 1,1 milliard de personnes n’ont pas d’accès à l’électricité et environ 1,5 milliard de personnes n’y ont qu’un accès limité (source Groupe Banque Mondiale 2017). En Afrique, les deux tiers de la population du continent soit 650 millions d’Africaines et d’Africains n’ont pas accès à l’électricité. Un incroyable défi, lorsque l’on sait que l’Afrique comptera 1 milliard de nouveaux habitants dans les 30 prochaines années. Dans certaines zones rurales au Burkina Faso, le nombre de foyer raccordé au réseau électrique ne dépasse pas 3%, obligeant les populations locales à recourir à des combustibles dangereux et peu performants pour s’éclairer et vivre décemment.

Créée par Son Altesse Royale la Princess Abze Djigma, la H.R.H. Princess Abze Djigma Foundation est une organisation sans but lucratif dont l’objectif est de soutenir l’accès à une énergie abordable et durable des populations dans les pays en développement. Elle vise également à réduire la pauvreté, en fournissant et en déployant des solutions d’accès à l’énergie et à la biodiversité pour les femmes et les jeunes :

  • Apport et installation de panneaux solaires ;
  • Formations à l’installation, à l’utilisation et à l’entretien des solutions de production solaire ;
  • Système d’irrigation pour augmenter la productivité agricole locale ;
  • Mise à disposition d’une plate-forme pour stimuler l’entrepreneuriat.

MAMA LIGHT® : la Fondation ENGIE s’engage au Burkina Faso

La Fondation ENGIE s’est engagée aux côtés de la Fondation H.R.H. Princess Abze Djigma, dans le cadre de son initiative MAMA-LIGHT®. Objectif ? Donner accès à des sources d’énergie durables et peu coûteuses aux femmes, aux petites entreprises, aux enfants et aux jeunes défavorisés du monde entier. Sélectionné par les Nations Unies lors du Sommet des Solutions par l’Assemblée générale de l’ONU en 2015, le programme vise également à favoriser la création de nouveaux emplois et à jeter des bases solides pour l’égalité entre les sexes et l’émancipation des femmes.

Le partenariat signé le 18 décembre dernier entre la Fondation ENGIE et la Fondation H.R.H. Princess Abze Djigma permettra d’équiper 2 000 (deux mille) écoliers et étudiants de la région Centre-Sud du Burkina Faso (1 000 jeunes, filles et 1 000 garçons) d’une lampe solaire portative MAMA-LIGHT®.


La Fondation ENGIE vous souhaite une bonne année


Des ateliers de travail à la Sense Academy pour le Fonds Actions Addictions

Le Fonds Actions Addictions (F2A) innove avec une nouvelle approche et de nouveaux outils de lutte contre les dommages causés par les addictions. Il y a quelques mois, le F2A a lancé le défi via la Fondation ENGIE aux équipes de MakeSense de créer des outils pour promouvoir son offre Addict’Aide au sein des entreprises… L’occasion pour la Fondation de mettre en avant cette belle initiative et de faire le point sur les solutions proposées par la SenseAcademy F2A.

Le défi du F2A : lutter contre les addictions

Responsables de 20 % des décès et de 50 % des faits de délinquance, les addictions sont un enjeu majeur pour la société et la santé publique. En plus des problèmes liés à la consommation d’alcool et de psychotropes, on peut aussi inclure les consommations excessives, les nouvelles drogues, les conduites addictives en entreprise et les dépendances « sans produit » comme les jeux d’argent, internet, le sexe, les achats compulsifs… Si la mesure des dommages progresse, les réponses proposées sont pour le moment largement insuffisantes.

Le Fonds Actions Addictions propose une nouvelle approche, plus innovante et participative pour limiter les dommages liés aux addictions. Pour la première fois, le Pr Michel Reynaud, président du fonds, psychiatre et addictologue à l’hôpital Paul-Brousse de Paris Sud, a réuni tous les acteurs de la thématique pour mieux comprendre les phénomènes d’addiction, bâtir de nouveaux savoirs et innover en mettant en œuvre de nouveaux projets. Professionnels de santé, patients, familles, victimes, associations, scientifiques et experts, tous réunis pour mettre en œuvre des actions concrètes pour :

  • Soutenir et amplifier la prévention contre les risques de dépendance et la lutte contre les addictions ;
  • Apporter un meilleur soutien aux patients et à leurs familles ;
  • Initier et accompagner les actions, les projets innovants et la recherche, afin de réduire plus vite et mieux les dommages liés aux addictions

Parmi les projets du F2A, le portail www.addictaide.fr, un outil collaboratif d’information, de prévention, d’orientation et de soins pratiques. Lancée en collaboration avec 60 acteurs français de premier plan engagés dans la lutte contre les addictions, elle constitue LA plateforme française d’information, d’aide, d’accompagnement et d’expertise la plus exhaustive et multidisciplinaire dans le domaine des addictions.

SenseAcademy F2A : faire connaître et intégrer le portail Addict’Aide en milieu professionnel

Comment faire connaître et intégrer le portail Addict’Aide au sein des entreprises ? C’est le défi lancé par le F2A à MakeSense grâce au soutien de la Fondation ENGIE. Durant 6 semaines, ce programme de formation à l’innovation inspiré du « design Thinking » a réuni une équipe de jeunes talents et des experts (la SenseAcademy) pour relever le défi.

Entre le 14 octobre et le 22 novembre dernier, la « SenseAcademy FAA » s’est réunie autour de divers ateliers pour concevoir et créer une solution innovante que le fonds pourra mettre en place pour mieux prévenir les risques d’addictions en milieu professionnel. Résultats ? Une quinzaine de participants surmotivés, près de 200 insights terrain récoltés auprès de différents acteurs du milieu professionnel (DRH, médecins du travail, syndicats, chef d’entreprise…), et une solution concrète qui se matérialise par quatre prototypes : une infographie, un livret d’accompagnement, des affiches et des flyers !

“Défi relevé par cette équipe dynamique de jeunes talents qui a apporté une solution qu’il reste maintenant à mettre en application. La Fondation ENGIE est très fière d’avoir fait partie de ce programme.” CATHERINE SACHER – Responsable Enfance et Jeunesse Fondation ENGIE

Vidéo réalisée par Solène DUCRETOT


Deuxième année du programme Schools, Lights and Rights

Initié dans le cadre de la COP21 en 2015, le programme pilote « Schools, Lights and Rights », est un programme fort de la Fondation ENGIE. Fort par son ambition de favoriser l’éducation, l’accès à l’énergie et l’insertion sociale des populations en situation de précarité. Fort par l’engagement des associations partenaires et des collaborateurs bénévoles du Groupe pendant au moins 3 ans. Fort par ses résultats au cours des deux premières années du programme… Explications !

Schools, lights and rights : de la lumière et des droits pour les enfants d’Afrique

À travers le projet « Schools, Lights and Rights », la Fondation ENGIE et la fédération d’associations « La Voix De l’Enfant » s’attachent depuis 2015 à éclairer l’avenir des enfants en détresse à travers le monde. Un programme ambitieux sur trois ans, mené dans 7 pays (Afrique du Sud, Burkina Faso, Maroc, Madagascar, Afghanistan, Inde et France), pour favoriser l’éducation (schools), l’accès à l’énergie (lights) et l’insertion sociale des enfants (rights).

Lors de la première année du programme, plus de 5 000 états civils pour des enfants ont été établis. 5 000 lampes solaires portables ont été distribuées. Financées par la Fondation ENGIE elles favorisent l’accès à l’éducation en permettant aux enfants de travailler chez eux le soir, mais favorisent également la santé et la sécurité en limitant les risques liés à l’utilisation de la bougie et des lampes à pétrole. Le programme a également pris en charge l’électrification verte d’écoles par le biais de panneaux solaire et grâce au courage et au dévouement des bénévoles d’Energy Assistance France (ONG de collaborateurs du Groupe ENGIE). Enfin, parce que l’avenir de ses populations et de notre planète sont liés, des actions de sensibilisation aux énergies renouvelables, à la préservation de l’environnement et au développement durable, ont été menées par les bénévoles auprès des populations locales.

“Schools, Lights and Rights” : une deuxième année encourageante

La deuxième année démarre avec l’objectif de développer et de renforcer Schools Lights & Rights. Le programme bénéficie du soutien d’associations et de partenaires locaux dans deux nouveaux pays : Cameroun et République Démocratique du Congo. Les associations de La Voix De L’enfant ont pu compter sur le soutien de la Fondation ENGIE pour renforcer les dispositifs de soutien aux populations locales avec : l’obtention de plus de 57 000 états-civils, la distribution de plus de 8 600 lampes solaires portables et l’électrification solaire de nombreuses écoles ou centres d’accueil pour les enfants. 7 projets d’électrification sont par ailleurs en cours de finalisation par les associations de « La Voix De L’enfant » et les bénévoles d’Energy Assistance France. Une modeste contribution à la lutte contre la précarité énergétique mondiale, mais un programme qui laisse augurer de grandes perspectives de développement des actions sociales et environnementales pour les enfants.

Le sourire des enfants est la plus belle des récompenses, mais la Fondation ENGIE tient à remercier les associations membres de « La Voix De L’Enfant » et leurs partenaires qui contribuent chaque jour à l’amélioration des conditions de vie de ces populations en situation de précarité énergétique et sociale : Valued Citizens (Afrique du Sud), Afghanistan Libre (Afghanistan), SOS Enfants, Enfants & Développement (Burkina Faso), AED Karen Mane (Maroc), Bazar sans frontières et Maison de Sagesse (Madagascar), Volontariat (Inde) et Intermèdes Robinson (France).


Flash Collection : de l’art contemporain dans les lycées

L’art contemporain se fait la malle dans les lycées ! Le Fonds d’art contemporain Île-de-France (Frac) reconduit et développe son exposition itinérante d’art contemporain pour l’année scolaire 2017–2018. L’occasion de mettre en avant cette belle initiative d’accès et de sensibilisation des jeunes à la culture.

Le programme “Flash Collection”

Lancé en Septembre 2016 par le Frac sous l’impulsion de la région Île de France et avec le soutien de la Fondation ENGIE, « Flash Collection » c’est une exposition itinérante d’art contemporain à destination des lycéens. Le principe ? Une malle, imaginée par l’artiste Olivier Vadrot, renfermant une sélection d’œuvres surprenantes de la collection du Frac pour faire découvrir, de façon ludique, l’art contemporain aux lycéens de la région.

Avec ce projet, le Frac a pour ambition de sensibiliser les élèves de lycée à l’art, en leur proposant une nouvelle manière d’accéder aux œuvres. Cette fois, l’art part à la rencontre des jeunes et leur permet d’aborder la culture d’une nouvelle manière, plus immédiate, ouverte et sensible. En plus de cette malle, « Flash Collection, c’est aussi un programme de visites commentées dans les deux lieux d’exposition du Frac, des interventions d’artistes dans les lycées, et aussi des séances de formation proposées aux enseignants. Un programme inédit, ludique, favorisant l’accès à la culture et l’élimination des barrières sociales, tout naturellement soutenu par la Fondation ENGIE dès le début.

Flash Collection Saison 2 : les nouveautés

Cette année, le Frac reprend la route et poursuit son action à destination des lycéens franciliens en ciblant notamment les lycées technologiques et professionnels. Ce sont 50 lycées de la région Île de France, contre une vingtaine l’an dernier, qui accueilleront la Flash Collection, ce qui représente un public d’environ 42.000 élèves. Plus de partenaires, plus de jeunes sensibilisés à l’art contemporain, mais également de nouveaux outils permettant au projet d’être toujours plus mobile et ludique :

  • Davantage d’œuvres originales de la collection du Frac : à la malle originelle s’ajoutent deux valises contenant six nouvelles œuvres (Émilie Pitoiset, Aurélie Salavert, Julien Carreyn, Lucien Hervé, Jirì Kovanda et Bo Christian Larsson) et un sac à dos sur mesure permettant le transport d’œuvres spécifiques. Une sélection toujours plus créative, accessible et pédagogique, notamment sur l’interprétation d’une œuvre et l’histoire de l’art !
  • La Flash Collection se met à la mobilité verte : cette année, les œuvres de la collection voyageront dans un véhicule électrique spécialement équipé, pour donner encore plus de mobilité et de légèreté au dispositif d’accès à la culture.

Le lancement de la saison 2 de Flash Collection a eu lieu le 7 novembre au lycée des Métiers de l’Horticulture et du Paysage de MONTREUIL en présence de Valérie Pécresse et de Gérard Mestrallet.

La liste des établissements participants en 2017 – 2018 par ici !