La Fondation d’entreprise ENGIE soutient la Cité internationale universitaire de Paris
La Fondation ENGIE s’engage à soutenir les actions de la Cité internationale universitaire de Paris en faveur de la biodiversité. Ce soutien sur une durée de trois ans permettra la création et le développement de jardins de pluie dans le parc de 34 hectares de la Cité internationale. Il incarne la volonté commune des deux fondations d’agir en faveur de la lutte contre le dérèglement climatique.
Un réservoir de biodiversité
Véritable poumon vert dans Paris intra-muros, le parc de la Cité internationale occupe une position stratégique à la porte sud de Paris. Cet exceptionnel patrimoine paysager constitue un espace de détente et de loisirs prisé des résidents et des Parisiens. Son mode de gestion écologique basé sur une gestion différenciée des espaces et l’abandon des produits phytosanitaires depuis 10 ans est l’un des points forts de la démarche de développement durable de Cité internationale.
Son évolution et sa préservation sont des composantes essentielles du projet de développement de la Cité internationale « Cité2025 ». De nouveaux espaces seront ouverts au public, les arbres et la palette végétale seront régénérés et densifiés. Le parc retrouvera une ambiance de forêt côté Est et de bosquets côté Ouest. Un programme de plantation de 1500 arbres est en cours avec le soutien de la Ville de Paris.
Les jardins de pluie
Grâce au soutien de la Fondation ENGIE, la création de jardins de pluie permettra une meilleure gestion des eaux. Les jardins de pluie limitent le rejet d’eaux pluviales vers les réseaux d’assainissement. En tant que milieux humides, ils sont particulièrement favorables à la biodiversité et participent aux continuums écologiques de la Ville de Paris. Quatre jardins de pluie seront créés sur le site : deux dans le parc Est et deux dans le parc Ouest.
En savoir plus :
Découvrir le projet d’aménagement
Découvrir le projet détaillé des jardins de pluie
La Fondation ENGIE
Au titre de la solidarité, la Fondation ENGIE soutient des actions d’aide aux personnes en situation de précarité, à travers 2 programmes : Enfance et jeunesse, qui œuvre dans les domaines de la santé, de l’accès pour tous à la culture et de l’éducation, et Énergies solidaires, qui a pour but d’améliorer l’accès à l’énergie des personnes démunies. Dans le cadre du volet environnemental de son engagement, elle agit en faveur de la biodiversité, notamment à travers la protection des écosystèmes, et la lutte contre le réchauffement climatique. Ces programmes sont déclinés en priorité sur l’ensemble des pays dans lesquels le Groupe est présent.
La Cité internationale universitaire de Paris
La Cité internationale est un site d’exception comptant 40 maisons, la plupart fondées par des mécènes ou des Etats étrangers, disposées dans un parc arboré de 34 hectares. Fondation privée reconnue d’utilité publique, elle est entièrement dédiée à l’accueil d’étudiants, de chercheurs, de sportifs de haut niveau et d’artistes internationaux. Elle accueille chaque année 12 000 résidents, issus de 140 nationalités. La Chancellerie des universités de Paris y assure la représentation des universités parisiennes propriétaires par donation des maisons. Au sein de chaque maison, le « brassage » des nationalités et des disciplines favorise l’échange et la rencontre. La Cité internationale s’inscrit dans la politique de rayonnement international des universités de Paris et contribue à ce titre au développement de la mobilité universitaire et scientifique. Elle connait une phase de développement historique qui lui permettra d’ici 2025, soit un siècle après sa création, de disposer de 10 nouvelles maisons et de proposer 1800 logements supplémentaires, s’ajoutant aux 6000 logements déjà existants.
REMISE DU PRIX FONDATION D'ENTREPRISE ENGIE TALENTS DE LA RECHERCHE
Mardi 22 mai 2018, le Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN) et la Fondation d’entreprise ENGIE ont remis le Prix Fondation d’entreprise ENGIE « Talents de la recherche au Musée de l’Homme » à deux équipes de chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle :
- Anne Fournier et Manuel Valentin pour leur projet « Vivre la perte de biodiversité végétale au Burkina Faso »
- Vincent Lebreton et Sahbi Jaouadi pour leur projet « Résiliences climatiques et territoriales des sociétés dans les régions semi-arides et arides de la Tunisie depuis le Néolithique ».
Nouveau Prix, ouvert aux chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle, le Prix Fondation d’entreprise ENGIE « Talents de la recherche au Musée de l’Homme » permet d’attribuer une bourse annuelle à un chercheur travaillant sur des thématiques en lien avec le Musée de l’Homme. L’objectif est d’impulser des projets interdisciplinaires innovants et une dynamique collaborative de recherche autour de la thématique suivante : « Résilience des sociétés face aux changements climatiques présents et passés ».
Allouée chaque année pendant trois ans, cette bourse de recherche est attribuée par un jury composé de scientifiques du MNHN, de représentants de la Fondation ENGIE et de personnalités extérieures. Le chercheur lauréat du Prix s’engage à participer à la diffusion de son projet de recherche auprès du grand public, par exemple sous la forme de conférences, de publications ou de présentation au sein du Balcon des sciences du Musée de l’Homme.
Grand mécène du Muséum national d’Histoire naturelle depuis plus de dix ans et Mécène Fondateur du Musée de l’Homme depuis 2015, la Fondation ENGIE a souhaité poursuivre son engagement en soutenant les « Talents de la recherche au Musée de l’Homme ».
Résiliences climatiques et territoriales des sociétés dans les régions semi-arides et arides de la Tunisie depuis le Néolithique (RÉSIST)
Le projet RÉSIST vise à documenter la résilience des populations présentes dans les régions arides et semi-arides tunisiennes au cours des dix derniers millénaires. Il permettra d’identifier les épisodes de changements climatiques rapides, de caractériser les effets du changement climatique actuel et les dégradations des ressources environnementales associées et d’étudier les réponses socio-culturelles de ces populations aux contraintes environnementales.
Les steppes de la Tunisie centrale sont des milieux très vulnérables aux variations de l’aridité et à l’impact croissant des activités humaines. De nombreux vestiges archéologiques témoignent d’une présence humaine pérenne dans ces paysages steppiques depuis le Néolithique, avec des modes d’occupation du territoire, de productions économiques et d’organisation sociale et culturelle variables selon que les sociétés sont nomades, semi-nomades ou sédentaires. Ces comportements révèlent une adaptation pluriséculaire et une forte capacité de résilience des sociétés face aux aléas climatiques. Cependant, les importants changements socio-économiques survenus en Tunisie au XXe siècle ont accentué la dégradation des ressources environnementales et constituent une menace majeure pour les modes traditionnels d’exploitation des terroirs. L’approche pluridisciplinaire de l’étude croise les données historiques et archéologiques avec les archives paléoenvironnementales et paléoclimatiques dans ces milieux arides. Le projet pourra ainsi mettre en évidence la diversité de ces systèmes sociaux-écologiques et des formes d’adaptation des populations sur le long terme (effondrement, réorganisation spatiale, changements économiques et culturels, accroissement de la complexité sociale ou politique…).
RÉSIST met en avant une approche naturaliste des sciences humaines et sociales pour aborder sur le long terme (les 10 derniers millénaires) les défis sociétaux posés par la désertification et la gestion durable des ressources en Tunisie centrale.
Vivre la perte de biodiversité végétale au Burkina Faso (VEGEFASO)
Le projet « Vivre la perte de la biodiversité végétale au Burkina Faso » (VEGEFASO) propose d’étudier les conséquences culturelles de la perte en biodiversité végétale de ces 50 dernières années au Burkina Faso. Il étudiera les stratégies d’adaptation de deux sociétés à rituel masqué : les Bwaba de la région de Bondoukuy et chez les Sèmè de la région d’Orodara. Cette étude pourra ainsi montrer comment les nécessités cultuelles peuvent influer sur les processus de résilience face aux conséquences du changement climatique.
Depuis les graves sécheresses climatiques des années 1970 et l’extension des zones cultivées sous la pression de « réfugiés climatiques » venus du nord, les paysages des savanes du centre et de l’ouest du Burkina Faso se transforment. De nombreuses plantes se raréfient ou disparaissent. Or elles sont, pour de nombreuses sociétés (Bwaba, Dafing, Sèmè…), des supports très importants de leur culture. Elles servent à confectionner leurs masques : faces de bois, vêtements de fibres et accessoires. Par exemple, les masques les plus sacrés des Bwaba sont presque entièrement constitués de feuilles d’Isoberlinia doka, arbre en voie de disparition. Indispensables lors des initiations masculines, les masques constituent un patrimoine identitaire. Certaines associations les investissent aujourd’hui comme « ambassadeurs » des cultures locales. Les gardiens des traditions recherchent des solutions pour faire face à la disparition des espèces végétales à usage cultuel.
Des consensus s’établissent à l’échelle locale pour la mise en place de mesures de protection d’espaces naturels spécifiques et de reboisement pour certaines des espèces sauvages. À ce titre, le Burkina Faso peut être un laboratoire précurseur de la capacité pour démontrer la capacité de résilience des sociétés dites traditionnelles.
Focus : Yesterday/Today/Tomorrow
Yesterday/Today/Tomorrow est un travail conceptuel imaginé et développé par Bryan McCormack. Objectif ? Visualiser la crise migratoire européenne d’un nouvel œil, mais surtout donner la parole à ceux qui ne l’ont pas habituellement : les réfugiés.
Le projet en quelques mots
Pour réaliser son projet, l’artiste a passé plus d’un an dans des dizaines de camps à travers l’Europe, où il a travaillé avec des centaines d’enfants réfugiés d’une multitude de nationalités. Il les a invités à dessiner trois croquis sur trois feuilles de papier, représentants leur vie passée (Yesterday), leur vie actuelle (Today), et leur avenir (Tomorrow). Résultat ? Des dessins saisissants, émouvants, où se mêlent souvent la violence du passé, la consternation du présent, et la difficulté d’imaginer le futur. En trois dessins, ces réfugiés prennent la parole et font ce que l’homme est né pour faire : raconter une histoire, raconter sa propre histoire !
L’objectif du projet est également de propulser ces messages sur les réseaux sociaux, pour qu’ils deviennent de fabuleux outils de sensibilisation du grand public à la situation des réfugiés européens. Retrouvez Yesterday/Today/Tomorrow sur Facebook, Instagram et Twitter !
L’artiste : Bryan McCormack
Bryan McCormack est né à Dublin en 1972, mais il vit et travaille à Paris. Il a principalement créé des œuvres traitant de sujets spécifiquement sociaux et politiques. Il a organisé plus de trente expositions en solo ou en groupe dans des lieux tels que le Centre Pompidou et l’UNESCO à Paris, l’Empire Gallery à Londres, et le Museo Chopin à Valldemossa. Une de ses œuvres publiques monumentales est installée en permanence dans le parc de Saint-Cloud, à Paris.
3e édition de la Fête des Plantes au MUCEM
La Fête des plantes est de retour au Mucem ce week-end (28 et 29 avril) et explore, pour cette 3e édition, la thématique de l’Amour. Visites, animations, stands de professionnels, une véritable effervescence végétale s’installe à Marseille !
Un week-end dédié à la nature
C’est au coeur du Fort Saint Jean que se déroulera pour ce dernier week-end d’avril, la Fête des plantes du Mucem. Au programme, un étonnant marché aux plantes mais aussi de bons conseils de pépiniéristes spécialistes du jardin méditerranéen et défenseurs de l’agro-écologie. Participer à un atelier de vannerie, écouter le chant d’insectes, déguster des tisanes bios, parcourir une sélection d’ouvrages sur le thème des plantes et de l’amour, comprendre le fonctionnement d’une ruche et goûter à son nectar ou encore créer un philtre d’amour, autant d’activités qui sauront sensibiliser petits et grands à la nature et sa préservation.
On en profite également pour (re)découvrir les secrets du Jardin des Migrations. Un jardin méditerranéen sec et écoresponsable de 1 500 m² créé et entretenu par Mouvements et paysages avec le soutien de la Fondation ENGIE. Cette visite offre l’occasion de découvrir de nombreuses espèces végétales venues des différentes rives de la Méditerranée, mais aussi de découvrir les mécanismes de la nature : pollinisation, croisement et reproduction des plantes et bien d’autres !
Le programme complet et modalités de l’événement ici.
Reportage : JOP Louvre
Lors de trois nocturnes les vendredis 23, 30 mars et 6 avril 2018, environ 300 étudiants ont investi les quatre coins du musée du Louvre et ont créé la surprise en proposant aux visiteurs des médiations courtes et participatives devant les œuvres ! Nous y étions et avons partagé avec les étudiants un moment unique d’échange et de partage autour de plusieurs œuvres mythiques du musée… Revivez l’expérience #JOPLouvre grâce à cette playlist.
Un grand merci aux étudiants, aux bénévoles des associations, ainsi qu’au musée de Louvre et ses équipes !
7e édition du festival Musica em Trancoso
C’est la Semaine Européenne du Développement Durable (SEDD) du 18 septembre au 8 octobre 2020. Une semaine dédiée à la préservation de l’environnement et au développement durable. L’occasion, pour chacun de nous et pour la Fondation ENGIE, de partager des actions concrètes et ambitieuses pour imaginer le monde de demain !
Démocratiser l’accès à la culture
L’association culturelle Mozarteum Brasileiro, a créé en 2011 le festival Musica em Trancoso avec pour objectifs de :
• Contribuer au développement social et culturel de la région ;
• Favoriser l’accès à la culture à Bahia ;
• Promouvoir des spectacles gratuits ;
• Donner des cours de musique au public de tous les niveaux sociaux et de tout âge.
Cette année encore, le festival a réuni du 3 au 10 mars le meilleur de la musique mondiale durant 8 soirées. Concerts de musique classique, chant lyrique, shows de musique populaire brésilienne, jazz, une panoplie de styles et des artistes locaux et internationaux de grande renommée. En plus de ces soirées musicales, le festival Musica em Trancoso c’est aussi des masterclasses, des leçons de musique dans les écoles et des concerts gratuits en plein air, tout cela dans l’objectif de démocratiser l’accès à la musique et à la culture.
Depuis 2012, le festival Musica em Trancoso c’est :
• 56 concerts
• 154 masterclasses gratuites avec la participation de 1.332 élèves
• 100 leçons d’initiation musicale dans les écoles publiques de la région de Trancoso et Arraial d’Ajuda, avec la participation de plus de 8.300 enfants et adolescents
• 14 concerts gratuits sur différentes places publiques de Trancoso avec un public estimé à plus de 2 000 personnes
Pour faciliter l’accès pour tous à la musique de concert, Mozarteum Brasileiro offre des billets gratuits aux étudiants en musique, associations, institutions et aux tribus indigènes de la région.
La Fondation ENGIE renouvelle son soutien au Mucem
En 2018, la Fondation ENGIE a souhaité poursuivre son engagement auprès du Mucem dans le cadre d’une convention de 2 ans. Ce soutien précieux a permis au Mucem, depuis sa création, de développer ses actions autour de deux grands axes.
Les projets participatifs et solidaires – « Projets Mix »
Avec le soutien de la Fondation ENGIE, le Mucem pilote des projets d’envergure pour aller au-devant de ceux qui ne vont pas spontanément au musée, et initier un dialogue avec les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Chaque année, une action majeure associe une exposition temporaire du Mucem et plusieurs quartiers de la métropole marseillaise au travers d’un projet participatif et solidaire ambitieux. Les publics visés ne sont pas seulement de simples bénéficiaires de ces actions, ils en sont les porteurs et deviennent ainsi les premiers ambassadeurs du projet du Mucem.
Grâce au renouvellement du mécénat de la Fondation ENGIE, ce programme pourra être reconduit dès la rentrée scolaire 2018. Deux cent enfants âgés de 6 à 12 ans seront mobilisés autour de l’exposition Danse. Avec l’aide de chorégraphes professionnels, ils seront invités à créer une grande chorégraphie lors d’ateliers animés par une association du territoire. L’ensemble des participants se donneront ensuite rendez-vous au Mucem pour présenter leur composition lors de l’inauguration de l’exposition temporaire autour de la Danse.
Le Jardin des Migrations et la Fête des Plantes
Ce jardin méditerranéen sec et écoresponsable est situé au cœur de l’espace urbain marseillais. D’une superficie de 1 500m² il regroupe de nombreuses espèces végétales venues des différentes rives de la Méditerranée. Le soutien de la Fondation d’entreprise ENGIE a permis de créer un partenariat unique avec l’entreprise Mouvements et paysages, spécialisée dans la création de jardins de climat méditerranéens, qui gère, depuis 2014, l’entretien et la valorisation de cet espace.
En soutenant le Mucem, la Fondation d’entreprise ENGIE permet également la création d’animations et d’évènements autour de ce Jardin. Au-delà des visites guidées du Jardin tout au long de l’année, la Fête des Plantes rassemble une fois par an publics et acteurs associatifs autour de la biodiversité et de la préservation de l’environnement, et de l’éducation à l’écologie. Après le succès des premières éditions en 2016 et 2017, La Fête des plantes est de retour au Mucem les 28 et 29 avril 2018, et explore pour cette nouvelle édition la thématique de l’Amour. Durant tout le week-end, des pépiniéristes spécialistes du jardin méditerranéen et défenseurs de l’agro-écologie proposeront plants et conseils botaniques au sein d’un étonnant marché aux plantes, niché au cœur du Fort Saint Jean.
Contacts :
https://www.fondation-engie.com
http://www.mucem.org
L’École des actes fait salle comble à Aubervilliers
Quand le théâtre devient un fabuleux outil de lutte contre les inégalités sociales ! À Aubervilliers, l’École des actes propose aux personnes en difficultés un parcours de formation innovant, mêlant alphabétisation, pratique artistique et développement d’un projet professionnel. Le mois dernier, l’association a permis aux plus défavorisés de s’exprimer, à leur manière, sur une œuvre classique de Tchekhov lors de trois représentations riches en émotions.
Le théâtre comme outil d’insertion
Depuis sa création en 2016, l’Ecole des Actes vise à répondre aux difficultés économiques et sociales auxquelles sont confrontés des jeunes déscolarisés, des étrangers, des « migrants », des travailleurs précarisés de la ville d’Aubervilliers. L’association propose un parcours de réinsertion d’un genre nouveau, basé sur un modèle pédagogique mêlant art théâtral, sciences humaines et expériences professionnelles. Objectif ? Lutter contre l’exclusion sociale en démocratisant l’accès à la culture et au théâtre et en créant une expérience commune entre artistes et jeunes défavorisés. Dans le cadre de son axe « insertion pour l’enfance et la jeunesse par la culture », la Fondation ENGIE contribue au développement du projet depuis 2017.
Parmi les outils développés par l’association, un atelier « libre » de théâtre a permis pendant 1 an aux participants d’utiliser le théâtre comme un espace de rencontre, d’amitié et d’affirmation de soi en public, que cela soit par le corps, la voix ou l’intention. Résultats ? De belles rencontres, des moments forts en émotions, mais surtout une troupe d’acteurs amateurs motivés et décidés à s’investir dans un projet commun. Sous la houlette d’Émilie Hériteau, dramaturge au Théâtre de La Commune, les acteurs ont participé à plus de 350 heures d’atelier théâtral et de répétition, pour proposer une réinterprétation du texte d’Anton Tchekhov « Sur la grand route ». Un texte qui raisonne fort dans l’esprit de ces hommes et femmes souvent confrontés à l’exclusion et à la solitude. À la différence des personnages de Tchekhov, les acteurs ont réécrit l’histoire et déclarés collectivement leur désir de développer de nouveaux chemins de pensée et d’organisation sociale pour une vie meilleure, ensemble.
Les trois représentations, organisées du 4 au 6 février dernier dans la salle des Quatre chemins à Aubervilliers, ont fait salle comble et ont reçu un accueil chaleureux du public présent. La troupe envisage même une tournée pour la saison 2018-2019 !
Un partenariat durable entre la Fondation ENGIE et l’Orchestre de Paris
Le soutien à l’Orchestre de Paris pour les visites musicales à l’hôpital est reconduit pour deux ans.
Communiqué de presse
PARIS, Mars 2018 – La Fondation d’entreprise ENGIE choisit de renouveler son partenariat avec l’Orchestre de Paris pour 2018 et 2019. Elle soutient les initiatives de l’Orchestre de Paris en milieu hospitalier au sein des services pédiatriques depuis la saison 2015-2016 et s’impliquera donc pour deux années supplémentaires.
L’Orchestre de Paris intervient depuis sept ans en milieu hospitalier, principalement dans les hôpitaux Robert Debré et Armand Trousseau. L’objectif est de diffuser la musique vivante auprès des malades, pour leur apporter bien-être et plaisir, et améliorer leur quotidien. Les musiciens sont formés par l’association Musique & Santé qui les accompagne auprès des malades, de leurs familles et du personnel soignant, pour leur offrir des moments musicaux uniques et adaptés à chaque situation.
Grâce au soutien de la Fondation d’entreprise ENGIE, depuis la saison 2015-2016, plusieurs centaines d’enfants malades âgés de 3 mois à 15 ans, ont eu la chance de partager ces parenthèses musicales. Ce projet social ambitieux, porté par des musiciens motivés, rencontre un grand succès auprès des patients et des hôpitaux qui sont de plus en plus demandeurs. Avec ce soutien renouvelé, ces interventions pourront être poursuivies dans les meilleures conditions et de nouveaux enfants hospitalisés et leur famille en bénéficieront.
Au titre de la solidarité, la Fondation d’entreprise ENGIE soutient des actions d’aide aux personnes en situation de précarité, à travers 2 programmes : Enfance et jeunesse, qui œuvre dans les domaines de la santé, de l’accès pour tous à la culture et de l’éducation, et Énergies solidaires, qui a pour but d’améliorer l’accès à l’énergie des personnes démunies. Dans le cadre du volet environnemental de son engagement, elle agit en faveur de la biodiversité, notamment à travers la protection des écosystèmes, et la lutte contre le réchauffement climatique. Ces programmes sont déclinés en priorité sur l’ensemble des pays dans lesquels le Groupe est présent.
Pour plus d’informations :
- Le site web de l’Orchestre de Paris
Pour un sourire d’enfant en tournée pour le Cambodge
Fondée par Christian et Marie-France des Pallières, Pour un Sourire d’Enfant (PSE) œuvre depuis plus de 20 ans pour améliorer les conditions de vie des enfants cambodgiens et de leur famille. Cette année encore PSE reprend le volant de son camping-car pour une tournée de 37 soirées, dans le but de faire connaître l’urgence de la situation au Cambodge et de trouver de nouveaux soutiens.
23 ans d’engagement pour les enfants et leur famille
Ravagé par 25 ans de guerre et un terrible génocide, le Cambodge fait face à une situation sociale des plus difficiles. Les enfants sont les premières victimes de cette misère, beaucoup n’ont pas accès à l’éducation et à la formation et survivent de petits boulots précaires. Certains vivent dans des conditions terribles et sont contraints de travailler dans des décharges, souvent maltraités et exposés à des maladies.
Née au Cambodge en 1995, l’association « Pour un Sourire d’Enfant (PSE) » s’engage auprès des enfants pour leur faire reprendre le chemin de la vie. Nourrir, soigner, scolariser, former à un métier décent et correctement rémunéré, sont les missions des 300 bénévoles de l’association et des 450 salariés locaux qui prolongent son action sur place. 23 ans plus tard, plus de 10 000 enfants ont participés aux divers programmes à Phnom-Penh, Siem Reap et Sihanoukville. PSE gère également un centre de rattrapage scolaire où 1 000 enfants rattrapent, chaque année, l’équivalent de deux niveaux d’études. Le programme FLIP (Family Live-lyhood Improvement Program) permet aux parents de suivre une formation pour leur permettre de se réinsérer dans la société. En 2016-2017, sur 79 personnes inscrites, 55 ont trouvé un travail et 11 ont monté un petit business, soit un taux de réussite encourageant de 87% ! En 2017, PSE inaugure un nouveau bâtiment scolaire pour les étudiants de son École de Gestion de Vente. Le projet vise à installer un générateur photovoltaïque sur le bâtiment, en vue de réaliser des économies sur les dépenses d’énergie.
37 soirées pour découvrir PSE et s’engager
Du 2 mars au 16 mai 2018, Marie-France des Pallières, fondatrice de l’association, organise 37 soirées à travers toute la France, au Luxembourg, en Suisse et en Allemagne. Objectif ? Présenter PSE et ses actions au Cambodge, donner envie à de nouveaux parrains et soutiens de rejoindre la famille des « Pépites », mais surtout découvrir une aventure humaine hors du commun !
Plus d’information et programme complet de la tournée par ici !