Rencontre avec deux étudiantes de l’Ecole 42 Le HAVRE
Rencontre avec Stéphanie Pagliardini, 45 ans
« Le numérique a tant à offrir, c’est un métier de passion, présent et futur. Nous avons autant notre place que les hommes et les sociétés dans le numérique sont demandeuses de parité. »
- Présente-nous en quelques lignes votre parcours :
Après des débuts dans la mode, l’hôtellerie/restauration j’ai travaillé dans le prêt à porter en tant que responsable régionale. J’ai créé une marque car attirée par le digital et aussi pour le fun. Je me suis épanouie en tant que responsable réseau pour une maison spécialisée dans le mobilier haut de gamme où “être heureux est un art de vivre”.
- Pourquoi vous destiner aujourd’hui aux métiers du numérique ?
Je partageais avec mon père bien plus jeune en hobby la programmation.
Fraîchement arrivée au Havre où le numérique ne cesse de se développer, c’est un nouveau challenge pour une nouvelle vie . Je compte bien m’épanouir, apprendre, partager, me spécialiser et trouver une société où je serai utile et faire carrière.
- Que pensez-vous du sujet de la femme dans le numérique ?
Nous ne sommes pas assez présentes. Mais plus de femmes aujourd’hui portent un intérêt et se projettent. Nous avons autant notre place que les hommes et les sociétés dans le numérique sont demandeuses de parité.
- Quel conseil donneriez vous à une jeune fille qui cherche sa voie ?
Dépasser les idées reçues, oser et être curieuse.
Le numérique a tant à offrir, c’est un métier de passion, présent et futur.
Rencontre avec Clara HUGOT, 24 ans, étudiante à l’Ecole 42 Le Havre à partir d’avril prochain
« A mon sens, les femmes se font une fausse idée des métiers du numérique, d’où leur sous- représentation. »
- Présentez-nous en quelques lignes ton parcours :
À la sortie du bac, je n’avais pas vraiment une idée précise de ce que je voulais faire. Je me suis lancée dans des études de comptabilité et de gestion à Caen. Ma curiosité me poussait vers un domaine vaste qui m’était inconnu et où il y avait des opportunités professionnelles. J’ai donc passé un Diplôme de Comptabilité et de Gestion ainsi qu’un Master Comptabilité Contrôle et Audit. Au cours de mes cinq années d’études, j’ai apprivoisé le langage SQL, réalisé un MOOC sur le langage C et rédigé mon mémoire de Master sur les progiciels et applications utilisées dans le domaine comptable. Après une année de travail dans un cabinet d’expertise comptable, je me suis rendue compte que je ne me projetais pas, à terme, dans ce secteur.
C’est à ce moment là que j’ai entendu parler de l’ouverture de l’école 42 au Havre et j’y ai vu une réelle opportunité de changer de voie professionnelle sans repasser par des études « conventionnelles ».
- Pourquoi vous destiner aujourd’hui aux métiers du numérique ?
Mes stages et mon premier poste en cabinet d’expertise-comptable ont mis en évidence l’impact des nouvelles technologies dans les tâches quotidiennes des collaborateurs. J’ai alors vu dans les métiers du numérique une solution pour améliorer et simplifier le quotidien de nombreux métiers.
Par ailleurs, le numérique est un domaine qui bouge et où les innovations ne cessent de se multiplier, ce qui en fait un terrain de jeu idéal pour ma curiosité et mon envie de découvrir.
Il ne faut pas non plus oublier que c’est un secteur porteur qui ne manque pas d’opportunités professionnelles, ce qui n’est pas négligeable.
- Quel métier / domaine vous intéresse :
L’Intelligence Artificielle m’intéresse particulièrement. Je pense qu’elle peut permettre d’optimiser beaucoup de métiers dans de nombreux domaines et, au-delà, elle est à la base d’un grand nombre d’innovations. Pour autant, je reste ouverte à d’autres métiers et domaines, notamment le développement d’applications, de sites ou de logiciels…
- Que pensez-vous du sujet de la femme dans le numérique ?
Il est évident que la femme est peu représentée dans le numérique, nous le voyons bien dans la piscine de 42.
Je pense que le numérique et plus particulièrement le codage a souvent l’image du « geek introverti ». Cela peut rebuter les femmes, moins portées sur les jeux vidéos et plus présentes dans les métiers du contact et du social.
Or, le codage est un outil technique mis au service de l’informatique et de l’innovation. Pour cela, il faut des équipes qui communiquent et travaillent ensemble sur un projet commun. De ce fait, le numérique renferme des métiers qui peuvent nécessiter des compétences artistiques, relationnelles, dans l’audiovisuel… Même s’il faut souvent apprendre à coder pour connaître les bases, le numérique peut déboucher sur des métiers variés qui peuvent parfaitement convenir aux femmes.
A mon sens, les femmes se font une fausse idée des métiers du numérique, d’où leur sous représentation.
- Pourquoi avoir choisi 42 Le Havre ?
Ayant un objectif de reconversion professionnelle, le fonctionnement de l’école 42 constitue, pour moi, l’idéal. La simplicité des démarches d’admission et du fonctionnement général de l’école permet une grande souplesse. Notre parcours est personnalisé. L’école 42 propose un cursus professionnalisant centré sur l’aspect technique. C’est, à mes yeux, le « nerf de la guerre » dans le travail. L’école 42 nous pousse à l’autonomie et la responsabilisation, tout en développant nos compétences relationnelles grâce à sa méthode en peer-to-peer. Finalement, en sortant de la formation, il sera aisé de s’adapter au monde du travail.
J’ai choisi l’école 42 du Havre du fait de sa proximité géographique et des possibilités d’embauche dans la région.
- Quel conseil donneriez-vous à une jeune fille qui cherche sa voie ?
Je pense que l’important est de trouver une voie qui a du sens pour soi et dans laquelle on se sent bien. Il ne faut pas hésiter à tester et à se tromper. C’est aussi comme cela que l’on trouve ce qui nous intéresse. Évidemment, ce conseil peut aussi s’appliquer aux garçons.
Le programme Plus de Nature dans mon quartier de la LPO
Biodiversité et Cohésion sociale au cœur des territoires avec la LPO
Le programme de mobilisation citoyenne « Plus de Nature dans mon quartier » de la LPO s’organise autour d’actions de sensibilisation, de préservation et d’intégration de la biodiversité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. La LPO en pilote la mise en place en lien avec les acteurs locaux, tels que les habitants, les écoles, les collectivités, les bailleurs sociaux et les associations de quartiers.
Sensibilisation à la biodiversité pour 64 classes d’écoles primaires et collèges sur les 9 quartiers pilote, soit environ 1600 élèves en 2022
Observation d’oiseaux dans le quartier Le Belvédère à Talant
La Fondation ENGIE accompagne la LPO pour ce programme depuis 2022 et participe ainsi à la sensibilisation et la mobilisation des habitants de ces quartiers, notamment des jeunes pour préserver la biodiversité au cœur des territoires . Avec 52% de ses projets dédiés à l’accès aux énergies renouvelables et durables et à la biodiversité en 2022, la Fondation ENGIE s’engage année après année pour l’environnement. Soutenir des projets à impact, participer à l’effort collectif de l’Agenda 2030 et porter la raison d’être d’ENGIE – « agir pour accélérer la transition vers une économie neutre en carbone, par des solutions plus sobres en énergie et plus respectueuses de l’environnement » – c’est ce qui guide l’action de la Fondation ENGIE au quotidien.
Du projet incubateur du quartier Favard en 2018 à Gradignan (33), aux actions engagées depuis 2021 dans les quartiers comme celui de la Madeleine à Joigny (89), de Maurepas à Rennes (35) ou des Couronneries à Poitiers (86), le programme « Plus de Nature dans mon quartier » s’est construit sur le terrain avec les citoyens et les acteurs locaux.
Le programme se déploie actuellement autour de 9 sites pilotes, avec un objectif de déploiement national en 2024.
En 2022, le programme a permis de sensibiliser 64 classes d’écoles primaires et collèges sur les 9 quartiers pilote, soit environ 1600 élèves et à travers eux, leur famille.
La force de la LPO résidant dans les liens de confiance établis de longue date avec le corps enseignant, certaines collectivités territoriales et, selon les secteurs, les centres sociaux des quartiers.
Des actions concrètes (plantations de strates arborées, construction de nichoirs etc) ont à chaque fois été réalisés.
En 2023, il est prévu la poursuite de la concrétisation d’actions en faveur de la biodiversité dans les quartiers pilotes, notamment avec les habitants, les bailleurs et les centres sociaux, ainsi que le déploiement du programme dans 10 nouveaux quartiers.
Quelques exemples de réalisations :
Rennes, quartier de Maurepas : La LPO Bretagne a démarré en septembre 2022 des interventions en milieu scolaire sur la découverte des différents habitats du parc situé à proximité, puis sur l’identification des espèces d’oiseaux donnant lieu à un diagnostic à l’échelle du quartier réalisé en travail de groupe.
A l’instar des élèves, la LPO va former en 2023 les agents municipaux et les bailleurs aux inventaires des espèces dans les espaces verts et à la prise en compte de la biodiversité en général, dans le cadre d’aménagements en cours d’identification.
Poitiers, quartier Les Couronneries : dans ce quartier en pleine mutation urbaine, la LPO Poitou-Charentes a établi une programmation tout au long de l’année scolaire 2022-2023, destinée à la fois aux 3 écoles du quartier et aux habitants. Elle s’appuie sur le centre social, les écoles et la mairie. Un 1er temps est dédié à la compréhension de la nature pour donner lieu à un 2ème temps de chantier participatif : ainsi début décembre les élèves ont assisté à la préparation du sol avec un cheval de trait afin de démarrer la plantation d’une haie champêtre en janvier avec leurs parents, enseignants, bénévoles et les agents municipaux. D’autres chantiers collectifs seront organisés aux abords des écoles, avec des constructions de nichoirs. Des ateliers photo sur la Nature dans le quartier donneront lieu à une exposition.
Préparation du sol pour la plantation de haies champêtres, quartier des Couronneries à Poitiers
Témoignage de Laura Jeanjean, Animatrice LPO à Tours dans le quartier des Rives du Cher : « Cet été, j’ai mené des animations sur la biodiversité auprès de jeunes en lien avec l’association Vivre Ensemble aux Rives du Cher. Ce quartier étant traversé par cette rivière, il recèle une faune et une flore importante. J’ai pu constater que les participants connaissent très peu cette richesse présente près de chez eux. Ils sortent et observent la nature très rarement. Les jeunes ont donné le sentiment de découvrir la biodiversité. Ils ont très vite souhaité agir pour sa protection, en construisant des nichoirs à mésanges qui ont été installés à proximité du siège de l’association. De même, les animateurs de l’association ont été sensibilisés aux enjeux de la biodiversité et ont acquis des connaissances et premières compétences naturalistes. Ainsi, dans la salle d’animation de l’association, des photos d’animaux sont accrochées aux murs, des plumes ont été ramassées, des boîtes-loupes utilisées pour observer les insectes sont posées sur une table… Les animateurs poursuivent donc ce travail avec les jeunes. Ces animations autour de la biodiversité sont une première pour eux, il est temps de changer nos habitudes d’animation et susciter de l’intérêt dans la durée auprès des jeunes. »
Centré dans un premier temps sur les quartiers prioritaires de la politique de la ville, ce programme vise à être étendu à un maximum de territoires urbains, comme le souligne Nadège Lecouturier, Responsable du Programme au sein de la LPO.
Ainsi, une fois réalisé ce programme dans les quartiers pilotes, la LPO vise à le développer dans d’autres zones urbaines sur le territoire national, en faisant en sorte que les connaissances et les bonnes pratiques puissent circuler entre les quartiers pour créer une dynamique. L’idée étant toujours de rendre les habitants et les structures locales autonomes et acteurs de la préservation de la biodiversité dans leur quartier.
« La présence de nature est une condition essentielle pour bien vivre en ville. Elle joue un rôle à plus d’un titre : lutte contre les pollutions, rafraîchissement de l’air, support d’apprentissage et bien être des populations…. Dans les quartiers prioritaires, encore plus qu’ailleurs, favorisons le retour de la biodiversité, et reconnectons les habitants à cette nature qui fait rimer enjeux écologiques et cohésion sociale ». Allain Bougrain Dubourg – Président de la LPO
Associations locales LPO engagées et quartiers pilotes
- LPO Bourgogne-Franche-Comté : quartiers La Madeleine à Joigny (89) et Le Belvédère à Talant (21) ;
- LPO Bretagne : quartier Maure pas à Rennes (35) ;
- LPO Centre-Val de Loire : quartier Rives du Cher à Tours (37) ;
- LPO Limousin : quartier Bellevue à Limoges (87) ;
- LPO Poitou-Charentes : quartier Les Couronneries à Poitiers (86) ;
- LPO PACA : quartier La Beaucaire à Toulon (83) et des Pins à Vitrolles (13) ;
- LPO Nord : quartier Frais Marais à Douai (59)
Journée Mondiale des ONG
Ce lundi 27 février, nous célébrons la Journée Mondiale des ONG, une initiative née en Europe, et reconnue par l’Organisation des Nations Unies, pour célébrer, commémorer et soutenir l’action des ONG, acteurs de la société civile.
C’est une journée un peu particulière pour la fondation d’entreprise ENGIE : l’occasion de mettre en avant ses partenaires et leurs actions. La Fondation ENGIE est fière d’accompagner l’engagement de nombreuses organisations qui œuvrent au quotidien pour construire le monde de demain et contribuent aux Objectifs de Développement Durable de l’ONU.
La Fondation ENGIE soutient à la fois des ONG internationales, des acteurs locaux et les ONG internes au Groupe, créées par nos collaborateurs, actifs ou retraités : les ENERGY ASSISTANCE.
Créée en 2001 par des salariés du Groupe, Energy Assistance (EA) rassemble des volontaires. L’objectif : mettre les compétences et le savoir-faire de ses membres, au service de projets humanitaires destinés à des populations qui n’ont pas accès ou ont un accès très limité, aux services énergétiques essentiels sur tous les continents. Production électrique décentralisée (principalement d’énergie renouvelable), raccordement au réseau de communauté isolée, réhabilitation d’installations électriques,…
Les ENERGY ASSISTANCE : des ONG internes du Groupe soutenues par la Fondation ENGIE
Ce sont 250 membres actifs qui se mobilisent chaque année. Plus de 40 projets ont été menés en 2022, avec 70 intervenants.
Leurs volontaires peuvent notamment intervenir dans la gestion des projets, la réalisation des installations (technicien ou non), la communication et la formation.
Tous les salariés d’ENGIE peuvent devenir volontaires et soumettre des projets. Les informations nécessaires sont disponibles sur energy-assistance.org.
Portrait de 2 collaboratrices engagées
Tiphaine Houssin : Collaboratrice du Groupe ENGIE nous parle de son engagement auprès d’Energie Assistance France
Sarah Ouziaux : ENGIE Impact : Segment Manager – Regulated, Institutional & Multilateral Organizations – basée à Bruxelles
La Fondation ENGIE partenaire de l’Ecole 42 LE HAVRE : Apprendre le code, casser les codes
Inclusion et égalité des chances
42, c’est une formation développement informatique d’excellence pour tous et toutes. Au programme de cette école différente et innovante : une approche par projets pour progresser et développer des compétences techniques et humaines recherchées sur le marché du travail.
42 est devenu une référence internationale en termes d’inclusion et d’égalité des chances.
Contribuer à faire émerger des projets innovants et favoriser l’inclusion et l’égalité des chances sont au cœur de ce partenariat entre la Fondation ENGIE et 42 Le Havre.
42 Le Have au coeur de la cité numérique
Situé entre bassins et mer, au cœur du Campus Le Havre-Normandie, 42 Le Havre est installé à la Cité Numérique, un lieu emblématique et un symbole d’innovation. Véritable signal de 36 mètres de hauteur à l’architecture audacieuse, la Cité Numérique est au cœur du campus de centre-ville, au carrefour de l’enseignement supérieur et de la recherche, ainsi qu’à l’interface du port et du tissu économique : tout un symbole pour ce lieu d’échanges, de formation, de croissance des entreprises et de développement de projets dans le champ de l’innovation et du digital.
Les missions principales de 42 Le Havre sont simples :
- Permettre au plus grand nombre d’accéder à une formation de haut niveau en programmation informatique, et cela, quels que soient le genre, l’âge, le passé et le milieu d’origine des candidates et candidats.
- Répondre aux besoins en compétences informatiques/numériques des entreprises du territoire en leur fournissant un nouveau bassin de codeurs créatifs aux profils diversifiés.
42 Le Havre représente ainsi un outil à disposition de toutes les entreprises de Normandie pour qu’elles puissent développer de nouvelles compétences informatiques/numériques mais aussi mieux organiser et mettre en œuvre leur transition numérique.
Le temps de la sélection à 42, c'est sa piscine
C’est tout l’inverse d’une compétition : il s’agit de mettre en situation les candidates et les candidats en leur faisant commencer le programme de la formation. Aucun pré-requis en code n’est nécessaire : peu importe le niveau de départ, la méthode 42 cherche à challenger les candidates et candidats sur leur capacité à se donner à leur maximum durant leur Piscine. Plutôt que de proposer un stage d’initiation à l’informatique, la Piscine de 42 permet de débuter le cursus avec un apprentissage intensif du premier langage utilisé durant la formation, le C. En un mois, la Piscine de 42 permet de découvrir toutes les méthodes d’apprentissages de la formation : l’apprentissage peer-to-peer (ou l’apprentissage avec les pairs), le travail en groupe, les peer-évaluations (ou évaluations par les pairs) ou encore la pédagogie par projets.
Près d’une centaine d’étudiants pour le démarrage de la toute première piscine de 42 Le Havre qui a eu lieu le 16 janvier.
42, un réseau mondial
42 a créé le plus grand réseau d’écoles d’informatique gratuites au monde, innovantes et ouvertes à tous et à toutes, accessible dès 18 ans et sans condition de diplôme.
Tous les campus 42 partagent la même charte de pratiques et de valeurs. Ils utilisent tous le même processus de sélection ainsi quʼun tronc commun de formation. Par conséquent, quelque soit le campus, les étudiant(e)s ont la garantie dʼune formation de qualité.
42 Le Havre est le 7ème campus français avec Paris, Lyon, Nice, Mulhouse, Angoulême & Perpignan et le 47ème dans le monde !
Alexandra Bricout, directrice 42 Le Havre nous parle de la mixité et de la diversité au sein de l'école
42 est devenu une référence internationale en termes d’inclusion et d’égalité des chances. 42 est classé n°1 en termes de valeurs éthiques et n°8 dans le top 100 des Universités innovantes mondiales (classement World Universities With Real Impact / WURI).
Et ça fonctionne : 42 a formé des milliers d’étudiants à travers le monde, et tous ont un job à la sortie ! Le concept est reconnu, les recruteurs y adhèrent largement. Les entreprises normandes ont déjà hâte de pouvoir vous accueillir en stage à la fin de la première année.
Tout cela ne serait pas complet sans mentionner le fait que la transformation numérique est le challenge clé à relever dans notre société, puisque que 85% des métiers n’existent pas encore dans le monde de demain.
Et c’est en cela que l’école 42 est puissante et avant gardiste !
Postuler à 42 Le Havre, c’est une chance pour vous de rencontrer de nombreux professionnels durant votre cursus et d’exercer ensuite des métiers passionnants et d’avenir.
SPORT ET EMPOWERMENT avec les Puncheuses
Dans le cadre de son programme Insertion professionnelle, la Fondation ENGIE accompagne Les Puncheuses, un programme unique pour les jeunes filles et les femmes qui veulent gagner en confiance et booster leur carrière.
En France, les femmes des Quartiers Politique de la Ville (QPV) sont particulièrement surexposées à la précarité et au chômage. Malgré les avancées réalisées, les inégalités persistent et les femmes demeurent victimes de nombreuses discriminations : dans la sphère professionnelle, dans l’espace public, au sein même de leur foyer, où s’exercent majoritairement les violences sexistes et sexuelles.
Dans les quartiers prioritaires, les femmes sont confrontées à de nombreuses entraves au principe d’égalité qui affectent notamment leur émancipation et leur plein accès aux droits fondamentaux. Beaucoup subissent une double discrimination en raison de leur sexe et de leur origine réelle ou supposée. Le taux de chômage des femmes en QPV est plus important qu’ailleurs (23 %, contre 9,5 % pour les femmes des unités urbaines environnantes).
Partant de ce constat, l’association Les Puncheuses a créé un programme d’accompagnement qui a pour objectif de renforcer le pouvoir d’action des femmes et de leur permettre d’avoir accès aux ressources nécessaires pour mener à bien leurs propres projets.
Un programme unique pour les jeunes filles et les femmes qui allie sport et empowerment
L’association LES PUNCHEUSES a été créée par Sarah Ourahmoune, vice-championne olympique de boxe et championne du monde de boxe, entrepreneure, présidente de Boxer Inside et Administratrice de Paris 2024.
« C’est un programme que j’ai créé pour les femmes qui veulent se sentir bien dans leur tête et leurs baskets et remonter sur le ring de la vie. Pendant 6 mois, je vous donne RDV tous les samedis pour boxer et participer à des ateliers empowerment. »
Sarah Ourahmoune
Les Puncheuses est un programme de 4 mois qui allie boxe et empowerment réservé aux femmes qui souhaitent gagner en confiance et apprendre à mieux se connaître. Le programme alterne cours de boxe, ateliers/formations et rencontres inspirantes.
L’année 2022 a été l’occasion de lancer une expérience pilote du programme. Elle nous a donné également l’opportunité de développer d’autres actions : du mentoring et un club de Puncheuses pour animer une communauté. Fin 2022, deux nouvelles promotions : une composée de 20 femmes et une autres de 20 jeunes filles de 16 à 18 ans.
Les chiffres clés 2022
- 304 CANDIDATURES REÇUES
- 20 FEMMES SÉLECTIONNÉES
- 8 MOIS D’ACCOMPAGNEMENT (1 À 2 jours par semaine)
Journée internationale des femmes et des filles de science
La Fondation ENGIE accompagne les chercheuses et l’éducation des filles dans les matières scientifiques.
Malgré les progrès réalisés pour parvenir à l’égalité filles-garçons, les filles continuent d’être sous-représentées dans le champ scientifique, et dans les filières professionnelles technologiques.
L’UNESCO estime que moins de 30 % des chercheurs dans le monde sont des femmes. Combler le fossé entre les filles et les garçons dans la science est essentiel pour relever les grands défis mondiaux et atteindre les Objectifs de Développement Durable fixés à l’Agenda 2030 de l’ONU pour lutter contre les inégalités, l’exclusion et les injustices, atteindre l’équité et l’égalité des sexes, faire face au défi climatique, mettre fin à l’extrême pauvreté.
Pour sensibiliser à cet enjeu d’égalité, l’UNESCO et ONU-Femmes ont souhaité faire de la journée du 11 février, la Journée Internationale des femmes et des filles de sciences : l’occasion pour la Fondation de mettre en avant ses engagements et surtout des parcours inspirants.
Depuis 30 ans, la Fondation ENGIE a la conviction que :
- le rôle des femmes est essentiel pour contribuer à la réalisation des objectifs du Millénaire.
- le rôle et l’avenir des filles, futures femmes, sont essentiels pour contribuer à la réalisation des objectifs du Millénaires. Les jeunes filles d’aujourd’hui seront les femmes de demain.
L’égalité des genres est une priorité pour la Fondation ENGIE et l’accompagnement des jeunes filles, leur formation et leur pleine aptitude à faire entendre leurs idées sont des leviers de développement et de paix.
La Fondation ENGIE agit pour renforcer la place des femmes et des filles dans le domaine scientifique en soutenant :
- Les chercheuses
- L’éducation des filles dans les matières scientifiques
FOCUS sur 4 programmes pour les femmes et filles scientifiques
FAVORISER LA DIVERSITE avec l’Institut des Hautes Etudes Scientifiques
Tous les ans, l’IHES accueille une moyenne de 200 visiteuses et visiteurs venant du monde entier pour des séjours de recherche d’une durée moyenne de 2,5 mois.
L’Institut met à disposition un logement, un bureau et toute l’assistance nécessaire pour que ces scientifiques exceptionnels puissent se consacrer entièrement à leurs recherches, sans aucune contrainte administrative ou d’enseignement, et collaborer avec les professeurs permanents de l’IHES.
Alors que la proportion de femmes accueillies à l’IHES reste faible, l’Institut mène plusieurs actions pour renforcer son attractivité auprès des chercheuses, encourager leurs candidatures et les accompagner au mieux dans le cadre de leurs visites.
La Fondation ENGIE accompagne ce programme en faveur de la diversité et finance l’accueil des chercheuses en visite à l’IHES.
Découvrez le portrait de Delaram Kahrobaei, professeure de mathématiques et d’informatique à la City University of New York (CUNY)
Delaram Kahrobaei est professeure de mathématiques et d’informatique à la City University of New York (CUNY), titulaire d’une chaire honoraire de cybersécurité à l’Université de York (Royaume-Uni) et professeure adjointe d’informatique et d’ingénierie à l’Université de New York.
Ses principaux intérêts de recherche sont la cryptographie algébrique post-quantique, la mathématique de l’intelligence artificielle et l’algèbre appliquée.
Ayant grandi en Iran, Delaram Kahrobaei a connu une révolution et une guerre, mais sa profonde passion pour les mathématiques l’a amenée à obtenir un double baccalauréat en mathématiques et en informatique de l’Université de technologie Sharif, à Téhéran, qu’elle a fréquentée aux côtés de la mathématicienne et médaillée Fields Maryam Mirzakhani.
Elle a ensuite déménagé aux États-Unis, où elle a obtenu un doctorat en algèbre computationnelle et combinatoire de CUNY et un diplôme en science informatique du City College de New York.
Elle est ensuite devenue professeure adjointe en mathématiques pures à la School of Mathematics and Statistics de l’Université de St. Andrews, au Royaume-Uni. Plus tard, elle a rejoint l’Université de York où elle a été titulaire de la chaire de cybersécurité au Département d’informatique. Elle a également été directrice fondatrice du York Interdisciplinary Centre for Cyber Security. Elle est retournée à New York en 2021.
La professeure Kahrobaei est également impliquée dans plusieurs réseaux internationaux concernés par la cybersécurité et la science des données responsables. Elle est membre de l’Initiative for the Theoretical Sciences de CUNY, du conseil d’administration de la Feynman Foundation, de Quantum for Humanity à Bruxelles (Belgique), et participe à plusieurs initiatives telles que QUASAR (Quantum Security via Algebras and Representation Theory) basé à l’Université d’Ottawa (Canada), et le partenariat stratégique York-Maastricht – Responsable Data Science (Royaume-Uni, Pays-Bas). Elle a également été présidente et cofondatrice de la start-up universitaire Infoshield, Inc., qui a eu beaucoup de succès.
Bien qu’elle ait entendu parler de l’IHES pour la première fois lors de ses études de doctorat à New York, par Dennis Sullivan, qui a été professeur permanent à l’IHES entre 1974 et 1995, c’est lorsqu’elle était chargée de cours à St. Andrews qu’elle a visité l’IHES pour la première fois. Elle est récemment revenue à l’IHES pour une visite de trois semaines, et a également été sélectionnée par le Conseil scientifique de l’IHES pour venir à l’Institut au cours de l’année académique 2024-2025 dans le cadre du programme de visite CARMIN, qui offre la possibilité à la fois d’effectuer un séjour de recherche à l’IHES et d’assister à un trimestre thématique à l’Institut Henri Poincaré à Paris.
Les Jeunes Talents de la Recherche au Musée de L’Homme
Le Prix de la Fondation ENGIE Talents de la recherche au musée de l’Homme attribue une bourse annuelle est remise à un(e) ou plusieurs chercheurs(euses) du Muséum travaillant sur des projets interdisciplinaires innovants visant à mieux comprendre les liens qu’entretiennent les sociétés passées et présentes avec leur environnement.
Découvrez les 4 chercheuses lauréates 2022 du Prix Fondation ENGIE Talents de la recherche au Musée de l’Homme
Professeure Sandrine Grouard pour le projet CARIBARÓ
En 2019, lors de la balade sur l’île Colón, Sandrine Grouard a découvert trois sites riches en matériel bioarchéologique. Un premier site où il a été trouvé une grande quantité de matériel archéologique et des tumuli. Puis, un site archéologique qui était connu des autochtones. Le dernier, un cimetière de tortues marines, soulève de nombreuses hypothèses.
Le projet Enquête archéologique et ethnoarchéologique sur l’archipel de Bocas del Toro, Panama est de réaliser des inventaires et des datations de ces nouveaux sites archéologiques. Ce qui va permettre d’affiner les connaissances chrono-culturelles amérindiennes : leurs techniques de pêche, de chasse et de subsistance, la biogéophiques des espèces vertébrés, crustacées et malacologiques ainsi que les évolutions paléo environnementales et climatiques de l’archipel.
Sabrina Krief éco-éthologue et professeure au Muséum d’Histoire Naturelle et Audrey Maille maîtresse de conférences au Muséum pour le projet ROADIE-BABS
Sur la route qui traverse le Parc National de Kibale en Ouganda, des babouins demandent de la nourriture et l’obtiennent.
Ces observations d’interactions étonnantes entre des primates et des humains, ont été constaté par les chercheuses, et elles ont construit ce projet. Il a pour objectif de comprendre ces interactions mais aussi de faire de la prévention sur les risques sanitaires.
C’est un sujet très peu étudié et très souvent conflictuel. Cette étude apportera des réponses et permettra de construire un discours plus impactant. Une étude précédente a montré que la nourriture donnée et les déchets ont des répercussions importantes sur un plan physiologique et sanitaire.
Ariadna Burgos maîtresse de conférences et ethnomalacologue pour le projet SOICO
Durant son année passée au sein d’une communauté indigène, sur l’île de Siberut, en Indonésie, la chercheuse Ariadna Burgos, a pu observer les femmes allant pêcher des coquillages en s’accordant avec les cycles de la lune.
Ces observations ont amené à penser et à se questionner sur la place qu’à la pêche des femmes dans la société : économique, sociale, écologique et politique. Cette étude va permettre d’établir des données relatives à cette pêche, car jusqu’à aujourd’hui, elles sont peu nombreuses. De plus, elle favorisera l’intégration de ce type de pêche au niveau local mais aussi une reconnaissance internationale.
Avec le Choix de l’Ecole, encourager et accompagner des jeunes diplômées et jeunes actives vers l’enseignement dans les collèges publics des quartiers prioritaires
L’association Le Choix de l’école accompagne la reconversion de jeunes diplômés et de jeunes actifs vers l’enseignement en collège et lycée professionnel en quartiers prioritaires. Pour assurer la réussite de ces jeunes professeurs, et celle des collégiens, l’association les forme et les accompagne pendant leurs deux premières années d’enseignement. Depuis 2015, 270 jeunes diplômés et jeunes actifs se sont reconvertis dans l’enseignement avec Le Choix de l’école.
La Fondation ENGIE apporte son soutien au développement du programme du Choix de l’école en lycée professionnel et accompagne de nouvelles enseignantes en maths-sciences, l’objectif étant d’encourager l’engagement de jeunes femmes dans des carrières scientifiques.
Découvrez le témoignage de Cécile, enseignante de maths-sciences en lycée professionnelle et accompagnée par Le Choix de l’école depuis septembre 2021.
Diplômée des Mines Paris Tech et de l’ENSCM, Cécile travaille d’abord en tant qu’ingénieure avant de se reconvertir dans l’enseignement en lycée professionnel. En septembre 2021, Cécile a fait sa première rentrée comme prof en lycée professionnel avec l’accompagnement du Choix de l’école. Cécile est enseignante de Maths-Physique chimie dans un lycée professionnel à Montrouge (92).
Mentorat réussi avec la Fondation Un Avenir Ensemble, pour 6 jeunes filles en filières scientifiques
La Fondation Un avenir Ensemble accompagne des élèvesen situation socio-économique fragile, depuis la classe de Seconde jusqu’à leur insertion dans la vie professionnelle, associant contributions financières et programmes d’actions personnalisés.
Durant 3 ans, 6 collaboratrices d’ENGIE dont 5 ingénieures du CRIGEN, centre de recherche, accompagnent 6 jeunes lycéennes en filières scientifiques.
AUTISM FRIENDLY ACADÉMIE : un établissement passerelle vers le professionnel
La Fondation ENGIE accompagne l’association « Sur les bancs de l’école » afin de soutenir l’inclusion professionnelle des jeunes avec autisme grâce au programme AUTISM FRIENDLY ACADÉMIE.
Education et insertion professionnelle au cœur des engagements de la Fondation ENGIE
On estime qu’aujourd’hui en France, il y a 100.000 enfants et jeunes avec autisme. Près d’1 sur 2 ne bénéficie pas d’une scolarisation adaptée et moins de 1% des personnes avec autisme ont un emploi.
De nombreux jeunes avec autisme, malgré leurs compétences parfois hors-normes (mémoire, fiabilité, créativité, persévérance, soucis du détail, rigueur…) sont en souffrance au collège et se retrouvent en rupture de parcours scolaire, sans solution, sans perspectives, à un âge où la formation professionnelle ne leur est pas encore accessible.
L’orientation préprofessionnelle (4ème/3ème) en milieu ordinaire n’est pas une solution dans la plupart des cas, en raison du caractère inadapté des filières proposées (métiers du bâtiment, tertiaire…) qui viennent se heurter aux particularités sensorielles de ces jeunes notamment. Les propositions d’orientation en adéquation avec les potentiels réels et les appétences de ces jeunes sont rares, par manque d’opportunités et parce que ces domaines n’ont pas été explorés dans la plupart des cas.
L’association « Sur les bancs de l’école » a donc créé « Autism Friendly Académie », un collège spécifiquement adapté à ces jeunes, qui a été reconnu par l’Education Nationale en 2019.
Autism Friendly Académie est un établissement pour les jeunes avec autisme âgés de 12 à 20 ans, en rupture avec le système scolaire en raison de leur impossibilité à intégrer une formation classique, qui leur permet de construire leur projet professionnel, en leur donnant accès à :
- des apprentissages fondamentaux : acquisition des compétences fondamentales dans un cadre adapté et en petit groupe avec une pédagogie individualisée, différenciée et innovante permettant de travailler sur un projet commun tout en s’adaptant au niveau de chaque élève dans chaque matière,
- une formation pré-professionnelle en adéquation avec chaque profil individuel, prenant en compte les caractéristiques des TSA (Troubles du Spectre Autistique) et les métiers en tension : proposition de deux formations professionnelles (cuisine/pâtisserie, informatique/robotique/programmation), • des formations d’habiletés sociales et professionnelles soutenus, pour développer les compétences sociales et professionnelles de ces jeunes afin qu’ils acquièrent un comportement approprié dans le milieu professionnel,
- une démarche d’ouverture vers le monde par l’expérimentation : accès à la culture, à l’art, au sport, aux sciences, à l’histoire/géographie, à la vie civique,
- un contenu pédagogique innovant offrant une place prépondérante aux outils multimédia et aux nouvelles technologies, au service de la créativité
Objectifs de formation et de diplôme
Les objectifs sont fixés en fonction des capacités et appétences de chaque jeune.
Il pourra être proposé aux jeunes de l’Académie de se préparer aux diplômes suivants :
- Le Certificat de Formation Générale
- Le Diplôme national du brevet
- Accès à la formation professionnelle via Cap emploi
- Accès à la formation professionnelle via La Mission Locale
- Accès aux C.F.A (centre de formation d’apprentis) adaptés aux personnes en situation de handicap
Journée Internationale de l’éducation
Ce mardi 24 janvier, nous célébrons la Journée Internationale de l’éducation, sur le thème de l’investir dans l’humain, faire de l’éducation une priorité. Aujourd’hui, l’éducation doit être la priorité pour accélérer les progrès vers la réalisation des Objectifs de développement durable.
Selon l’UNESCO, 244 millions d’enfants (âgés de 6 à 18ans) ne vont toujours pas à l’école et 771 millions d’adultes ne maîtrisent pas les compétences de base en alphabétisation en 2022.
Depuis 30 ans, l’aide à l’enfance et l’éducation sont au cœur de l’action de la Fondation ENGIE et de ses engagements, au cœur de son ADN.
Avec une conviction : donner leur chance aux plus fragiles pour construire l’avenir.
La Fondation ENGIE souhaite offrir aux enfants les plus vulnérables l’énergie d’apprendre et de grandir dans un environnement positif et a la conviction que les enfants construiront le monde de demain, leur donner l’énergie d’agir est vital pour l’avenir de la planète.
La Fondation soutient des projets en faveur de l’éducation du plus grand nombre en France et à l’international autour de 3 thématiques :
- Eduquer via le partage, la transmission et la découverte
- Eduquer pour la réussite scolaire avec le soutien scolaire
- Eduquer pour améliorer les conditions de vie des enfants
Eduquer via le partage, la transmission et la découverte
Avec l’UNESCO, partager, transmettre, débattre
En juin 2014, grâce à la Fondation ENGIE, l’UNESCO lançait le premier Campus UNESCO.
L’objectif des CAMPUS : mettre l’expertise des équipes de l’UNESCO et de ses partenaires au service de jeunes pour une meilleure compréhension des grands enjeux contemporains et développer leur esprit citoyen sur les sujets pour lesquels œuvre l’UNESCO. Les Campus ciblent des élèves de niveaux collèges et lycées en France et à l’international notamment l’Afrique.
Campus UNESCO a un impact sur les jeunes du monde entier : 2 000 élèves participants issus de 100 écoles.
Découvrez le Campus Unesco Biodiversité
https://www.youtube.com/watch?v=TpVExD4FY6o
https://www.youtube.com/watch?v=Mt5iFLQzQoQ&list=PLQoYyEOJcTWWgRrAyVGtYqqcSgGN9Uloi
Avec TAJO (Gand), des ateliers sur l’énergie
TAJO, c’est une école du samedi qui propose à des jeunes de 9-12 ans de la région de Gand d’expérimenter, durant des ateliers pratiques, les différents métiers qui s’offrent à eux pour leur avenir. C’est un projet éducatif qui est soutenu depuis un an par la Fondation ENGIE.
En octobre 2022, une quinzaine de jeunes de TAJO ont découvert le monde de l’énergie aux côtés des collaborateurs ENGIE. Lors d’ateliers, ils ont appris comment produire de l’énergie avec des citrons ou avec des panneaux solaires. Ou encore le fonctionnement d’une voiture et d’un circuit électriques.
Avec FRIENDSHIP, des écoles connectées au Bangladesh pour échanger sur le sujet de la transition énergétique
L’organisation Friendship, réseau international d’ONG, né au Bangladesh en 2002, intervient auprès des populations les plus vulnérables du pays pour les accompagner et favoriser leur accès aux services vitaux (santé, éducation, énergie, adaptation au climat et droits citoyens) avec des projets de développement et dans des contextes d’urgence.
@FRIENDSHIP
Le projet Ecoles Connectées encourage les élèves à partager des solutions innovantes pour faire face au changement climatique : adaptations logistiques ou comportementales, changement de pratiques et de modes de vie etc. En se positionnant sur ces questions, ils pourront devenir des acteurs du changement, en sensibilisant la société civile (camarades, parents, associations…).
Entre janvier et juin 2022, 8 écoles secondaires, équipées en connexion internet et ordinateurs, ont participé à cinq sessions d’échanges avec 8 écoles françaises. La session 2022 a également été un succès, salué par le Ministère de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports et reconnu par l’Agence française de Développement, nouveau partenaire de ce programme pédagogique pour 3 ans.
Les chiffres clés du programme
Chaque année :
- 20 écoles en France et au Bangladesh connectées
- Plus de 150 élèves au Bangladesh, 300 en France en correspondances
- 30 professeurs et responsables pédagogiques impliqués
- 5 sessions d’échanges, dont 2 rencontres interactives
Agir pour la réussite scolaire du plus grand nombre
Avec le Choix de l’Ecole, encourager et accompagner des jeunes diplômés et jeunes actifs vers l’enseignement dans les collèges publics des quartiers prioritaires
Créée en 2015, le Choix de l‘école est une association qui accompagne de jeunes diplômés et de jeunes actifs qui souhaitent se reconvertir vers l’enseignement dans les quartiers prioritaires. Pour assurer leur réussite dans leurs nouvelles missions, et celle de leurs élèves, l’association forme et accompagne ces jeunes professeurs pendant leurs deux premières années d’enseignement au primaire, en collège ou en lycée professionnel.
Depuis 2015, ce sont :
- 310 enseignants accompagnés sur 4 académies : Créteil, Versailles, Paris et Aix-Marseille,
- + 55 000 élèves du primaire, collège et lycée professionnel scolarisé en quartier prioritaire ont eu un enseignant accompagné par Le Choix de l’école depuis 2015,
- 89% des collèges de Seine-Saint-Denis ont accueilli un enseignant accompagné par Le Choix de l’école
Partenaire de l’Association, la Fondation ENGIE apporte son soutien au développement du programme du Choix de l’école en lycée professionnel dans les 4 Académies partenaires et accompagne de nouvelles enseignantes en maths-sciences, l’objectif étant d’encourager l’engagement de jeunes femmes dans des carrières scientifiques.
Témoignages :
https://www.youtube.com/watch?v=oBuost9f_yo&list=PLEp3ndQXx0_CG_3Qylf5P9HUJfRy1IbFi&index=3
https://www.youtube.com/watch?v=rHh9UagQgQA
Avec Fête le Mur : des programmes axés sur la réussite scolaire
Créée par Yannick Noah il y a plus de 20 ans, l’association Fête le Mur permet aux enfants des cités de pratiquer le tennis, au cœur même de leur quartier, encadrés par des professionnels et des entraîneurs de tennis diplômés. Depuis sa création, l’association propose dans certains de leurs sites un soutien scolaire aux jeunes bénéficiaires tout au long de l’année.
Vacances Educ’Actives
Depuis 2020, les difficultés scolaires observées lors du confinement les ont amenés à développer pendant les vacances scolaires des stages mêlant activités sportives et soutien scolaire : les Vacances Educ’Actives. Ce programme pendant les vacances scolaires permet de remettre à niveau les enfants qui ont pris du retard, mais aussi de leur permettre de recommencer une activité physique encadrée.
La classe en Fête
Une action éducative et de soutien scolaire innovante, au service de l’égalité des chances pour des bénéficiaires évoluant en Cycle 3 (CM1, CM2, 6ème.)
Il s’agit pour près de 2400 enfants du Cycle 3 en Quartier Prioritaire, d’avoir accès à une application de révision des leçons, toutes matières confondues, en utilisant le prisme de la chanson pour les aider à mémoriser les connaissances transmises en classe par leurs professeurs. Les enfants de l’association seront acteurs du projet car ce sont eux qui présenteront l’application à leurs camarades de classe et les mobiliseront pour participer au Challenge national « Un son, une leçon » qui élira la meilleure création de leçon en chanson.
Avec Coup de pouce, l’égalité des chances et la prévention contre le décrochage scolaire
Depuis 30ans, l’association Coup de Pouce agit aux côtés de l’école et en soutien des parents pour que chaque enfant développe le goût d’apprendre et le savoir apprendre. De ce faire, l’association conçoit et diffuse des programmes périscolaires proposés aux municipalités ou à d’autres acteurs éducatifs. Chacun de ses programmes est expérimenté, évalué et mis en œuvre de façon rigoureuse dans une démarche d’amélioration continue.
Leur vision : La réussite scolaire est un droit pour chaque enfant, quel que soit son environnement social et familial, et une responsabilité partagée entre l’Education nationale, les parents, les collectivités locales et la société civile.
La Fondation ENGIE accompagne Association Coup de Pouce Partenaire de la réussite à l’école pour l’égalité des chances et la prévention du décrochage scolaire. 300 enfants de la maternelle au CE1, accompagnés dans 60 clubs Coup de Pouce en Région Hauts-de-France avec un soutien pour la lecture, l’écriture, maths etc
Avec Valued Citizens en Afrique du Sud, travailler sur l’estime de soi
Valued Citizens est une association qui a pour objectif d’inspirer les individus à devenir des citoyens responsables, déterminés à mener leur vie en s’engageant dans la démocratie et l’économie sud-africain. Depuis 2009, la Fondation ENGIE accompagne l’ONG sur le programme iNSIRE.
iNSPIRE est un programme qui se consacre au développement de soi avec soutien psychosocial afin que les adolescentes se libèrent de leurs blessures émotionnelles (trahison, humiliation, abandon, injustice…).
Le programme INSPIRE s’efforce de donner aux adolescentes marginalisées les moyens de :
- Prendre le contrôle de leur vie avec résilience et dignité;
- Prise de conscience de soi et conquête de leurs peurs, craintes et « fantômes » liés à des situations d’abus ou d’abandon;
- Prévenir la victimisation des jeunes femmes;
- Devenir des citoyennes actives et engagées qui apportent un changement positif dans leurs écoles et leurs communautés;
- Prendre des responsabilités pour ses propres actions et les actions collectives menées à travers leur projet citoyen;
- Savoir gérer un projet en tant que leader et son projet de vie avec détermination et confiance en soi;
Communiquer avec impact pour influencer une communauté scolaire; - Devenir des jeunes femmes indépendantes qui contribuent à l’économie de l’Afrique du Sud.
Le programme investit sur 6 collèges/lycées d’une même proximité, afin d’avoir un impact sur la communauté d’un district rural ou les townships sont nombreux au sein de la province du Gauteng où Engie est présent.
Ce programme est spécifiquement destiné à :
- 12 instituteurs qui deviendront l’équipe de soutien en milieu scolaire (2 par école)
- 180 adolescentes de 3ieme – 30 jeunes étudiantes par lycées de 15/16 ans – 20 reconnues comme leaders et 10 adolescentes d’une grande vulnérabilité.
- 300 élèves des collèges/lycées seront directement impliqués dans leur projet citoyen qui aura un impact sur l’ensemble des écoles représentant approximativement 5100 étudiants, garçons et filles mais aussi parents et leaders communautaires.
En savoir plus > https://www.youtube.com/watch?v=HNPmsZUGHMM
Education pour améliorer les conditions de vie des enfants
Avec l’instituto Melhores dias, l’amélioration de la qualité de vie des communautés
L’Instituto Melhores Dias (IMD) a commencé ses activités en 1993 et a été établi en tant qu’organisation brésilienne à but non lucratif en 1995. Au cours des 29 dernières années, l’IMD a encouragé l’amélioration de la vie des enfants et des communautés, par le biais de programmes dans les domaines suivants : santé et nutrition, éducation, prévention sanitaire, activités physiques, culture, environnement, entre autres.
Plus de 12 millions de personnes ont bénéficié de ces programmes, dans 16 États brésiliens et 75 villes. Plus de 50 000 enseignants, travailleurs de cafétéria et agents de santé communautaires ont été formés et 3 millions d’enfants ont bénéficié d’une éducation en matière de santé et de nutrition. Avec pour mission de promouvoir le développement sain des enfants, par la formation de partenaires et l’articulation de réseaux locaux, l’Institut a acquis une expérience dans le développement de projets dans les écoles et les communautés, en partenariat avec les gouvernements locaux, avec le soutien de fondations et d’entreprises nationales et internationales.
Healthy School à Lages et Pedro Avelino, RN, Brésil
Le projet apporte des améliorations directes et indirectes pour la qualité de vie des communautés à travers des actions éducatives en matière de prévention sanitaire et d’hygiène. Il s’agit d’un programme à multiples facettes qui fournit une éducation participative sur la santé préventive et la nutrition générale, traite les enfants sur les principales carences en nutriments et engage les familles et les communautés dans des efforts pour améliorer leur santé et leur niveau de vie. L’amélioration de la santé de ces communautés est obtenue grâce à des interventions comprenant des examens et des traitements biomédicaux, ainsi qu’une sensibilisation à l’importance des bonnes pratiques d’hygiène et de l’implication de la communauté.
L'UNESCO dédie cette année, la Journée internationale de l’éducation, aux filles et femmes en Afghanistan, qui sont privées de leur droit à l'éducation, et appelle à lever immédiatement cette interdiction d'accès à l'éducation
La Fondation ENGIE a accompagné l’association Afghanistan libre depuis 2015 en faveur de l’éducation pour les filles en Afghanistan via un programme de formation au numérique avec Afghanistan Libre dans les provinces du Panjshir et de Kaboul.
Après avoir participé à électrification de 13 écoles, la Fondation ENGIE a financé un projet de « classes digitales ». Objectif : former les jeunes filles au numérique.
600 jeunes filles étaient formées chaque année dans le cadre des classes digitales après avoir suivi les trois ans de formation.
Impact
- 600 étudiantes de 15 à 17 ans formées sur trois ans, 70% de réussite à l’examen
- 5 classes pilotes, dont une ouverte en 2019 dans la province de Kaboul
La fondation ENGIE aux côtés de la Fondation Hôpitaux de Paris – Hôpitaux de France pour l’opération Pièce Jaune 2023.
Améliorer le quotidien des enfants et des jeunes à l’hôpital : depuis 34 ans, c’est l’engagement de la Fondation des Hôpitaux, avec l’aide du grand public, et le soutien de la Fondation ENGIE. Grâce à cette opération, ce sont des milliers de projets aidés à travers toute la France dans les établissements de santé pédiatriques publics et privés à but non lucratif.
La Fondation ENGIE, dans le cadre de son programme en faveur de l’enfance, est fière de soutenir cette très belle opération et d’en être un partenaire historique. Depuis 2005, tous les collaborateurs du Groupe ENGIE se mobilisent pour cette collecte de fonds au service des enfants malades.
Cette année, un focus particulier sera apporté pour le bien-être psychologique des jeunes, via un soutien renforcé aux Maisons des Adolescents.
A quoi servent les Pièces Jaunes ?
Depuis 1989, les collectes des Pièces Jaunes ont permis à la Fondation des Hôpitaux de financer près de 9 500 réalisations permettant d’améliorer l’hospitalisation des enfants et des adolescents. Les actions principales de la fondation depuis sa création, sont axées sur la prise en charge des adolescents en souffrance et le rapprochement des familles, en participant au financement de lieux spécifiques au sein de l’hôpital :
- 73 maisons des ados
- 2839 chambres parents-enfant
- 71 maisons des parents subventionnées
Les collectes permettent de financer des projets pour l’amélioration du quotidien des enfants et adolescents hospitalisés :
- maintien du lien des enfants hospitalisés avec l’école, 11 000 élèves par an sont scolarisés dans les établissements hospitaliers et sanitaires
- développement d’activités, 4 700 projets d’équipement scolaire, d’aires de jeux et d’espaces d’animations
- amélioration de l’accueil et du confort, 2 800 projets de décoration et d’ameublement
Il reste encore beaucoup à faire pour les enfants et les adolescents à l’hôpital.
Comment contribuer ?
Les collaborateurs du Groupe ENGIE
La Fondation ENGIE, partenaire de l’opération, met à disposition des tirelires et encourage les collaborateurs à s’impliquer à travers les collectes de Pièces Jaunes dans les différents sièges. En 2019, la collecte au sein du Groupe ENGIE, a permis de récolter plus de 65kg de Pièces Jaunes.
La Fondation ENGIE fait appel à la générosité des collaborateurs pour battre le record cette année !
Une collecte digitale
Le don en ligne sur https://don.fondationhopitaux.fr/piecesjaunes-fondationengie?utm_source=engie&utm_medium=email&utm_campaign=pieces-jaunes-2023
Le don par SMS : envoyez DON au 92 111 – don de 5 € sur facture opérateur mobile, Bouygues, Free, Orange et SFR
Une opération accompagnée d’évènements
Les trois semaines de campagne seront animées par des événements dans les villes, dans les hôpitaux, dans les écoles et chez les partenaires de l’opération.
- 11 janvier : Lancement de l’opération à Nice
- 12 janvier – 2 février : Des visites dans un hôpital pédiatrique, une maison des adolescents et une maison des familles sont prévues et animeront la campagne.
- 3 février : Clôture de l’opération à Lille
- 4 février : Date limite pour rapporter les tirelires dans les bureaux de Poste ou les bornes de collecte
Avec le soutien de la Fondation ENGIE, la 34e Bienal de São Paulo à Luma Arles
Une passerelle culturelle entre la France et le Brésil
Du 16 décembre 2022 au 5 mars 2023, avec le soutien de la Fondation ENGIE, Luma Arles accueille la 34e Bienal de São Paulo et présente « Même dans la pénombre, je chante encore » dans les espaces des Forges. Une première, puisque c’est la première exposition de la Bienal à se dérouler en France.
Une première coopération de la Fondation ENGIE avec la Fondation LUMA créée en 2004 et dédiée au soutien de la création artistique contemporaine
L’exposition dévoile pour la première fois en France une sélection d’œuvres de praticiens contemporains majeurs. Elle donne à voir certains des concepts les plus novateurs créés par des artistes contemporains d’aujourd’hui, ainsi que des œuvres expérimentales d’artistes établis sur ces dernières décennies.
La Fondation ENGIE soutient la programmation de cette belle exposition, dans le cadre de la célébration des 200 ans du Brésil, et tout particulièrement, dans le cadre de son engagement pour la culture pour toutes et tous, le programme d’actions de médiation autour du corpus d’oeuvres proposées dans le cadre de l’exposition « Même dans la pénombre, je chante encore», pour les publics jeunes et éloignés de la culture, pour faire découvrir au plus grand nombre l’exposition et la culture brésilienne.
L’objectif est de faire découvrir à plus de 800 jeunes, dans le cadre scolaire ou dans un cadre associatif et social, une approche dynamique et participative de la création contemporaine.
Promouvoir l’accès de tous à la culture et tout particulièrement les publics les plus fragiles est une exigence au cœur de l’action de la Fondation ENGIE depuis 30 ans. La culture représente un formidable outil d’intégration, d’enrichissement, d’expression et d’ouverture aux autres.
Présente depuis 25 ans au Brésil, la Fondation ENGIE a souhaité avec ce projet aux cotés de la Fundação Bienal de São Paulo et de la Fondation LUMA Arles créer une passerelle entre la France et le Brésil.
Présentation de l’exposition « Même dans la pénombre, je chante encore, Œuvres de la 34ᵉ Bienal de São Paulo »
Présentée aux Forges, la sélection d’œuvres soulève des questions de perception, de transformation, et interroge la manière dont différentes réalités peuvent coexister, à travers une pluralité de médias, installations, expériences sonores, peintures, vidéos, photographies et lettres.
Structurée autour d’une série de contributions, Même dans la pénombre, je chante encore, Œuvres de la 34ᵉ Bienal de São Paulo met en lumière les œuvres de quatorze artistes originaires de sept pays, qui viennent dialoguer et se font l’écho notamment de récits politiques, de questions post colonialistes, de préoccupations environnementales et de croyances indigènes.
Artistes participants :
Victor Anicet, Zózimo Bulbul, Seba Calfuqueo, Manthia Diawara, Jaider Esbell, Noa Eshkol, Naomi Rincón Gallardo, Carmela Gross, Sueli Maxakali, Gala Porras-Kim, Alice Shintani, Amie Siegel, Regina Silveira, Daiara Tukano
Pour en savoir plus : https://www.luma.org/fr/arles/notre-programme/event/bienal-de-sao-paulo-64563664-62c5-473e-8273-80de57b7aaf1.html