Projet LANDES : interview avec Richard RAYMOND
La conservation de la biodiversité convoque différents enjeux, des enjeux naturalistes mais aussi enjeux des sociaux. En effet, certains milieux réputés naturels résultent, de fait, de la combinaison de conditions mésologiques et de pratiques humaines passées ou présentes. C’est le cas des landes littorales à éricacées de La Hague. Ces milieux se sont développés sur des sols oligotrophes battus par les vents où des pratiques agro-pastorales ont limité l’implantation de fourrés. La conservation du bon état écologique de ces habitats demande d’entretenir ces espaces. Le pâturage semble être, théoriquement, la manière la plus adéquate de le faire ; mais sa mise en œuvre se heurte à la difficile articulation entre objectifs naturalistes et impératifs agricoles. De plus, la définition usuelle des landes met en exergue des paysages naturels remarquables dont le caractère repose moins sur l’intérêt naturaliste ou agricole que sur l’absence de signes apparents de gestion. Ces paysages sont ainsi le support de développement de loisirs dit « de nature ». Ainsi, la conservation de cet habitat nécessite d’articuler enjeux environnementaux et enjeux sociaux.
Le projet LANDES vise donc à saisir, à partir d’une situation concrète, les représentations, les pratiques et les attachements propres à chaque groupe d’acteurs impliqué dans la gestion de ces milieux. Ce faisant, nous analyserons, au-delà de la pensée savante, l’intrication de ce qui relève de la Nature et de ce qui est attribué à la Culture, dans les relations que les groupes sociaux entretiennent à leur environnement.
Interview avec Richard RAYMOND
1) En quoi votre travail et vos recherches permettent de mieux comprendre et/ou d'agir sur ces enjeux fondamentaux liés au dérèglement climatique et/ou à la préservation de la biodiversité auxquels nous sommes confrontés ?
La conservation de la biodiversité se heurte fréquemment à différents enjeux sociaux. Ainsi, le récent rapport conjoint de l’IPBES et de l’IPCC publié le 10 juin 2021 et intitulé « Scientific Outcome of the IPBES-IPCC co-sponsored workshop on biodiversity and climate change » met en exergue les synergies possibles entre les réponses aux crises environnementales. Il pointe également l’intérêt de reconsidérer les formes de gouvernance pour engager une approche holiste des rapports à l’environnement. De la même manière, les obligations réelles environnementales introduites par la loi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages (art. L. 132-3 du code de l’environnement) dépendent très largement de l’ajustement des pratiques humaines avec des objectifs écologiques. Le projet LANDES vise alors à saisir, à partir d’une situation concrète, les fondements cognitifs (valeurs, savoirs et représentations) et pratiques (usages de ces espaces) des enjeux environnementaux et sociaux de la gestion des landes littorales. Ainsi, il s’agit de révéler l’intrication de ce qui relèverait de la Nature et de ce qui est attribué à la Culture, dans les relations que des groupes sociaux entretiennent à leur environnement. Il sera alors possible de rechercher des modalités d’articulation de ces enjeux sociaux et environnementaux pour répondre, à l’échelle des territoires, aux défis que posent les changements globaux.
2) Le Congrès mondial de la Nature s'est tenu début septembre, y a-t-il un message fort porté par cet événement qui vous a marqué ou des conclusions que vous jugez utiles de retenir ?
Ce que je retiens de ce Congrès est l’engagement de nombreux acteurs, appartenant à des sphères d’action très différentes (États, ONG, entreprises, citoyens, recherche et enseignement, etc.) autour de la recherche de solutions pour répondre à un défi commun.
3) Pouvez-vous nous donner des raisons d’espérer et de nous dire que nous pouvons encore agir face à ces dérèglements ?
L’engagement des différents acteurs présents au Congrès mondial de la Nature ou dans son environnement proche, l’engagement de celles et ceux qui auraient souhaité venir mais qui ne l’ont pas pu, l’engagement des personnes qui ne sont pas venues parce qu’elles estiment qu’il faut aller encore plus loin, encore plus vite face à l’urgence de la crise environnementale, etc., tous ces engagements sont sources d’espoir.
Projet TRANSITIONS : interview avec Emmanuel COHEN & Samuel PAVARD
Dans les pays émergents, l’urbanisation est associée à une diminution de la dénutrition et de la mortalité par les maladies infectieuses, notamment chez les enfants. En revanche, elle expose aussi les populations urbaines à une alimentation plus énergétique et transformée et à des polluants allergènes et cancérogènes en augmentation. Or, l’effet de ces facteurs sur la mortalité adulte demeure peu étudié dans ces pays, même si certains travaux récents en Asie alertent sur un possible milieu urbain plus létal pour les adultes que les milieux ruraux. Le projet TRANSITIONS s’intéresse à cette question sur le continent africain où des pays comme le Sénégal vivent pleinement ces transitions nutritionnelles, épidémiologiques et démographiques, conjointement impulsées par cette dynamique environnementale d’urbanisation rapide. Ces transitions sont associées à une forte morbidité cardiométabolique et cancérologique en ville associée à des niveaux encore hauts de dénutrition et d’états infectieux graves, conduisant à une situation de santé publique inédite : un double fardeau des pathologies préindustrielles infectieuses et postindustrielles chroniques auxquelles doivent faire face les nations en voie d’urbanisation.
L’objectif du projet interdisciplinaire TRANSITIONS consiste par l’analyse de données démographiques, épidémiologiques et socioanthropologiques à évaluer comment une telle mutation des modes de vie agit sur la santé globale de la population sénégalaise. Pour ce faire, on identifiera les groupes les plus touchés par cette dynamique, en fonction de leurs environnements, de leurs normes socioculturelles et de leurs pratiques alimentaires pluriels.
Interview avec Emmanuel COHEN & Samuel PAVARD
1) En quoi votre travail et vos recherches permettent de mieux comprendre et/ou d'agir sur ces enjeux fondamentaux liés au dérèglement climatique et/ou à la préservation de la biodiversité auxquels nous sommes confrontés ?
De manière indirecte, notre recherche permet de rendre compte de l’adaptabilité du mode de vie urbain, en expansion sur toute la planète, sur la santé des populations humaines. Questionner l’adaptabilité de cet environnement urbain pourrait conduire à des politiques alternatives favorisant des modes de vie moins productivistes/consuméristes au sein d’environnements urbains moins édifiés technologiquement. Ceci peut avoir indirectement des effets positifs sur le réchauffement climatique, largement impulsé par l’anthropisation générale des milieux.
2) Le Congrès mondial de la Nature s'est tenu début septembre, y a-t-il un message fort porté par cet événement qui vous a marqué ou des conclusions que vous jugez utiles de retenir ?
Le message fort pour nous est le caractère urgent et global de la réponse face à la crise environnementale grandissante à laquelle nous sommes tous confrontés.
3) Pouvez-vous nous donner des raisons d’espérer et de nous dire que nous pouvons encore agir face à ces dérèglements ?
Il nous faut, selon nous, repenser le rapport que nous entretenons avec la nature et le corps humain – qui est en lui-même une expression de la nature parmi d’autres. Agir conjointement sur les effets néfastes d’une urbanisation productiviste et consumériste grandissante sur les écosystèmes et sur le bien-être des populations humaines – one health/global health – pourrait être la clé de notre salut.
Projet IMAG-ARBRE : interview avec Anne-Caroline PRÉVOT & Axelle GRÉGOIRE
En explorant et mettant en scène les différents imaginaires de l’arbre en ville dans les sociétés occidentales, IMAG-ARBRE veut proposer des chemins de traverse pour repenser des futurs territoriaux des villes qui voudraient intégrer la diversité des vivants.
Pour ce faire, IMAG-ARBRE mobilisera l’image comme objet de dialogue : dans les produits culturels dominants (notamment les films de science-fiction), dans les maquettes et cartographies des projets architecturaux de renouveau urbain, dans les représentations sociales des habitants et des habitantes des villes. Une première phase d’entretiens permettra de faire ressortir la diversité des images et des imaginaires de l’arbre en ville (par exemple chez des habitants et habitantes, des concepteurs et conceptrices, des scientifiques et des pépiniéristes). Ces imaginaires seront alors mobilisés pour inventer une installation artistique immersive qui invite à « devenir arbre ». Ce projet art-science s’appuie sur une interdisciplinarité forte entre écologie, biologie et psychologie de la conservation, ainsi que les sciences du design.
Interview avec Anne-Caroline PRÉVOT & Axelle GRÉGOIRE
1) En quoi votre travail et vos recherches permettent de mieux comprendre et/ou d'agir sur ces enjeux fondamentaux liés au dérèglement climatique et/ou à la préservation de la biodiversité auxquels nous sommes confrontés ?
Ce travail permet de mettre en images la diversité des façons de penser et d’imaginer la nature en ville (ici, au travers de l’arbre), mais aussi d’inventer une création artistique qui pourrait permettre à celles et ceux qui y sont réceptifs de se questionner sur leurs propres perceptions. Première étape pour changer de valeurs et de modes de penser, vers des changements transformateurs.
2) Pouvez-vous nous donner des raisons d’espérer et de nous dire que nous pouvons encore agir face à ces dérèglements ?
Oui, grâce à la diversité des imaginaires des personnes humaines, que ce projet essaie de révéler.
HOPE.Z : interview avec Sandrine PRAT & Raphaël HANON
L’émergence de notre genre (le genre Homo) et celle de nos cousins, les Paranthropes, il y a 2,8 millions d’années s’accompagne d’un changement progressif du climat. L’ensemble de nos connaissances sur cette période provient de deux zones géographiques bien distinctes, l’Afrique de l’Est avec des sites de plein air et l’Afrique du Sud avec des dépôts karstiques. Ces données sont actuellement trop parcellaires pour faire le lien entre ces deux régions d’importance, tant les dépôts sédimentaires et archéologiques diffèrent.
Le projet HOPE.Z a pour objectif de documenter la relation entre ces deux régions, en menant pour la première fois une campagne de prospections de gisements fossilifères datés entre 3 et 1 millions d’années dans deux régions du Zimbabwe, dans un cadre international et interdisciplinaire. Ces résultats permettront une meilleure comparaison des données entre l’Afrique de l’Est et du Sud et offriront un regard nouveau sur les paléoenvironnements et le climat dans lesquels ont évolué nos ancêtres en Afrique et en particulier au Zimbabwe. Enfin, l’étude des outils en pierre que façonnaient et utilisaient ces populations préhistoriques nous permettra de mieux comprendre leurs adaptations culturelles face aux changements environnementaux.
Interview avec Sandrine PRAT & Raphaël HANON
1) En quoi votre travail et vos recherches permettent de mieux comprendre et/ou d'agir
sur ces enjeux fondamentaux liés au dérèglement climatique et/ou à la préservation de la biodiversité auxquels nous sommes confrontés ?
L’évolution et la survie d’une espèce sont directement liées à son écosystème. L’étude de la biodiversité des populations du passé et notamment des apparitions et des disparitions d’espèces est cruciale pour comprendre l’impact des modifications des écosystèmes sur l’évolution humaine. En étudiant ces dynamiques évolutives, il est possible de mieux comprendre les processus d’adaptations des espèces face aux changements climatiques. De ce fait, cela permet de bien caractériser ce qui relève de l’impact des activités humaines, notamment en termes de facteur de dérèglement, sur l’environnement et le climat. En effet, une rétro-observation sur les populations du passé présente une clé de lecture importante concernant les problématiques de préservation des écosystèmes dont l’équilibre est menacé par le dérèglement climatique et l’effondrement de la biodiversité.
2) Le Congrès mondial de la Nature s'est tenu début septembre, y a-t-il un message fort
porté par cet événement qui vous a marqué ou des conclusions que vous jugez utiles de
retenir ?
Plusieurs messages forts portés par le Congrès mondial de la Nature peuvent être retenus.
Le premier est que changement climatique et protection de la biodiversité doivent être pensés ensemble. Les crises climatiques et la perte de la biodiversité sont étroitement liées et se renforcent mutuellement. Le second message est que nous sommes dans une zone
forte de turbulence, cela va au-delà d’une notion de crise (qui peut être perçue comme temporaire) et qu’il faut placer la protection de la biodiversité au sein des politiques économiques. Malheureusement, un des chiffres importants de ce Congrès est que seulement 3% du budget mondial alloué à la reprise économique sera bénéfique pour la nature. À l’inverse, 17% de ce même budget pourrait avoir un impact néfaste sur l’environnement et la biodiversité. Ces chiffres montrent qu’il reste encore beaucoup de chemin à parcourir avant d’atteindre un système économique responsable et conscient de son impact sur la nature. Nous sommes à une étape cruciale de l’avenir de la planète, car si des décisions fortes ne sont pas prises aujourd’hui, un retour à une situation stabilisée ne sera pas possible.
3) Pouvez-vous nous donner des raisons d’espérer et de nous dire que nous pouvons encore agir face à ces dérèglements ?
Depuis quelques centaines de milliers d’années, l’espèce Homo sapiens a su faire preuve d’une capacité d’adaptation telle qu’elle a été en mesure d’occuper l’ensemble du globe, jusqu’aux régions les plus inhospitalières. Mais même si au cours du temps, l’espèce humaine a su faire face à divers changements environnementaux et a su faire preuve de résilience, elle reste, comme tout être vivant, tributaire de son écosystème pour survivre. L’un des messages du Congrès mondial de la Nature est que la préservation de la biodiversité passe par l’éducation. Cela se traduit par une évolution des mentalités et une prise de conscience collective. Bien qu’ils puissent paraître lents, ces changements progressifs constituent un motif d’espoir.
La Fondation ENGIE accompagne RespectOcean pour le programme "Biodiversité marine et économie"
Fondée par la navigatrice et scientifique Raphaëla Le Gouvello, RespectOcean est une association qui regroupe des acteurs et entreprises engagés pour un développement économique durable en faveur de la protection et de la préservation de l’océan, des littoraux et de leurs écosystèmes.
Depuis sa création, l’association a construit une communauté de valeurs et d’expertises en faveur de la protection de l’océan et de sa biodiversité. Aujourd’hui, près de 70 acteurs économiques et associatifs sont fédérés au sein de RespectOcean afin de faire émerger des solutions innovantes pour l’économie durable au service de la préservation des écosystèmes marins et côtiers.
A l'occasion du Congrès mondial de la nature de l'UICN, à Marseille (du 4 au 11 septembre) RespectOcean lance un nouveau programme ambitieux "Biodiversité marine et économie", à destination des entreprises.
Partageant l’ambition de RespectOcean de favoriser la meilleure prise en compte des enjeux liés à la biodiversité marine et côtière par le monde économique et d’accélérer ainsi la prise de conscience collective pour construire un monde plus harmonieux, la Fondation d’entreprise ENGIE soutient ce nouveau programme.
L’océan est fortement impacté par les activités anthropiques et les conséquences sont importantes pour le monde vivant qu’il abrite, mais également pour la capacité des êtres humains qui en dépendent à subvenir à leurs besoins. L’implication des acteurs économiques est fondamentale.
RespectOcean souhaite renforcer les échanges entre acteurs économiques, encourager et faire connaître les initiatives qui permettent un développement économique préservant la biodiversité marine et sa capacité d’adaptation en ces temps de pressions majeures à grande échelle.
C’est avec un tel objectif que RespectOcean lance son nouveau programme « Biodiversité marine et économie », à l’occasion du Congrès mondial de la nature de l’UICN.
Le programme, structuré autour d’un club d’entreprises et de groupes de travail, permettra de développer des outils et retours d’expérience qui aideront les acteurs économiques à appréhender l’impact de leurs activités, à valoriser leurs solutions et à porter leurs voix collectivement dans des instances décisionnelles.
Ce programme a d’ores et déjà reçu le soutien de l’Office français de la biodiversité (OFB), ainsi que le soutien officiel du Ministère de la Mer.
« Ce partenariat a revêt pour nous un sens particulier. Notre Groupe était partenaire de Raphaela le Gouvello lors de ses traversées en solitaire des océans en planche à voile. Un exploit extraordinaire qui avait été suivi par nos collaborateurs à travers le monde et qui était l’occasion de sensibiliser le grand public sur la question des océans. L’engagement de Raphaela le Gouvello pour la biodiversité et la protection des océans a trouvé une belle prolongation avec la création de Respect Océan. Nous l’avions accompagnée dans sa démarche pour créer un réseau. Aujourd’hui notre partenariat change de dimension. La protection de la biodiversité est au cœur des grands engagements de notre Fondation avec l’aide à l’enfance et l’accès de tous à l’énergie. Ce type d’initiative collective qui fédère des acteurs engagés au cœur des territoires venus d’horizons différents pour à la fois être dans une action de plaidoyer et d’actions concrètes pour faire avancer les choses correspond à la philosophie de notre Fondation . »
Jean-Pierre Clamadieu – Président de la Fondation ENGIE
« Avec la Fondation ENGIE, et tout le groupe ENGIE , c’est une très belle histoire de mer qui se poursuit, un partage de valeurs, une histoire humaine, avec la Mer et pour la Mer. Après avoir été un partenaire formidable pendant mes traversées en planche à voile en solitaire, et pendant ma Minitransat de 2013 qui a lancé le réseau RespectOcean, le Groupe Engie, au travers de sa Fondation Engie, nous renouvelle sa confiance, pour aller plus loin dans notre engagement et démarrer aujourd’hui ce programme Biodiversité marine et économie, qui va constituer la colonne vertébrale de RespectOcean. Comment s’approprier les enjeux de préservation de cette biodiversité marine, si précieuse, comment traduire en actions concrètes cet engagement pour la biodiversité marine, quand on est un acteur économique ? C’est tout le sens de la mission que s’est donnée RespectOcean, de ce programme Biodiversité marine et économie, et nous sommes très heureux et fiers que la Fondation Engie nous accompagne dans ce grand défi. »
Raphaëla le Gouvello – Présidente de l’association RespectOcean
Mobilisation de la Fondation ENGIE à l’occasion du Congres de la Nature de l’UICN à Marseille
A l’occasion du Congrès mondial de la nature de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), la Fondation ENGIE se mobilise et poursuit son engagement pour la biodiversité.
Organisé tous les quatre ans, le Congrès mondial de la nature de l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), est l’une des plus grandes mobilisations internationales pour la biodiversité. Elle réunit les experts de la protection de la nature, mais aussi les entreprises et les citoyens qui œuvrent pour inscrire la biodiversité dans une stratégie nationale et mondiale. Cette année c’est à Marseille que l’UICN se réunit du 3 au 11 septembre 2021.
L’occasion pour la Fondation d’entreprise ENGIE de réunir ses partenaires, mener des actions et nouer de nouveaux partenariats, avec une priorité : sensibiliser acteurs et grand public, autour de 5 moments forts :
- Organisée avec et au MUCEM, le Muséum Naturelle d’Histoire Naturelle et la Fondation ENGIE, une rencontre débat avec une cinquantaine de participantes (personnalités du territoire engagées sur les questions d’environnement) autour de Jean-Pierre Clamadieu, Président du Conseil d‘administration d’ENGIE et Président de la Fondation sur le Thème « Femmes et Engagements pour la biodiversité »
L’occasion de signer pour la Fondation ENGIE et le MUCEM un partenariat pour le programme d’accès des publics éloignés à la culture « Destination MUCEM ».
Mécène fondateur du MUCEM, la Fondation ENGIE a soutenu la réalisation du « Jardin des Migrations ».
Signature d’un partenariat Fondation ENGIE Respect Océan pour le lancement du programme « Biodiversité marine et économie » de RespectOcean à destination des entreprises
Fondée par la navigatrice et scientifique Raphaëla Le Gouvello, RespectOcean est une association Loi de 1901 qui regroupe des acteurs et des entreprises engagés pour un développement économique durable en faveur de la protection et de la préservation de l’océan, des littoraux et de leur écosystème. Le projet de l’association s’articule autour de l’idée que développement économique et protection de l’océan sont conciliables
L’association fédère près de 70 acteurs économiques et associatifs (juillet 2021).
RespectOcean souhaite favoriser la meilleure prise en compte des enjeux liés à la biodiversité marine et côtière par le monde économique et accélérer ainsi la prise de conscience.
La Fondation ENGIE soutient le programme “Biodiversité marine et économie” en lien avec les Objectifs du Développement Durable des Nations-Unies, dans le cadre de “Partenaire engagé pour la Nature”.
– Structuration d’un comité d’experts
– Création d’un Club d’entreprises et animations de groupes de travail thématiques
– Création d’outils et de recueils pour une meilleure prise en compte de la biodiversité marine.
Objectifs :
- Encourager et reconnaître les entreprises, les territoires et les partenaires qui s’engagent en faveur de la biodiversité marine et côtière.
- Dialoguer avec les acteurs économiques et faire connaître les initiatives qui permettent un développement économique préservant la biodiversité.
- Présence de RespectOcean au sein d’instances variées pour porter la voix originale d’une initiative collective
La Fondation accompagne Earthship Sisters pour le leadership environnemental au féminin
Créé par Deborah Pardo, exploratrice et scientifique, la raison d’être d’Earthship Sisters est de permettre d’entreprendre au service de l’environnement grâce à des expériences transformatrices connectées à la nature, sublimées par le féminin et la puissance du collectif.
L’objectif : accompagner chaque année 18 femmes afin de les aider à développer leur leadership à travers l’accomplissement de projets professionnels tournés vers la protection de l’environnement.
La fondation accompagne EarthshipSister pour :
- La sensibilisation de 1500 élèves de primaire et collège au leadership féminin et à la biodiversité marine
- Le soutien des 2 promotions 31 femmes avec 31 projets de transition environnementale
Remise du Prix Fondation ENGIE Talents de la Recherche au Musée de l’Homme le 4 septembre à 13h30
Favoriser la recherche sur le climat, encourager les chercheurs du Musée de l’Homme ont été au cœur de la création de ces prix.
Ce prix, créé en 2018 par la Fondation ENGIE et le Muséum national d’Histoire naturelle, récompense chaque année des projets de recherche interdisciplinaires et innovants sur les liens qu’entretiennent les sociétés passées et présentes avec leur environnement.
Les lauréats bénéficient d’une bourse destinée à financer leurs travaux de recherche.
En 2021, trois équipes de chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle ont été sélectionnées par le jury et un prix spécial d’encouragement a été attribué à une quatrième équipe de chercheurs. Il s’agit de la 4ème édition.
Leurs travaux étudient l’impact de l’environnement et des changements climatiques sur des périodes et des territoires variés.
POUR SUIVRE LA REMISE DES PRIX
Sensibiliser les plus jeunes en coopération avec la Fondation Saint Exupéry
La Fondation ENGIE accompagne les actions de sensibilisation des jeunes à l’environnement durant le congres
- Remise des Prix du Concours Na Nature Mon Environnement de Nous Les Ambitieuses ! organisé lors des Vacances apprenantes initiées par Jean-Michel Blanquer, Ministre de l’Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports.
Nous Les Ambitieuses ! a proposé aux élèves de CP à la terminale un concours d’écriture ou de dessin.
- A l’occasion de l’UICN Marseille 2021 « Nous les ambitieuses ! » lance avec « PifLeMag » un grand concours « Objectif Biodiversité » jusqu’au 15 novembre 2021.
Chaque participant est invité à publier une photo et une vidéo de la biodiversité qui l’entoure, sur Instagram et/ou TikTok en mentionnant les Instagram @nouslesambitieuses et @piflemag avec le #PifplaneteNLA.
Les 100 meilleurs clichés et les 100 plus belles vidéos seront sélectionnés puis soumis à un vote des lecteurs de pif le mag.
Ces 200 participants gagneront des magazines et des figurines de Pif et ses amis. Les 3 meilleurs de chacune des catégories seront publiés dans le pif le Mag de noël et remporteront une surprise.
L'été solidaire de la Fondation ENGIE
Offrir à 2 500 bénéficiaires des activités culturelles ou récréatives au mois de juillet et août
En collaboration avec les partenaires du secteur associatif et des instances culturelles de la Fondation ENGIE, des ateliers découvertes, des visites au musée ainsi qu’une journée au vert ont été organisées pour des jeunes débordants d’énergie !
Plus de 1 300 personnes du monde associatif et du milieu hospitalier invitées au Palais Garnier le 14 juillet
L’Opéra national de Paris et la Fondation ENGIE ont souhaité rendre hommage au monde associatif et au personnel hospitalier fortement mobilisés depuis des mois en les invitant à une représentation exceptionnelle du Spectacle « Jeunes Danseurs » au Palais Garnier.
La Fondation ENGIE a ainsi souhaité inviter à cette occasion en famille les publics aidés par ses partenaires : l’association Solidarité avec les soignants créée par Anne Roumanoff, la Voix de l’Enfant, K d’Urgences, l’Institut de l’Engagement et le Chaînon manquant, des acteurs avec qui elle a œuvré au cœur des territoires pour l’urgence et la solidarité.
ORIGAMI FOR LIFE au Mucem
Après le Palais de Tokyo, la forêt ORIGAMI FOR LIFE de Charles Kaisin a été installée au Mucem du 6 juin au 11 septembre.
Un arbre Marseillais a été créé grâce à la participation des marseillais : 10 000 origamis ont été collectés au profit du Bureau des Guides pour un projet de balade patrimoniale pour les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Bravo aux marseillais pour leur créativité.
Durant tout l’été, la Fondation Culturespaces et la Fondation ENGIE ont continué d’agir ensemble pour l’accès des enfants à la culture
Avec les « Rendez-vous artistiques à l’Hôpital » de la Fondation Culturespaces : médiations culturelles et artistiques au chevet des enfants hospitalisés à Necker durant les mois de juillet et aout. Lorsque la santé des enfants le permet, une visite est organisée sur les sites culturels avec leurs familles et leurs fratries pour découvrir des expositions.
Du 9 au 18 août, 20 enfants et leurs familles hébergés en urgence par le Samu social de Paris participent au programme Art en immersion : des ateliers pédagogiques et créatifs pour préparer et enrichir la plongée dans l’univers de Dali à l’Atelier des Lumières ! Des moments de partages artistiques qui donnent le goût des vacances !
Christine Kelly et les jeunes de l’association EDT VA’A
Christine Kelly, administratrice de la Fondation ENGIE, a rencontré les jeunes de l’association EDT VA’A qui participent aux programmes pédagogiques autour de la pratique de la pirogue, sensibilisation à la biodiversité à Tahiti avec EDT ENGIE. Merci Christine pour ces moments d’échanges.
Rencontre des jeunes avec la nature
À l’occasion des vacances apprenantes, Nous Les Ambitieuses a lancé le concours «MA NATURE, MON ENVIRONNEMENT» dont l’objectif est de mettre en lumière par l’écriture ou le dessin la rencontre des jeunes avec la nature. RDV au Congrès mondial de la nature de l’UICN pour les résultats !
Le 2 août, la Fondation avec Nous Les Ambitieuses a organisé une journée au Mucem pour 30 jeunes de l’association Synergie Family avec visite d’expos, d’ORIGAMI FOR LIFE de Charles Kaisin et ateliers dans le cadre du concours « Ma Nature Mon Environnement ».
3 journées découvertes pour 120 jeunes de Fête le Mur Stains
120 jeunes de Fête le Mur ont été accueillis par nos partenaires pour 3 journées à Paris avec visite de la Grande Galerie du Muséum d’histoire Naturelle et de la ménagerie du Jardin des Plantes, mais aussi découverte de l’Histoire de Paris au Musée Carnavalet et des œuvres de Dali à l’Atelier des Lumières.
"Un pas vers la mer" avec Marseille Capitale de la Mer
Durant l’été, 150 petits marseillais ont appris à nager grâce à l’action « Un Pas Vers La Mer » mise en place par Marseille Capitale de la Mer avec le soutien de la Fondation ENGIE.
En Belgique
Workshops origamis aux Musées Royaux des Beaux-Arts pour des enfants bruxellois
Grâce au soutien de la Fondation ENGIE, pas moins de 200 enfants des centres aérés bruxellois se sont rendus aux Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique durant la période estivale. Au programme : visite du musée et création d’origamis dans le cadre de l’exposition de l’œuvre Origami For Life de l’artiste Charles Kaisin. Seize groupes de 10-15 enfants de moins de 12 ans ont ainsi pu découvrir l’œuvre majestueuse du créateur belge.
Visite de l'expo Raveel à BOZAR pour les 5 jeunes de l'asbl Calame
Le 14 juillet, un groupe d’adolescents de l’association Calame a fait la visite de l’expo Roger Raveel à BOZAR. Cette expo retrace le long parcours artistique de l’artiste flamand mêlant l’art figuratif et abstrait, avec son propre environnement comme principale source d’inspiration. Cette visite cadrait parfaitement avec la volonté de l’asbl d’offrir à ses jeunes un soutien scolaire et une ouverture à la citoyenneté et à la vie culturelle.
5 workshops créatifs au S.M.A.K à Gand pour des jeunes primo-arrivants
Grâce à notre partenariat culturel avec le musée d’art moderne le S.M.A.K. à Gand, 5 sessions créatives ont été organisées pour des jeunes primo-arrivants. Ces jeunes, entre 17 et 19 ans, ont visité l’exposition « De Kleine Catalogus » pour ensuite se lancer eux-mêmes dans des ateliers de créations artistiques. Une façon de leur permettre de s’inclure dans la vie sociale belge, de se rapprocher de l’art contemporain et du néerlandais.
Journée aux barrages de l’Eau d’Heure pour de petits carolos placés par le juge
L’été solidaire belge s’est clôturé par une journée récréative organisée en collaboration avec notre partenaire, la Fondation Papillon. Près de 200 enfants de 0 à 18 ans placés en institution ont ainsi participé à cette journée inhabituelle aux Lacs de l’Eau d’Heure (Hainaut). Au programme : carrousels, châteaux gonflables, pêche aux canards, grimages, spectacle de rapaces, barbecue géant. Cette journée représente une bulle d’air pour tous ces jeunes, à quelques jours de leur rentrée scolaire.
Friendship : inauguration du 1er village solaire à Goynar Potol (Bangladesh) avec le soutien de la Fondation ENGIE
Depuis 2011 avec le soutien de la Fondation ENGIE et d’Energy Assistance France, l’ONG Friendship développe un projet d’électrification rurale durable pour les villages retirés du Bangladesh. Un projet en 5 phases qui prend de l’ampleur cette année avec le déploiement du 1er village solaire sur l’île de Goynar Potol inauguré dimanche 22 août. Focus sur ce programme transverse mêlant accès à l’énergie, insertion pour l’enfance et la jeunesse et accès à l’emploi !
Malgré la crise sanitaire et les aléas climatiques (cyclone, tempête, inondations) les bénévoles de Friendship et d’Energy Assistance France ont réussi leur pari : le village solaire pilote de Goynar Potol est inauguré ce dimanche amenant énergie et espoir aux populations locales. Un projet pionnier et innovant, mais surtout une aventure humaine technique et sociale résultant de 10 années de partenariat entre la Fondation ENGIE et l’ONG Friendship.
Le village solaire de Goynar Potol
Malgré la crise sanitaire et les aléas climatiques (cyclone, tempête, inondations) les bénévoles de Friendship et d’Energy Assistance France ont réussi leur pari : le village solaire pilote de Goynar Potol est inauguré ce dimanche amenant énergie et espoir aux populations locales. Un projet pionnier et innovant, mais surtout une aventure humaine technique et sociale résultant de 10 années de partenariat entre la Fondation ENGIE et l’ONG Friendship.
Le projet consiste en l’installation d’un champ de panneaux solaires photovoltaïques et de batteries pour alimenter en électricité propre et durable 150 ménages, un marché local de 22 commerçants et une école primaire. L’électricité produite permet aux habitants d’accéder à la santé, à l’éducation et à la sécurité. Elle constitue une merveilleuse opportunité et une source d’espoir pour ces communautés déshéritées et oubliées du Brahmapoutre.
Cette solution d’électrification des chars est facilement reproductible en raison de sa petite échelle, de sa capacité et de ses procédures de démontage en cas d’urgence.
Le village solaire en chiffres
- 3 000 habitants de Goynar Potol ont désormais accès à l’électricité
- 53 kWc d’électricité produite par les panneaux solaires et stockée dans des batteries
- 200 panneaux solaires et 200 batteries installées
IMPACTS
- Grâce à l’électricité produite et stockée, chaque ménage pourra faire fonctionner tous les jours des lampes, des ventilateurs, un téléviseur ou encore un chargeur de téléphone portable.
- La lumière apporte la sécurité la nuit et permet l’accès à la santé
- Les boutiques pourront rester ouvertes le soir et générer de nouveaux revenus pour les commerçants
- Les enfants peuvent étudier le soir et suivre les leçons diffusées à la télévision
- Accès à l’emploi grâce à la formation de techniciens para-solaires à l’utilisation et l’entretien des panneaux solaires
Revivez l’installation du village solaire en vidéo !
Friendship et la Fondation ENGIE, un partenariat sur le long terme
Partenaires depuis plus de 10 ans, la Fondation ENGIE, Energy Assistance et l’ONG Friendship ont amorcé ce projet d’électrification rurale en 2011. Objectif ? Apporter l’électricité grâce à l’installation de panneaux solaires (Solar Home Systems) dans les villages isolés du Brahmapoutre et pérenniser ces installations grâce à la formation de techniciens para-solaires locaux (Para-Solar Technicians). L’énergie produite est fiable, durable et remplace la lampe à kérosène pour un coût accessible aux familles.
Ainsi, grâce au soutien à long terme et l’accompagnement total & innovant de la Fondation ENGIE, c’est la vie de plus de 545 000 habitants des îles inondables du Brahmapoutre qui a été transformée.
Les « déshérités parmi les déshérités » disposent maintenant d’électricité pour alimenter quelques ampoules, un ventilateur ou un chargeur de téléphone. Ce n’est presque rien… mais les impacts sur la santé, l’éducation et l’économie locale sont énormes !
De nombreux effets bénéfiques ont déjà été constatés dans les villages, notamment en matière d’éducation. Avec l’arrivée de l’électricité et donc la possibilité de travailler le soir, une nette amélioration des résultats scolaires a été constatée : 98,2 % des élèves ont obtenu les notes de A et A- à l’examen national de fin d’études). Ces élèves bénéficient de cours pré enregistrés sur écrans vidéos et ont accès à des professeurs reconnus grâce à l’énergie des panneaux solaires et les salles informatiques mises à disposition.
Avec ce programme, la Fondation ENGIE contribue à répondre à l’objectif de développement durable 7 (ODD 7), défini par l’ONU dans le cadre de son Agenda 2030 : « Garantir l’accès à tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable » en développant des solutions hors réseaux propres et durables.
Avec ce programme, la Fondation ENGIE accompagne depuis 10 ans Friendship pour ses programmes d’accès à l’énergie et d’éducation et fait vivre la raison d’être d’ENGIE : agir pour accélérer la transition vers une économie neutre en carbone, par des solutions plus sobres en énergie et plus respectueuses de l’environnement.
Aller plus loin...
Vous souhaitez en savoir plus sur ce programme ? Découvrez l’interview de Runa Kahn, mais aussi des témoignages de bénéficiaires et d’autres informations sur le village solaire de Goynar Potol en cliquant sur le bouton ci-dessous.
1ere journée du P'tit Fêtelemurien à Bar-le-Duc
Samedi dernier a eu lieu à Bar-le-Duc la première journée du P’tit Fêtelemurien, une nouvelle action du programme Enfance de Fête le Mur soutenu par la Fondation ENGIE
La journée du P’tit Fêtelemurien est destinée aux enfants de 6-11ans qui jouent depuis peu avec Fête le Mur. Elle regroupe une vingtaine d’enfants au maximum sur une implantation et vise à leur présenter l’association, ses valeurs, et le parcours du Fêtelemurien qui leur sera proposé par la suite.
Elle a pour vocation d’introduire auprès des enfants, avec des activités ludiques, les programmes éducatifs qu’ils approfondiront par la suite : l’arbitrage, l’école de ramasseurs de balles, la compétition éducative et l’éducation alimentaire.
Cette rencontre vise à fédérer les petits Fêtelemuriens, à cultiver chez eux le sentiment d’appartenance à l’association, puis à les diriger ensuite vers les programmes éducatifs de Fête le Mur.
Elle permet aussi d’informer les parents et de les associer au parcours éducatif et d’insertion qui sera proposé à leur enfant dans les années qui suivent.
A propos de Fête Le Mur
Créée par Yannick Noah il y a plus de 20 ans, l’association Fête le Mur permet aux enfants des cités de pratiquer le tennis, au cœur même de leur quartier, encadrés par des professionnels et des entraîneurs de tennis diplômés.
Aujourd’hui, Fête le Mur est présente dans 11 régions, 59 villes et 116 quartiers prioritaires dans l’hexagone et en outre-mer. 7000 jeunes y pratiquent le tennis dont plus 2800 ont intégré un de ses programmes spécifiques d’éducation et d’insertion (Tous sur le court !, De l’Autre côté du Mur, Ecole d’Arbitrage et de ramasseurs, Jeu, Set et Job, de l’Autre côté du Mur,…).
Plus de 1 300 personnes du monde associatif et du milieu hospitalier invités au Palais Garnier le 14 juillet
L’Opéra national de Paris et la Fondation ENGIE souhaitent rendre hommage au monde associatif et at personnel hospitalier fortement mobilisés depuis des mois en les invitant à une représentation exceptionnelle du Spectacle « Jeunes Danseurs » au Palais Garnier : ce spectacle est l’occasion pour de jeunes danseuses et danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris de briller sur la scène du Palais Garnier dans des rôles traditionnellement dansés par les Étoiles. Pour cette nouvelle édition, la génération montante du Ballet interprète tour à tour des extraits de grands classiques (Noureev, Bournonville, Vainonen) et des pas de deux de chorégraphies contemporaines qui font leur entrée au répertoire (Preljocaj, Øyen, Wheeldon, Favier, Brumachon).
Cette représentation du 14 juillet est réservée aux soignants, et à des personnes invitées par des associations caritatives.
Accès à la culture pour les plus démunis, aide à l’enfance sont au cœur de l’engagement de la Fondation ENGIE et de son soutien à l’Opéra de Paris. Mécène fondateur de l’Académie de l’Opéra et de la représentation du 14 juillet de l’Opéra pour les publics éloignés de la culture, la Fondation ENGIE a souhaité cette année rendre un hommage particulier avec l’Opéra aux soignants et aux publics fragilisés par la crise.
La Fondation ENGIE a ainsi souhaité inviter à cette occasion en famille les publics aidés par ses partenaires : l’association Solidarité avec les soignants créée par Anne Roumanoff, la Voix de l’Enfant, K d’Urgences, l’Institut de l’Engagement et le Chainon manquant, des acteurs avec qui elle a œuvré au cœur des territoires pour l’urgence et la solidarité.
La Fondation ENGIE soutient cette belle initiative dans le cadre de son programme « ETE SOLIDAIRE » qui accompagne le monde associatif en France et en Belgique avec différentes opérations pour lutter contre les inégalités au cœur des territoires.