L'été solidaire de la Fondation ENGIE

Offrir à 2 500 bénéficiaires des activités culturelles ou récréatives au mois de juillet et août

En collaboration avec les partenaires du secteur associatif et des instances culturelles de la Fondation ENGIE, des ateliers découvertes, des visites au musée ainsi qu’une journée au vert ont été organisées pour des jeunes débordants d’énergie !

Plus de 1 300 personnes du monde associatif et du milieu hospitalier invitées au Palais Garnier le 14 juillet

L’Opéra national de Paris et la Fondation ENGIE ont souhaité rendre hommage au monde associatif et au personnel hospitalier fortement mobilisés depuis des mois en les invitant à une représentation exceptionnelle du Spectacle « Jeunes Danseurs »  au Palais Garnier.

La Fondation ENGIE a ainsi souhaité inviter à cette occasion en famille les publics aidés par ses partenaires : l’association Solidarité avec les soignants créée par Anne Roumanoff, la Voix de l’Enfant, K d’Urgences, l’Institut de l’Engagement et le Chaînon manquant, des acteurs avec qui elle a œuvré au cœur des territoires pour l’urgence et la solidarité.

ORIGAMI FOR LIFE au Mucem

Après le Palais de Tokyo, la forêt ORIGAMI FOR LIFE de Charles Kaisin a été installée au Mucem du 6 juin au 11 septembre.

Un arbre Marseillais a été créé grâce à la participation des marseillais : 10 000 origamis ont été collectés au profit du Bureau des Guides pour un projet de balade patrimoniale pour les quartiers prioritaires de la politique de la ville. Bravo aux marseillais pour leur créativité.

Durant tout l’été, la Fondation Culturespaces et la Fondation ENGIE ont continué d’agir ensemble pour l’accès des enfants à la culture

Avec les « Rendez-vous artistiques à l’Hôpital » de la Fondation Culturespaces : médiations culturelles et artistiques au chevet des enfants hospitalisés à Necker durant les mois de juillet et aout. Lorsque la santé des enfants le permet, une visite est organisée sur les sites culturels avec leurs familles et leurs fratries pour découvrir des expositions.

Du 9 au 18 août, 20 enfants et leurs familles hébergés en urgence par le Samu social de Paris participent au programme Art en immersion : des ateliers pédagogiques et créatifs pour préparer et enrichir la plongée dans l’univers de Dali à l’Atelier des Lumières ! Des moments de partages artistiques qui donnent le goût des vacances !

Christine Kelly et les jeunes de l’association EDT VA’A

Christine Kelly, administratrice de la Fondation ENGIE, a rencontré  les jeunes de l’association EDT VA’A qui participent aux programmes pédagogiques autour de la pratique de la pirogue, sensibilisation à la biodiversité à Tahiti avec EDT ENGIE. Merci Christine pour ces moments d’échanges.

Rencontre des jeunes avec la nature

À l’occasion des vacances apprenantes, Nous Les Ambitieuses a lancé le concours «MA NATURE, MON ENVIRONNEMENT» dont l’objectif est de mettre en lumière par l’écriture ou le dessin la rencontre des jeunes avec la nature. RDV au Congrès mondial de la nature de l’UICN pour les résultats !

Le 2 août, la Fondation avec Nous Les Ambitieuses a organisé une journée au Mucem pour 30 jeunes de l’association Synergie Family avec visite d’expos, d’ORIGAMI FOR LIFE de Charles Kaisin et ateliers dans le cadre du concours « Ma Nature Mon Environnement ».

3 journées découvertes pour 120 jeunes de Fête le Mur Stains

120 jeunes de Fête le Mur ont été accueillis par nos partenaires pour 3 journées à Paris avec visite de la Grande Galerie du Muséum d’histoire Naturelle et de la ménagerie du Jardin des Plantes, mais aussi découverte de l’Histoire de Paris au Musée Carnavalet et des œuvres de Dali à l’Atelier des Lumières.

"Un pas vers la mer" avec Marseille Capitale de la Mer

Durant l’été, 150 petits marseillais ont appris à nager grâce à l’action « Un Pas Vers La Mer » mise en place par Marseille Capitale de la Mer avec le soutien de la Fondation ENGIE.

En Belgique

Workshops origamis aux Musées Royaux des Beaux-Arts pour des enfants bruxellois

Grâce au soutien de la Fondation ENGIE, pas moins de 200 enfants des centres aérés bruxellois se sont rendus aux Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique durant la période estivale. Au programme : visite du musée et création d’origamis dans le cadre de l’exposition de l’œuvre Origami For Life de l’artiste Charles Kaisin. Seize groupes de 10-15 enfants de moins de 12 ans ont ainsi pu découvrir l’œuvre majestueuse du créateur belge.

Visite de l'expo Raveel à BOZAR pour les 5 jeunes de l'asbl Calame

Le 14 juillet, un groupe d’adolescents de l’association Calame a fait la visite de l’expo Roger Raveel à BOZAR. Cette expo retrace le long parcours artistique de l’artiste flamand mêlant l’art figuratif et abstrait, avec son propre environnement comme principale source d’inspiration. Cette visite cadrait parfaitement avec la volonté de l’asbl d’offrir à ses jeunes un soutien scolaire et une ouverture à la citoyenneté et à la vie culturelle.

5 workshops créatifs au S.M.A.K à Gand pour des jeunes primo-arrivants

Grâce à notre partenariat culturel avec le musée d’art moderne le S.M.A.K. à Gand, 5 sessions créatives ont été organisées pour des jeunes primo-arrivants. Ces jeunes, entre 17 et 19 ans, ont visité l’exposition « De Kleine Catalogus » pour ensuite se lancer eux-mêmes dans des ateliers de créations artistiques. Une façon de leur permettre de s’inclure dans la vie sociale belge, de se rapprocher de l’art contemporain et du néerlandais.

Journée aux barrages de l’Eau d’Heure pour de petits carolos placés par le juge

L’été solidaire belge s’est clôturé par une journée récréative organisée en collaboration avec notre partenaire, la Fondation Papillon. Près de 200 enfants de 0 à 18 ans placés en institution ont ainsi participé à cette journée inhabituelle aux Lacs de l’Eau d’Heure (Hainaut). Au programme : carrousels, châteaux gonflables, pêche aux canards, grimages, spectacle de rapaces, barbecue géant. Cette journée représente une bulle d’air pour tous ces jeunes, à quelques jours de leur rentrée scolaire.


Friendship : inauguration du 1er village solaire à Goynar Potol (Bangladesh) avec le soutien de la Fondation ENGIE

Depuis 2011 avec le soutien de la Fondation ENGIE et d’Energy Assistance France, l’ONG Friendship développe un projet d’électrification rurale durable pour les villages retirés du Bangladesh. Un projet en 5 phases qui prend de l’ampleur cette année avec le déploiement du 1er village solaire sur l’île de Goynar Potol inauguré dimanche 22 août. Focus sur ce programme transverse mêlant accès à l’énergie, insertion pour l’enfance et la jeunesse et accès à l’emploi !

Malgré la crise sanitaire et les aléas climatiques (cyclone, tempête, inondations) les bénévoles de Friendship et d’Energy Assistance France ont réussi leur pari : le village solaire pilote de Goynar Potol est inauguré ce dimanche amenant énergie et espoir aux populations locales. Un projet pionnier et innovant, mais surtout une aventure humaine technique et sociale résultant de 10 années de partenariat entre la Fondation ENGIE et l’ONG Friendship.


Le village solaire de Goynar Potol

Malgré la crise sanitaire et les aléas climatiques (cyclone, tempête, inondations) les bénévoles de Friendship et d’Energy Assistance France ont réussi leur pari : le village solaire pilote de Goynar Potol est inauguré ce dimanche amenant énergie et espoir aux populations locales. Un projet pionnier et innovant, mais surtout une aventure humaine technique et sociale résultant de 10 années de partenariat entre la Fondation ENGIE et l’ONG Friendship.

Le projet consiste en l’installation d’un champ de panneaux solaires photovoltaïques et de batteries pour alimenter en électricité propre et durable 150 ménages, un marché local de 22 commerçants et une école primaire. L’électricité produite permet aux habitants d’accéder à la santé, à l’éducation et à la sécurité. Elle constitue une merveilleuse opportunité et une source d’espoir pour ces communautés déshéritées et oubliées du Brahmapoutre.

Cette solution d’électrification des chars est facilement reproductible en raison de sa petite échelle, de sa capacité et de ses procédures de démontage en cas d’urgence.

Le village solaire en chiffres

  • 3 000 habitants de Goynar Potol ont désormais accès à l’électricité
  • 53 kWc d’électricité produite par les panneaux solaires et stockée dans des batteries
  • 200 panneaux solaires et 200 batteries installées

IMPACTS

  • Grâce à l’électricité produite et stockée, chaque ménage pourra faire fonctionner tous les jours des lampes, des ventilateurs, un téléviseur ou encore un chargeur de téléphone portable.
  • La lumière apporte la sécurité la nuit et permet l’accès à la santé
  • Les boutiques pourront rester ouvertes le soir et générer de nouveaux revenus pour les commerçants
  • Les enfants peuvent étudier le soir et suivre les leçons diffusées à la télévision
  • Accès à l’emploi grâce à la formation de techniciens para-solaires à l’utilisation et l’entretien des panneaux solaires

Voir le communiqué de presse

Revivez l’installation du village solaire en vidéo !


Friendship et la Fondation ENGIE, un partenariat sur le long terme

Partenaires depuis plus de 10 ans, la Fondation ENGIE, Energy Assistance et l’ONG Friendship ont amorcé ce projet d’électrification rurale en 2011. Objectif ? Apporter l’électricité grâce à l’installation de panneaux solaires (Solar Home Systems) dans les villages isolés du Brahmapoutre et pérenniser ces installations grâce à la formation de techniciens para-solaires locaux (Para-Solar Technicians). L’énergie produite est fiable, durable et remplace la lampe à kérosène pour un coût accessible aux familles.

Ainsi, grâce au soutien à long terme et l’accompagnement total & innovant de la Fondation ENGIE, c’est la vie de plus de 545 000 habitants des îles inondables du Brahmapoutre qui a été transformée.

Les « déshérités parmi les déshérités » disposent maintenant d’électricité pour alimenter quelques ampoules, un ventilateur ou un chargeur de téléphone. Ce n’est presque rien… mais les impacts sur la santé, l’éducation et l’économie locale sont énormes !

De nombreux effets bénéfiques ont déjà été constatés dans les villages, notamment en matière d’éducation. Avec l’arrivée de l’électricité et donc la possibilité de travailler le soir, une nette amélioration des résultats scolaires a été constatée : 98,2 % des élèves ont obtenu les notes de A et A- à l’examen national de fin d’études). Ces élèves bénéficient de cours pré enregistrés sur écrans vidéos et ont accès à des professeurs reconnus grâce à l’énergie des panneaux solaires et les salles informatiques mises à disposition.

Avec ce programme, la Fondation ENGIE contribue à répondre à l’objectif de développement durable 7 (ODD 7), défini par l’ONU dans le cadre de son Agenda 2030 : « Garantir l’accès à tous à des services énergétiques fiables, durables et modernes, à un coût abordable » en développant des solutions hors réseaux propres et durables.

Avec ce programme, la Fondation ENGIE accompagne depuis 10 ans Friendship pour ses programmes d’accès à l’énergie et d’éducation et fait vivre la raison d’être d’ENGIE : agir pour accélérer la transition vers une économie neutre en carbone, par des solutions plus sobres en énergie et plus respectueuses de l’environnement.

Aller plus loin...

Vous souhaitez en savoir plus sur ce programme ? Découvrez l’interview de Runa Kahn, mais aussi des témoignages de bénéficiaires et d’autres informations sur le village solaire de Goynar Potol en cliquant sur le bouton ci-dessous.

En savoir plus

1ere journée du P'tit Fêtelemurien à Bar-le-Duc

Samedi dernier a eu lieu à Bar-le-Duc la première journée du P’tit Fêtelemurien, une nouvelle action du programme Enfance de Fête le Mur soutenu par la Fondation ENGIE

La journée du P’tit Fêtelemurien est destinée aux enfants de 6-11ans qui jouent depuis peu avec Fête le Mur. Elle regroupe une vingtaine d’enfants au maximum sur une implantation et vise à leur présenter l’association, ses valeurs, et le parcours du Fêtelemurien qui leur sera proposé par la suite.

Elle a pour vocation d’introduire auprès des enfants, avec des activités ludiques, les programmes éducatifs qu’ils approfondiront par la suite : l’arbitrage, l’école de ramasseurs de balles, la compétition éducative et l’éducation alimentaire.

Cette rencontre vise à fédérer les petits Fêtelemuriens, à cultiver chez eux le sentiment d’appartenance à l’association, puis à les diriger ensuite vers les programmes éducatifs de Fête le Mur.

Elle permet aussi d’informer les parents et de les associer au parcours éducatif et d’insertion qui sera proposé à leur enfant dans les années qui suivent.

A propos de Fête Le Mur

Créée par Yannick Noah il y a plus de 20 ans, l’association Fête le Mur permet aux enfants des cités de pratiquer le tennis, au cœur même de leur quartier, encadrés par des professionnels et des entraîneurs de tennis diplômés.

Aujourd’hui, Fête le Mur est présente dans 11 régions59 villes et 116 quartiers prioritaires dans l’hexagone et en outre-mer. 7000 jeunes y pratiquent le tennis dont plus 2800 ont intégré un de ses programmes spécifiques d’éducation et d’insertion (Tous sur le court !, De l’Autre côté du Mur, Ecole d’Arbitrage et de ramasseurs, Jeu, Set et Job, de l’Autre côté du Mur,…).


Plus de 1 300 personnes du monde associatif et du milieu hospitalier invités au Palais Garnier le 14 juillet

L’Opéra national de Paris et la Fondation ENGIE souhaitent rendre hommage au monde associatif et at personnel hospitalier fortement mobilisés depuis des mois  en les invitant à une représentation exceptionnelle du Spectacle « Jeunes Danseurs »  au Palais Garnier : ce spectacle est l’occasion pour de jeunes danseuses et danseurs du Ballet de l’Opéra de Paris de briller sur la scène du Palais Garnier dans des rôles traditionnellement dansés par les Étoiles. Pour cette nouvelle édition, la génération montante du Ballet interprète tour à tour des extraits de grands classiques (Noureev, Bournonville, Vainonen) et des pas de deux de chorégraphies contemporaines qui font leur entrée au répertoire (Preljocaj, Øyen, Wheeldon, Favier, Brumachon).

Cette représentation du 14 juillet est réservée aux soignants, et  à des personnes invitées par des associations caritatives.

Accès à la culture pour les plus démunis, aide à l’enfance sont au cœur de l’engagement de la Fondation ENGIE et de son soutien à l’Opéra de Paris. Mécène fondateur de l’Académie de l’Opéra et de la représentation du 14 juillet de l’Opéra pour les publics éloignés de la culture, la Fondation ENGIE a souhaité cette année rendre un hommage particulier avec l’Opéra aux soignants et aux publics fragilisés par la crise.

La Fondation ENGIE a ainsi souhaité inviter à cette occasion en famille les publics aidés par ses partenaires :  l’association Solidarité avec les  soignants créée par Anne Roumanoff, la Voix de l’Enfant, K d’Urgences, l’Institut de l’Engagement et le Chainon manquant, des acteurs avec qui elle a œuvré au cœur des territoires pour l’urgence et la solidarité.

La Fondation ENGIE soutient cette belle initiative dans le cadre de son programme « ETE SOLIDAIRE » qui accompagne le monde associatif en France et en Belgique avec différentes opérations pour lutter contre les inégalités au cœur des territoires.


Les jardins de pluie de la Cité internationale universitaire de Paris

La journée mondiale de l’environnement, le 5 juin, vise à défendre la diversité biologique de la faune et flore, notamment par l’utilisation durable des ressources naturelles.

Cette journée est l’occasion pour la Fondation de valoriser ses partenariats et sensibiliser le grand public à la protection de nos écosystèmes.

Dans le cadre d’un projet global d’œuvre paysagère urbaine et architecturale de l’aménagement de son Parc, la Cité Internationale Universitaire de Paris a réalisé notamment 4 jardins de pluie.

Partie prenante du projet de développement de la Cité internationale « Cité2025 », ils contribuent à diversifier les milieux et les espèces au sein du parc.

La Fondation a souhaité s’associer à ce projet de création de jardins dans le cadre de son programme en faveur de la préservation de la biodiversité et de sa volonté d’être un acteur engagé et responsable pour protéger notre environnement.


Les jardins de pluie

Ces jardins de pluie collectent les eaux de ruissellement des allées et plus largement de l’ensemble des revêtements perméables et semi-perméables nouvellement créés, via des avaloirs les dirigeant vers la zone la plus en creux des jardins.

Sur un plan écologique, ces zones humides permettent de créer un nouveau biotope dans lequel la faune, les plantes hygrophiles et les micro-organismes peuvent vivre en interdépendance.

De plus elles présentent aussi un intérêt pédagogique puisqu’elles permettent de sensibiliser les résidents et les promeneurs au fonctionnement de leur écosystème, et plus largement au dispositif de la « trame verte et bleue », introduite par le Grenelle de l’environnement en 1992.

Enfin, elles s’intègrent harmonieusement dans le parc, tout en proposant une esthétique paysagère contemporaine.


Lancement du bus "Destination MUCEM"

Afin de s’engager pour l’accessibilité universelle du musée et notamment en faveur d’une plus grande diversité des publics, le Mucem expérimente un dispositif inédit de mobilité des publics éloignés des offres culturelles : la mise en place hebdomadaire, le dimanche, d’un bus gratuit depuis les quartiers excentrés, complétant l’offre de transport existante et permettant à de nouveaux publics de créer un lien privilégié avec le Mucem.


À la rencontre des non-publics et des publics éloignés

Ce dispositif s’inscrit dans la stratégie de diversification des publics portée par la musée depuis son ouverture et spécifiquement axée sur les non-publics en 2020-2021.

Dans la continuité des différents projets réalisation depuis 2013 en direction des publics dits du « champ social », Destination Mucem s’inscrit dans une démarche d’accompagnement vers l’autonomie de la pratique culturelle pour des personnes qui en sont éloignées.

Ce projet contribue principalement à lever plusieurs freins à la visité du musée : celui de la mobilité, mais aussi le frein économique et le frein symbolique à la visité du musée grâce à un accueil gratuit et une médiation adaptée.

Recoupant la géographie prioritaire de la politique de la ville, Destination Mucem s’adresse à des publics habitant dans des quartiers éloignés du centre-ville, aux limites Nord, Est et Sud de Marseille, qui sont par ce biais invités à s’approprier les espaces, les expositions et les thématiques du musée.

Destination Mucem contribue ainsi à rendre plus accessible l’équipement culturel du Mucem, à le rapprocher géographiquement mais aussi symboliquement de quartiers excentrés et de publics peu ou pas familiers de ce type de sortie culturelle.


Une médiation originale

À bord de ce bus gratuit, un accueil personnalisé et ludique prépare les participants à la découverte du Mucem dans une ambiance conviviale. Cette médiation permet d’échanger avec les passagers et est décliné pour des publics d’âges différents (jeunes publics, adolescents, familles, adultes, personnes âgées), contribuant à susciter l’envie et la curiosité des passagers vis-à-vis du musée.

Elle se termine à l’arrivée au Mucem, avec un passage de relais aux agents d’accueil du musée. En plus de recevoir un billet de visite des expositions, les participants seront invités, dans la limite des places disponibles, à découvrir l’offre de programmation et de médiation du musée grâce à un quota de places gratuites qui leur sera réservé chaque dimanche : visites guidées des expositions, séances de cinéma, ateliers pour les enfants, espace de découverte pour les familles…

Cette offre étant régulièrement renouvelée pour répondre à l’actualité du musée, Destination Mucem a donc vocation à fidéliser de nouveaux publics en les accompagnant dans la durée pour une réelle appropriation du musée, de se programmation, de ses rythmes, avec l’objectif à terme d’une pratique culturelle autonome.


Les 4 itinéraires et les principes de circulation

Pour le démarrage du projet, quatre itinéraires seront crées. Un travail de concertation avec la Métropole, la RTM et les acteurs du territoire permettra de les définir en ciblant des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

Afin de faciliter la visibilité du projet et l’identification des différents points d’arrêt, Destination Mucem prévoit que quelques arrêts puissent se faire sur des arrêts de bus existants, les autres seront liés à des structures bien identifiées sur des territoires comme les centres sociaux.

Sur l’abribus ou le poteau des arrêts choisis, une signalétique dédiée permettra de communiquer sur le projet, de donner les dates et horaires de passage (aller et retour).

En effet, pour les habitants des quartiers visés, dont certains peuvent rencontrer des réticences ou des difficultés pour sortir de leur quartier, l’idée serait de faciliter véritablement ce déplacement vers le musée, d’encourager une mobilité culturelle grâce à un transport en commun direct, sans changement, d’une durée d’1 heure maximum.

Cette offre de mobilité serait proposée tous les dimanches de l’année, d’une part en raison d’une potentielle plus grande disponibilité des publics, notamment des familles, sur cette journée et d’autre part parce que le Mucem a déjà l’expérience d’une offre plus accessible les dimanches, notamment avec la gratuité des premiers dimanches du mois.

Chaque itinéraire circulerait donc vers le Mucem une fois par mois, récurrence minimale pour que le projet puisse s’installer, et le Mucem accueillerait chaque dimanche les publics de quartiers différents, à raison de deux trajets allers le matin et deux trajets retours en fin d’après-midi.

Télécharger la présentation complète du projet

Réouverture du Musée Carnavalet

À l’issue de quatre années d’importants travaux de rénovation, le musée Carnavalet – Histoire de Paris rouvre ses portes samedi 29 mai 2021. Une véritable renaissance pour le plus ancien musée de la Ville de Paris, situé au coeur du Marais et riche de plus de 625 000 oeuvres.

La Fondation d’entreprise ENGIE est fière d’être un des grands mécènes de la rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris et tout particulièrement de son parcours pédagogique.

© Pierre Antoine

C’est une nouvelle page qui s’ouvre pour le plus ancien musée de la Ville de Paris et l’un des plus importants musées français. Prendre en compte la diversité des publics, favoriser l’accessibilité, innover pour favoriser l’accès de toutes et tous à la culture ont été au coeur du projet de réouverture de ce lieu emblématique de Paris.
Pour la première fois, 10% des oeuvres sont ainsi exposées à hauteur d’enfant. C’est une première en France dans un musée dans le cadre d’un accrochage de collections permanentes, une innovation qu’a soutenue tout particulièrement la Fondation ENGIE.

Le nouveau musée Carnavalet relève le défi de raconter l’Histoire de Paris sur 3 900 m2.
Tout en préservant le charme si particulier de ce musée installé au coeur du Marais historique, 3 800 oeuvres sont présentées dans une scénographie repensée. 60% des œuvres exposées étaient jusqu’ici conservées dans les réserves.
La rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris a permis de magnifier le bâtiment, de redécouvrir son architecture, d’améliorer l’accessibilité et de renouveler l’expérience du visiteur.

Les publics, placés au coeur de ce projet découvriront de nouveaux espaces de circulation accessibles à tous.

Pensé comme un voyage authentique dans le passé et le présent de Paris, le nouveau parcours, construit pour la première fois selon un fil chronologique continu, dévoile ses plus grands trésors historiques de la Préhistoire à nos jours. Peintures, sculptures, pièces de mobilier, boiseries, objets d’art, objets d’histoire et de mémoire, enseignes, photographies, dessins, estampes, affiches, maquettes, médailles, monnaies, collections d’archéologie,… retracent l’histoire de Paris de manière unique : à la fois historique, documentaire, sentimentale et proche des Parisiennes et des Parisiens.


Une accessibilité et une médiation pour tous les publics

Dès leur arrivée, les visiteurs profitent d’un accueil réaménagé conçu pour améliorer la capacité d’accueil du musée et offrir un meilleur confort, en privilégiant une circulation fluide et agréable, respectueuse du site.
L’accessibilité et la proximité avec les œuvres présentées ont également été améliorées. Le musée innove dans sa médiation en accrochant notamment 10% de l’ensemble des oeuvres à hauteur d’enfant tout au long du parcours.
Une démarche d’accessibilité universelle a été développée dans l’ensemble des collections permanentes, avec l’élaboration de dispositifs de médiation attractifs et ludiques favorisant la mixité des publics.
Enfin, le musée propose ponctuellement des dispositifs numériques interactifs (entretiens filmés, documentaires, films d’animation, espaces d’écoute, écrans interactifs) qui enrichissent la connaissance d’épisodes historiques parisiens majeurs.


La Fondation ENGIE partenaire du parcours pédagogique du musée Carnavalet - Histoire de Paris

Conçu comme un voyage authentique dans le passé et le présent de Paris, le parcours valorise les collections exceptionnelles du musée Carnavalet – Histoire de Paris pour les rendre accessibles à tous les publics et notamment aux personnes en situation de handicap avec des circulations adaptées (ascenseurs, élévateurs et rampes).

Une démarche d’accessibilité universelle a été développée dans l’ensemble du parcours permanent, avec l’élaboration de dispositifs de médiation attractifs et ludiques, favorisant la mixité des publics : différents textes de salles et cartels cohabitent afin de proposer un parcours commun avec plusieurs niveaux de lecture, où chacun peut choisir de consulter les informations qui l’intéresse. Dans cette optique, le musée Carnavalet – Histoire de Paris a choisi d’exposer 10% des oeuvres à hauteur d’enfant tout au long du parcours. Ce parti pris novateur dans la médiation a déjà été expérimenté dans le monde anglo-saxon ou dans certains musées d’Europe mais reste inédit en France pour un accrochage de collections permanentes.

Un parcours à hauteur d’enfant

Tout au long du parcours des collections, 10% des oeuvres – soit 380.- sont placées à hauteur d’enfant (120 cm pour les tableaux ou les photographies) avec une médiation adaptée.
L’accrochage à hauteur d’enfant tout au long du parcours favorise une visite intergénérationnelle et valorise l’expérience sensible et l’imagination.

Le musée Carnavalet – Histoire de Paris en quelques chiffres

  • 4 ans de chantier avec un budget de rénovation de 58 327 000 euros
  • Des collections riches de plus de 625 000 oeuvres couvrant plusieurs millénaires, de la Préhistoire à nos jours
  • Plus de 3 800 oeuvres exposées dont 10% à hauteur d’enfant
  • 3 900 m2 de surface d’exposition permanente dédiés à l’histoire de Paris et des Parisiens et Parisiennes en plein coeur de la capitale
  • 34 salles de décors
  • 360 m2 de surface d’exposition temporaire
  • 2 400 m2 de jardins et cours
  • 600 m2 destinés à un centre d’activités culturelles et de ressources historiques et documentaires


L’histoire du musée

Le musée Carnavalet est le plus ancien musée de la Ville de Paris. Né sous l’impulsion du préfet de la Seine Haussmann, il a ouvert au public le 25 février 1880 dans un hôtel particulier construit au milieu du 16e siècle et situé au coeur du Marais, l’un des quartiers de la capitale où le patrimoine architectural est particulièrement bien préservé.

Depuis 1880, l’extension du musée a été importante avec la construction de nouveaux bâtiments et l’annexion de l’hôtel particulier Le Peletier de Saint-Fargeau en 1989.
Aujourd’hui, l’architecture du musée offre une histoire de plus de 450 ans. Ses collections, enrichies depuis plus de 150 ans, retracent l’histoire de Paris, de la Préhistoire à nos jours.

Le site présente un intérêt patrimonial majeur qui a justifié sa protection au titre des Monuments Historiques depuis 1846 et du Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur du Marais depuis 1965.

C’est dans ce cadre historique exceptionnel, devenu accessible à tous, que le musée Carnavalet – Histoire de Paris ouvre ses portes aujourd’hui.
L’histoire du musée Carnavalet est à retrouver en intégralité sur : www.carnavalet.paris.fr/le-musee/lhistoire


Dates clés

  • 1548 – 1560 : Construction de l’hôtel particulier pour Jacques des Ligneris, président du Parlement de Paris
  • 1660 : L’hôtel est complété par le célèbre architecte François Mansart, qui surélève le porche de la façade sur l’actuelle rue de Sévigné
  • 1677 – 1696 : Madame de Sévigné et sa famille résident dans l’hôtel
  • 1688 : Pierre Bullet, architecte du Roi et de la Ville, construit l’hôtel Le Peletier Saint-Fargeau
  • 1866 : L’hôtel Carnavalet est acquis par la Ville de Paris
  • 1880 : Le musée Carnavalet ouvre ses portes au public
  • 1989 : L’hôtel Le Peletier Saint-Fargeau est annexé au musée
  • 2015 : Début du déménagement complet des collections
  • 2016 : Fermeture du musée et suite du déménagement complet des collections
  • Mi-2017 : Début du chantier de rénovation
  • 29 mai 2021 : Réouverture du musée


1000 jeunes aux Musée Magritte

La Fondation ENGIE donne un coup de pouce au projet « Magritte se prête au jeu », mis en place par Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique. Cette nouvelle initiative s’inscrit dans le programme « Musée sur Mesure » qui, depuis plus de 20 ans, propose un accès à la culture à des publics éloignés de celle-ci : personnes porteuses d’un handicap, familles, jeunes, etc. Avec le soutien de la Fondation, le programme « Musée sur Mesure » permettra de nouveau à 1000 jeunes de visiter le Musée Magritte cette année.

Philippe Van Troeye CEO de Tractebel et Michel Draguet, Michel Draguet Directeur Général des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique

Le projet « Magritte se prête au jeu » qui se déroule de juillet à octobre, est centré sur les jeunes de structures d’accueil de jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles (maisons de jeunes, AMO…). Le but du projet est de les aider à sortir de l’isolement et de les accompagner d’une façon à la fois créative et attentive grâce à l’art et l’écriture.

Après une visite du Musée Magritte, un premier atelier d’écriture sera organisé sur place via des petits jeux et des petits exercices de réflexion sur soi. Suite à cette première séance, chaque jeune choisira un sujet sur lequel il va travailler. Lors de la deuxième séance, le jeune entamera une rédaction personnelle. Le projet a pour but de libérer la parole et d’aider le jeune à s’exprimer. Les ateliers seront organisés dans le respect strict des règles COVID. Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique comptent publier un « best-off » des créations sur leur site web vers fin 2021.

La Fondation ENGIE soutient le programme « Musée sur Mesure » et plus particulièrement son axe d’inclusion de la jeunesse depuis la création du Musée Magritte, en 2009.


Ouverture des Franciscaines à Deauville

Un lieu unique et novateur

L’imaginaire à l’œuvre et les œuvres de l’imaginaire sont à découvrir, dans cet espace unique de 6200 m2 : un espace-temps à part où vibre l’histoire de Deauville autant que celle du monde.


Les FRANCISCAINES : Un lieu culturel unique au cœur de la ville

Prenant place dans un bâtiment remarquable du patrimoine deauvillais investi depuis 1878 par la Congrégation des sœurs Franciscaines, un lieu de culture permanent et unique ouvre ses portes le 13 mai. A la croisée des innovations, entre musée, théâtre, et médiathèque, ce nouvel équipement fera retentir la vie culturelle deauvillaise et en sublimera les événements et festivals pour qu’artistes, œuvres et visiteurs se rencontrent.

La mise en relation des œuvres, des pratiques culturelles et des espaces, habituellement distincts, caractérise Les Franciscaines qui met « l’imaginaire à l’œuvre ». Le projet architectural, réalisé par le cabinet Moatti et Rivière allie la valorisation d’un patrimoine exceptionnel et son inscription dans une expression contemporaine qui invite à la contemplation, à la rêverie et à la convivialité.

La Chapelle, parée de ses vitraux XIXe, Le Cloître, coiffé d’une verrière spectaculaire et de son grand lustre, les Salons de créativité et la Cour des expositions sont autant d’espaces qui accueilleront spectacles, conventions et événements.

Une programmation foisonnante, articulée autour d’expositions temporaires, de spectacles, de conférences et d’ateliers de médiation rythmera la vie de ce lieu convivial au sein duquel deauvillais et visiteurs pourront s’installer dans des espaces de lecture et de documentation structurés autour de thèmes chers à Deauville cheval, cinéma, spectacle, photographie, art de vivre et jeunesse.


La Fondation ENGIE accompagne la création de l’Univers Jeunesse pour permettre l’accès à la culture pour le plus grand nombre

Culture et créativité sont les pierres angulaires d’un espace qui accompagne l’émancipation. Aux Franciscaines, on apprend en créant, en fabriquant, en échangeant, en faisant ses propres choix.

L’accès aux livres est facilité par une identification claire des thématiques à travers des codes iconographiques. Ces mêmes codes permettent de décrypter rapidement à quel public ces livres s’adressent. On s’installe ici pour lire, apprendre, jouer puisant dans les vastes ressources de la ludothèque.

Le fablab

Lieu de création numérique, le fablab des Franciscaines s’adresse aux visiteurs de tous âges : des mini-makers qui viennent s’initier, aux grands qui veulent prototyper leurs idées innovantes. Imprimantes 3D, découpe laser, brodeuses numériques, sont autant d’outils à prendre en main grâce aux ateliers de médiation numérique. Formidable outil pour apprendre à coder, le Fablab des Franciscaines dispose d’une vingtaine de robots et toute une panoplie d’outils robotiques. Les réalisateurs en herbe peuvent, à partir de 12 ans, créer leur propre film grâce à la table mash-up. Là encore, la démarche est d’accompagner l’accès aux outils numériques et d’encourager la créativité. On apprend en faisant.

A découvrir au sein des Franciscaines : une collection de photographies contemporaines exceptionnelle et un musée dédié au peintre André Hambourg (1909-1999), dont la majeure partie de l’œuvre a fait l’objet d’une donation conséquente par sa veuve à la Ville de Deauville ; complétée par des pièces collectionnées par le peintre ou échangées avec d’autres artistes : Marie Laurencin, Foujita, Van Dongen, Derain…

Plus d’informations sur : https://lesfranciscaines.fr/fr


Journées européennes des métiers d'art à Notre-Dame de Paris

La Fondation ENGIE , mécène de la restauration de la Cathédrale Notre Dame, vous propose à l’occasion de la 20ème édition des Journées européennes des métiers d’art de découvrir un programme culturel numérique permettant de découvrir quelques-uns des métiers d’art qui œuvrent à la renaissance de la cathédrale.

Dans le cadre des Journées européennes des métiers d’art, organisées du 6 au 11 avril 2021 par l’Institut national des métiers d’art, l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris propose un programme culturel numérique permettant au public de découvrir quelques-uns des métiers d’art qui œuvrent à la renaissance de la cathédrale. Compte tenu de la crise sanitaire, les événements physiques prévus ont été remplacés par des contenus numériques.


Série de vidéos valorisant les métiers d’art mobilisés sur le chantier

Une série de quatre vidéos valorisant les métiers de restaurateur de peintures muralesde serrurier d’art et de dinandier. Ces vidéos, réalisées en partenariat avec la Fondation Bettencourt Schueller, seront publiées du mardi 6 au vendredi 9 avril 2021, tous les jours à 18h, sur la page Facebook et le compte Instagram de l’établissement public « Rebâtir Notre-Dame de Paris ».

Tout au long de la semaine, les internautes pourront (re)découvrir des métiers d’art qui ont participé et participent à la phase de sécurisation de la cathédrale. A travers une série de portraits vidéos, des artisans d’art, détenteurs de savoir-faire uniques, évoqueront leur parcours, leur formation et leur travail au service de la renaissance de la cathédrale.


Visite exclusive du chantier de Notre-Dame de Paris à la rencontre des métiers d’art

Une visite exclusive et en direct du chantier de Notre-Dame de Paris à la rencontre des métiers d’art, le samedi 10 avril 2021 à 11h. Cette visite, organisée en partenariat avec Le Parisien, durera environ une heure et sera diffusée en direct sur la page Facebook et le compte Instagram de l’établissement public.

Cette visite sera l’occasion de plonger au cœur du chantier de la cathédrale et de découvrir quelques uns des métiers d’art ayant participé avec enthousiasme et détermination au chantier de sécurisation de la cathédrale.

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