Les jardins de pluie de la Cité internationale universitaire de Paris

La journée mondiale de l’environnement, le 5 juin, vise à défendre la diversité biologique de la faune et flore, notamment par l’utilisation durable des ressources naturelles.

Cette journée est l’occasion pour la Fondation de valoriser ses partenariats et sensibiliser le grand public à la protection de nos écosystèmes.

Dans le cadre d’un projet global d’œuvre paysagère urbaine et architecturale de l’aménagement de son Parc, la Cité Internationale Universitaire de Paris a réalisé notamment 4 jardins de pluie.

Partie prenante du projet de développement de la Cité internationale « Cité2025 », ils contribuent à diversifier les milieux et les espèces au sein du parc.

La Fondation a souhaité s’associer à ce projet de création de jardins dans le cadre de son programme en faveur de la préservation de la biodiversité et de sa volonté d’être un acteur engagé et responsable pour protéger notre environnement.


Les jardins de pluie

Ces jardins de pluie collectent les eaux de ruissellement des allées et plus largement de l’ensemble des revêtements perméables et semi-perméables nouvellement créés, via des avaloirs les dirigeant vers la zone la plus en creux des jardins.

Sur un plan écologique, ces zones humides permettent de créer un nouveau biotope dans lequel la faune, les plantes hygrophiles et les micro-organismes peuvent vivre en interdépendance.

De plus elles présentent aussi un intérêt pédagogique puisqu’elles permettent de sensibiliser les résidents et les promeneurs au fonctionnement de leur écosystème, et plus largement au dispositif de la « trame verte et bleue », introduite par le Grenelle de l’environnement en 1992.

Enfin, elles s’intègrent harmonieusement dans le parc, tout en proposant une esthétique paysagère contemporaine.


Lancement du bus "Destination MUCEM"

Afin de s’engager pour l’accessibilité universelle du musée et notamment en faveur d’une plus grande diversité des publics, le Mucem expérimente un dispositif inédit de mobilité des publics éloignés des offres culturelles : la mise en place hebdomadaire, le dimanche, d’un bus gratuit depuis les quartiers excentrés, complétant l’offre de transport existante et permettant à de nouveaux publics de créer un lien privilégié avec le Mucem.


À la rencontre des non-publics et des publics éloignés

Ce dispositif s’inscrit dans la stratégie de diversification des publics portée par la musée depuis son ouverture et spécifiquement axée sur les non-publics en 2020-2021.

Dans la continuité des différents projets réalisation depuis 2013 en direction des publics dits du « champ social », Destination Mucem s’inscrit dans une démarche d’accompagnement vers l’autonomie de la pratique culturelle pour des personnes qui en sont éloignées.

Ce projet contribue principalement à lever plusieurs freins à la visité du musée : celui de la mobilité, mais aussi le frein économique et le frein symbolique à la visité du musée grâce à un accueil gratuit et une médiation adaptée.

Recoupant la géographie prioritaire de la politique de la ville, Destination Mucem s’adresse à des publics habitant dans des quartiers éloignés du centre-ville, aux limites Nord, Est et Sud de Marseille, qui sont par ce biais invités à s’approprier les espaces, les expositions et les thématiques du musée.

Destination Mucem contribue ainsi à rendre plus accessible l’équipement culturel du Mucem, à le rapprocher géographiquement mais aussi symboliquement de quartiers excentrés et de publics peu ou pas familiers de ce type de sortie culturelle.


Une médiation originale

À bord de ce bus gratuit, un accueil personnalisé et ludique prépare les participants à la découverte du Mucem dans une ambiance conviviale. Cette médiation permet d’échanger avec les passagers et est décliné pour des publics d’âges différents (jeunes publics, adolescents, familles, adultes, personnes âgées), contribuant à susciter l’envie et la curiosité des passagers vis-à-vis du musée.

Elle se termine à l’arrivée au Mucem, avec un passage de relais aux agents d’accueil du musée. En plus de recevoir un billet de visite des expositions, les participants seront invités, dans la limite des places disponibles, à découvrir l’offre de programmation et de médiation du musée grâce à un quota de places gratuites qui leur sera réservé chaque dimanche : visites guidées des expositions, séances de cinéma, ateliers pour les enfants, espace de découverte pour les familles…

Cette offre étant régulièrement renouvelée pour répondre à l’actualité du musée, Destination Mucem a donc vocation à fidéliser de nouveaux publics en les accompagnant dans la durée pour une réelle appropriation du musée, de se programmation, de ses rythmes, avec l’objectif à terme d’une pratique culturelle autonome.


Les 4 itinéraires et les principes de circulation

Pour le démarrage du projet, quatre itinéraires seront crées. Un travail de concertation avec la Métropole, la RTM et les acteurs du territoire permettra de les définir en ciblant des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

Afin de faciliter la visibilité du projet et l’identification des différents points d’arrêt, Destination Mucem prévoit que quelques arrêts puissent se faire sur des arrêts de bus existants, les autres seront liés à des structures bien identifiées sur des territoires comme les centres sociaux.

Sur l’abribus ou le poteau des arrêts choisis, une signalétique dédiée permettra de communiquer sur le projet, de donner les dates et horaires de passage (aller et retour).

En effet, pour les habitants des quartiers visés, dont certains peuvent rencontrer des réticences ou des difficultés pour sortir de leur quartier, l’idée serait de faciliter véritablement ce déplacement vers le musée, d’encourager une mobilité culturelle grâce à un transport en commun direct, sans changement, d’une durée d’1 heure maximum.

Cette offre de mobilité serait proposée tous les dimanches de l’année, d’une part en raison d’une potentielle plus grande disponibilité des publics, notamment des familles, sur cette journée et d’autre part parce que le Mucem a déjà l’expérience d’une offre plus accessible les dimanches, notamment avec la gratuité des premiers dimanches du mois.

Chaque itinéraire circulerait donc vers le Mucem une fois par mois, récurrence minimale pour que le projet puisse s’installer, et le Mucem accueillerait chaque dimanche les publics de quartiers différents, à raison de deux trajets allers le matin et deux trajets retours en fin d’après-midi.

Télécharger la présentation complète du projet

Réouverture du Musée Carnavalet

À l’issue de quatre années d’importants travaux de rénovation, le musée Carnavalet – Histoire de Paris rouvre ses portes samedi 29 mai 2021. Une véritable renaissance pour le plus ancien musée de la Ville de Paris, situé au coeur du Marais et riche de plus de 625 000 oeuvres.

La Fondation d’entreprise ENGIE est fière d’être un des grands mécènes de la rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris et tout particulièrement de son parcours pédagogique.

© Pierre Antoine

C’est une nouvelle page qui s’ouvre pour le plus ancien musée de la Ville de Paris et l’un des plus importants musées français. Prendre en compte la diversité des publics, favoriser l’accessibilité, innover pour favoriser l’accès de toutes et tous à la culture ont été au coeur du projet de réouverture de ce lieu emblématique de Paris.
Pour la première fois, 10% des oeuvres sont ainsi exposées à hauteur d’enfant. C’est une première en France dans un musée dans le cadre d’un accrochage de collections permanentes, une innovation qu’a soutenue tout particulièrement la Fondation ENGIE.

Le nouveau musée Carnavalet relève le défi de raconter l’Histoire de Paris sur 3 900 m2.
Tout en préservant le charme si particulier de ce musée installé au coeur du Marais historique, 3 800 oeuvres sont présentées dans une scénographie repensée. 60% des œuvres exposées étaient jusqu’ici conservées dans les réserves.
La rénovation du musée Carnavalet – Histoire de Paris a permis de magnifier le bâtiment, de redécouvrir son architecture, d’améliorer l’accessibilité et de renouveler l’expérience du visiteur.

Les publics, placés au coeur de ce projet découvriront de nouveaux espaces de circulation accessibles à tous.

Pensé comme un voyage authentique dans le passé et le présent de Paris, le nouveau parcours, construit pour la première fois selon un fil chronologique continu, dévoile ses plus grands trésors historiques de la Préhistoire à nos jours. Peintures, sculptures, pièces de mobilier, boiseries, objets d’art, objets d’histoire et de mémoire, enseignes, photographies, dessins, estampes, affiches, maquettes, médailles, monnaies, collections d’archéologie,… retracent l’histoire de Paris de manière unique : à la fois historique, documentaire, sentimentale et proche des Parisiennes et des Parisiens.


Une accessibilité et une médiation pour tous les publics

Dès leur arrivée, les visiteurs profitent d’un accueil réaménagé conçu pour améliorer la capacité d’accueil du musée et offrir un meilleur confort, en privilégiant une circulation fluide et agréable, respectueuse du site.
L’accessibilité et la proximité avec les œuvres présentées ont également été améliorées. Le musée innove dans sa médiation en accrochant notamment 10% de l’ensemble des oeuvres à hauteur d’enfant tout au long du parcours.
Une démarche d’accessibilité universelle a été développée dans l’ensemble des collections permanentes, avec l’élaboration de dispositifs de médiation attractifs et ludiques favorisant la mixité des publics.
Enfin, le musée propose ponctuellement des dispositifs numériques interactifs (entretiens filmés, documentaires, films d’animation, espaces d’écoute, écrans interactifs) qui enrichissent la connaissance d’épisodes historiques parisiens majeurs.


La Fondation ENGIE partenaire du parcours pédagogique du musée Carnavalet - Histoire de Paris

Conçu comme un voyage authentique dans le passé et le présent de Paris, le parcours valorise les collections exceptionnelles du musée Carnavalet – Histoire de Paris pour les rendre accessibles à tous les publics et notamment aux personnes en situation de handicap avec des circulations adaptées (ascenseurs, élévateurs et rampes).

Une démarche d’accessibilité universelle a été développée dans l’ensemble du parcours permanent, avec l’élaboration de dispositifs de médiation attractifs et ludiques, favorisant la mixité des publics : différents textes de salles et cartels cohabitent afin de proposer un parcours commun avec plusieurs niveaux de lecture, où chacun peut choisir de consulter les informations qui l’intéresse. Dans cette optique, le musée Carnavalet – Histoire de Paris a choisi d’exposer 10% des oeuvres à hauteur d’enfant tout au long du parcours. Ce parti pris novateur dans la médiation a déjà été expérimenté dans le monde anglo-saxon ou dans certains musées d’Europe mais reste inédit en France pour un accrochage de collections permanentes.

Un parcours à hauteur d’enfant

Tout au long du parcours des collections, 10% des oeuvres – soit 380.- sont placées à hauteur d’enfant (120 cm pour les tableaux ou les photographies) avec une médiation adaptée.
L’accrochage à hauteur d’enfant tout au long du parcours favorise une visite intergénérationnelle et valorise l’expérience sensible et l’imagination.

Le musée Carnavalet – Histoire de Paris en quelques chiffres

  • 4 ans de chantier avec un budget de rénovation de 58 327 000 euros
  • Des collections riches de plus de 625 000 oeuvres couvrant plusieurs millénaires, de la Préhistoire à nos jours
  • Plus de 3 800 oeuvres exposées dont 10% à hauteur d’enfant
  • 3 900 m2 de surface d’exposition permanente dédiés à l’histoire de Paris et des Parisiens et Parisiennes en plein coeur de la capitale
  • 34 salles de décors
  • 360 m2 de surface d’exposition temporaire
  • 2 400 m2 de jardins et cours
  • 600 m2 destinés à un centre d’activités culturelles et de ressources historiques et documentaires


L’histoire du musée

Le musée Carnavalet est le plus ancien musée de la Ville de Paris. Né sous l’impulsion du préfet de la Seine Haussmann, il a ouvert au public le 25 février 1880 dans un hôtel particulier construit au milieu du 16e siècle et situé au coeur du Marais, l’un des quartiers de la capitale où le patrimoine architectural est particulièrement bien préservé.

Depuis 1880, l’extension du musée a été importante avec la construction de nouveaux bâtiments et l’annexion de l’hôtel particulier Le Peletier de Saint-Fargeau en 1989.
Aujourd’hui, l’architecture du musée offre une histoire de plus de 450 ans. Ses collections, enrichies depuis plus de 150 ans, retracent l’histoire de Paris, de la Préhistoire à nos jours.

Le site présente un intérêt patrimonial majeur qui a justifié sa protection au titre des Monuments Historiques depuis 1846 et du Plan de Sauvegarde et de Mise en Valeur du Marais depuis 1965.

C’est dans ce cadre historique exceptionnel, devenu accessible à tous, que le musée Carnavalet – Histoire de Paris ouvre ses portes aujourd’hui.
L’histoire du musée Carnavalet est à retrouver en intégralité sur : www.carnavalet.paris.fr/le-musee/lhistoire


Dates clés

  • 1548 – 1560 : Construction de l’hôtel particulier pour Jacques des Ligneris, président du Parlement de Paris
  • 1660 : L’hôtel est complété par le célèbre architecte François Mansart, qui surélève le porche de la façade sur l’actuelle rue de Sévigné
  • 1677 – 1696 : Madame de Sévigné et sa famille résident dans l’hôtel
  • 1688 : Pierre Bullet, architecte du Roi et de la Ville, construit l’hôtel Le Peletier Saint-Fargeau
  • 1866 : L’hôtel Carnavalet est acquis par la Ville de Paris
  • 1880 : Le musée Carnavalet ouvre ses portes au public
  • 1989 : L’hôtel Le Peletier Saint-Fargeau est annexé au musée
  • 2015 : Début du déménagement complet des collections
  • 2016 : Fermeture du musée et suite du déménagement complet des collections
  • Mi-2017 : Début du chantier de rénovation
  • 29 mai 2021 : Réouverture du musée


1000 jeunes aux Musée Magritte

La Fondation ENGIE donne un coup de pouce au projet « Magritte se prête au jeu », mis en place par Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique. Cette nouvelle initiative s’inscrit dans le programme « Musée sur Mesure » qui, depuis plus de 20 ans, propose un accès à la culture à des publics éloignés de celle-ci : personnes porteuses d’un handicap, familles, jeunes, etc. Avec le soutien de la Fondation, le programme « Musée sur Mesure » permettra de nouveau à 1000 jeunes de visiter le Musée Magritte cette année.

Philippe Van Troeye CEO de Tractebel et Michel Draguet, Michel Draguet Directeur Général des Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique

Le projet « Magritte se prête au jeu » qui se déroule de juillet à octobre, est centré sur les jeunes de structures d’accueil de jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles (maisons de jeunes, AMO…). Le but du projet est de les aider à sortir de l’isolement et de les accompagner d’une façon à la fois créative et attentive grâce à l’art et l’écriture.

Après une visite du Musée Magritte, un premier atelier d’écriture sera organisé sur place via des petits jeux et des petits exercices de réflexion sur soi. Suite à cette première séance, chaque jeune choisira un sujet sur lequel il va travailler. Lors de la deuxième séance, le jeune entamera une rédaction personnelle. Le projet a pour but de libérer la parole et d’aider le jeune à s’exprimer. Les ateliers seront organisés dans le respect strict des règles COVID. Les Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique comptent publier un « best-off » des créations sur leur site web vers fin 2021.

La Fondation ENGIE soutient le programme « Musée sur Mesure » et plus particulièrement son axe d’inclusion de la jeunesse depuis la création du Musée Magritte, en 2009.


Ouverture des Franciscaines à Deauville

Un lieu unique et novateur

L’imaginaire à l’œuvre et les œuvres de l’imaginaire sont à découvrir, dans cet espace unique de 6200 m2 : un espace-temps à part où vibre l’histoire de Deauville autant que celle du monde.


Les FRANCISCAINES : Un lieu culturel unique au cœur de la ville

Prenant place dans un bâtiment remarquable du patrimoine deauvillais investi depuis 1878 par la Congrégation des sœurs Franciscaines, un lieu de culture permanent et unique ouvre ses portes le 13 mai. A la croisée des innovations, entre musée, théâtre, et médiathèque, ce nouvel équipement fera retentir la vie culturelle deauvillaise et en sublimera les événements et festivals pour qu’artistes, œuvres et visiteurs se rencontrent.

La mise en relation des œuvres, des pratiques culturelles et des espaces, habituellement distincts, caractérise Les Franciscaines qui met « l’imaginaire à l’œuvre ». Le projet architectural, réalisé par le cabinet Moatti et Rivière allie la valorisation d’un patrimoine exceptionnel et son inscription dans une expression contemporaine qui invite à la contemplation, à la rêverie et à la convivialité.

La Chapelle, parée de ses vitraux XIXe, Le Cloître, coiffé d’une verrière spectaculaire et de son grand lustre, les Salons de créativité et la Cour des expositions sont autant d’espaces qui accueilleront spectacles, conventions et événements.

Une programmation foisonnante, articulée autour d’expositions temporaires, de spectacles, de conférences et d’ateliers de médiation rythmera la vie de ce lieu convivial au sein duquel deauvillais et visiteurs pourront s’installer dans des espaces de lecture et de documentation structurés autour de thèmes chers à Deauville cheval, cinéma, spectacle, photographie, art de vivre et jeunesse.


La Fondation ENGIE accompagne la création de l’Univers Jeunesse pour permettre l’accès à la culture pour le plus grand nombre

Culture et créativité sont les pierres angulaires d’un espace qui accompagne l’émancipation. Aux Franciscaines, on apprend en créant, en fabriquant, en échangeant, en faisant ses propres choix.

L’accès aux livres est facilité par une identification claire des thématiques à travers des codes iconographiques. Ces mêmes codes permettent de décrypter rapidement à quel public ces livres s’adressent. On s’installe ici pour lire, apprendre, jouer puisant dans les vastes ressources de la ludothèque.

Le fablab

Lieu de création numérique, le fablab des Franciscaines s’adresse aux visiteurs de tous âges : des mini-makers qui viennent s’initier, aux grands qui veulent prototyper leurs idées innovantes. Imprimantes 3D, découpe laser, brodeuses numériques, sont autant d’outils à prendre en main grâce aux ateliers de médiation numérique. Formidable outil pour apprendre à coder, le Fablab des Franciscaines dispose d’une vingtaine de robots et toute une panoplie d’outils robotiques. Les réalisateurs en herbe peuvent, à partir de 12 ans, créer leur propre film grâce à la table mash-up. Là encore, la démarche est d’accompagner l’accès aux outils numériques et d’encourager la créativité. On apprend en faisant.

A découvrir au sein des Franciscaines : une collection de photographies contemporaines exceptionnelle et un musée dédié au peintre André Hambourg (1909-1999), dont la majeure partie de l’œuvre a fait l’objet d’une donation conséquente par sa veuve à la Ville de Deauville ; complétée par des pièces collectionnées par le peintre ou échangées avec d’autres artistes : Marie Laurencin, Foujita, Van Dongen, Derain…

Plus d’informations sur : https://lesfranciscaines.fr/fr


Journées européennes des métiers d'art à Notre-Dame de Paris

La Fondation ENGIE , mécène de la restauration de la Cathédrale Notre Dame, vous propose à l’occasion de la 20ème édition des Journées européennes des métiers d’art de découvrir un programme culturel numérique permettant de découvrir quelques-uns des métiers d’art qui œuvrent à la renaissance de la cathédrale.

Dans le cadre des Journées européennes des métiers d’art, organisées du 6 au 11 avril 2021 par l’Institut national des métiers d’art, l’établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris propose un programme culturel numérique permettant au public de découvrir quelques-uns des métiers d’art qui œuvrent à la renaissance de la cathédrale. Compte tenu de la crise sanitaire, les événements physiques prévus ont été remplacés par des contenus numériques.


Série de vidéos valorisant les métiers d’art mobilisés sur le chantier

Une série de quatre vidéos valorisant les métiers de restaurateur de peintures muralesde serrurier d’art et de dinandier. Ces vidéos, réalisées en partenariat avec la Fondation Bettencourt Schueller, seront publiées du mardi 6 au vendredi 9 avril 2021, tous les jours à 18h, sur la page Facebook et le compte Instagram de l’établissement public « Rebâtir Notre-Dame de Paris ».

Tout au long de la semaine, les internautes pourront (re)découvrir des métiers d’art qui ont participé et participent à la phase de sécurisation de la cathédrale. A travers une série de portraits vidéos, des artisans d’art, détenteurs de savoir-faire uniques, évoqueront leur parcours, leur formation et leur travail au service de la renaissance de la cathédrale.


Visite exclusive du chantier de Notre-Dame de Paris à la rencontre des métiers d’art

Une visite exclusive et en direct du chantier de Notre-Dame de Paris à la rencontre des métiers d’art, le samedi 10 avril 2021 à 11h. Cette visite, organisée en partenariat avec Le Parisien, durera environ une heure et sera diffusée en direct sur la page Facebook et le compte Instagram de l’établissement public.

Cette visite sera l’occasion de plonger au cœur du chantier de la cathédrale et de découvrir quelques uns des métiers d’art ayant participé avec enthousiasme et détermination au chantier de sécurisation de la cathédrale.

Télécharger le communiqué de presse

Droits des femmes : les quatre priorités de la Fondation ENGIE

Pour contribuer à la réalisation des objectifs du Millénaire, agir pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes sont essentiels. La Fondation met l’accent dans les causes qu’elle soutient et les projets qu’elle accompagne sur quatre priorités :

Un engagement que portent et partagent administratrices et administrateurs de la Fondation ENGIE.


Reconnaître le rôle des femmes…une priorité pour la Fondation ENGIE et le groupe ENGIE

– 100% des projets soutenus par la Fondation ENGIE, qu’il s’agisse des programmes d’aide à l’enfance ou des programmes dédiés à l’accès à l’énergie pour tous, sont soucieux de la place accordée aux jeunes filles ou aux femmes. C’est un critère de sélection pour accorder une aide.

– Les actions de la Fondation ENGIE en faveur des femmes s’inscrivent dans la continuité des engagements RSE du groupe en matière de parité homme-femme. Le groupe ENGIE s’est en effet engagé à ce que les femmes représentent 50% des effectifs du management à l’horizon 2030. Le groupe est également membre fondateur de la Fondation Femmes@Numériques.


2020 et 2021 : deux années placées sous le signe du plaidoyer par la Fondation ENGIE

Agir, c’est parfois d’abord plaider, libérer la parole, faire prendre conscience.

– La Fondation ENGIE a soutenu le film réalisé par Yann Arthus Bertrand et Anastasia Mikova : WOMAN (lire article)

– La Fondation ENGIE est partenaire fondateur de Stand, Speak, Rise up lancée par SAR la Grande Duchesse du Luxembourg pour lutter contre les violences faites aux femmes

Créée en septembre 2019 sous l’impulsion de la Grande-Duchesse de Luxembourg, avec le soutien de la Fondation ENGIE, l’association agit comme « porte-voix » pour donner à entendre les victimes mais aussi les porteurs de solutions. Elle organise ainsi des rencontres régulières autour de thématiques précises, en conviant à la fois des survivantes et des experts internationaux spécialisés. L’objectif est de dresser des constats factuels, de proposer des solutions et d’agir auprès des instances internationales afin de faire bouger les lignes.

Le programme de l’association a été développé autour de plusieurs thématiques directement définies lors du premier Forum de Luxembourg avec les survivantes et les spécialistes :

    • soigner les blessures physiques, psychologiques ;
    • mettre fin au stigma pour les victimes ;
    • unifier les règles et les lois pour la justice ;
    • réparer les préjudices ;
    • développer la technologie et la finance au profit des victimes ;
    • améliorer l’inclusion des enfants nés du viol.

Les prix Nobel Nadia Murad, Denis Mukwege et Mohammad Yunus ont participé à l’événement.

– La Fondation ENGIE accompagne les campus UNESCO, qui donnent une place importante à la question des femmes. Un événement a été organisé à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes en 2021.

– Dans l’art aussi, le travail des femmes est trop souvent « invisibilisé ». La mission de l’association AWARE, soutenue depuis sa création en 2014 par la Fondation ENGIE, est justement de « réécrire l’histoire de l’art de manière paritaire » et de faire connaitre les œuvres des femmes. Un engagement à retrouver le 12 mars lors d’une conférence de presse.


Protéger et lutter contre les discriminations

Protéger les femmes, veiller à leur sécurité quand elles sont soumises à des violences, venir en aide à celles qui sont en situation de grande précarité, prendre soin de leur santé : c’est essentiel pour bâtir un monde plus juste. La Fondation ENGIE agit main dans la main avec ses partenaires pour mettre en place des solutions pragmatiques, en phase avec les besoins spécifiques identifiés sur chaque territoire.

A Paris 12ième arrondissement, avec le Samu Social de Paris

La Fondation ENGIE apporte son aide aux « Bains Douches de Charenton », un lieu d’accueil, d’écoute et de soins dédiés aux femmes SDF du quartier. Alors que le nombre de femmes SDF a doublé en dix ans, il était urgent de prendre le problème à bras le corps.

IMPACT : 200 femmes SDF accueillies, écoutées, soignées chaque année.


A Saint-Denis (93), avec la Maison des Femmes

Un petit bâtiment coloré, ouvert sur la rue, juste à côté de l’entrée de la maternité de l’hôpital Delafontaine à Saint-Denis : la Maison des Femmes est un espace chaleureux, qui accueille les femmes victimes de violences ou sans domicile. Créée en 2016 par Ghada Hatem, gynécologue-obstétricienne à l’hôpital Delafontaine, c’est la première structure en France à offrir une prise en charge totale des femmes victimes d’excision. Elle bénéficie du soutien de la Fondation ENGIE depuis cette année.


A Nantes (44) et partout en France, avec l’association Résonantes

Lutter contre les violences faites aux femmes grâce aux technologies digitales : c’est le credo de l’association Resonantes, créée en 2015 par la slameuse Diariata N’Diaye. L’association nantaise, soutenue depuis 2020 par la Fondation ENGIE, a notamment lancé App-Elles, la première appli mobile destinée aux filles et femmes victimes de violence. L’appli a été primée à de nombreuses reprises, notamment au CES de Las Vegas en 2019. Alors que le confinement a entrainé une hausse des violences faites aux femmes dans le cadre du domicile (+30% de plaintes en France), l’appli a montré qu’elle répondait à une urgence sociétale.

IMPACT :
- 170 000 bénéficiaires directs et indirects depuis la création
- Appli téléchargée plus de 50 000 fois


Autonomiser et déployer les talents

Trop de femmes demeurent aujourd’hui encore réduites à des fonctions subalternes, avec un moindre accès à l’éducation et à l’autonomie. Pourtant, ce sont souvent elles qui font tourner les communautés. C‘est pourquoi il est urgent de les aider à déployer leurs talents, leur énergie, leur créativité. C’est aussi le combat mené par la Fondation ENGIE. Zoom sur quelques initiatives.

ONG Acted Ouzbekistan

L’ONG Acted Ouzbekistan, soutenue par la Fondation ENGIE, propose aux femmes victimes de violences conjugales de suivre un programme de formation, leur permettant d’acquérir des compétences professionnelles et de devenir autonomes financièrement. Certaines des femmes accompagnées ont pu monter leur petite entreprise à l’issue du programme – ateliers de couture, boulangeries, fabrique de produits laitiers.

IMPACT : 75 femmes bénéficiaires des formations en 2020


Programme INSPIRE

La Fondation ENGIE soutient le programme INSPIRE, imaginé par l’ONG sud-africaine Valued Citizens Initiative. Le but de ce programme est d’aider les jeunes filles à prendre conscience de leur potentiel, pour en faire des citoyennes actrices du développement de leur pays. Ateliers sur la liberté de jugement ou l’estime de soi permettent aux jeunes filles de prendre conscience de leurs droits et de refuser la victimisation.

IMPACT : plus de 100 000 bénéficiaires depuis la création du programme en 2009


Programme "Salles digitales"

La Fondation ENGIE est aussi particulièrement impliquée sur le sujet de l’accès des femmes aux métiers du numérique. Depuis 2017, la Fondation soutient notamment le programme « salles digitales » de l’ONG Afghanistan Libre. « Sur le papier, c’est un projet fou. Ouvrir des salles digitales dans des villages sans électricité, dans l’un des pays les plus dangereux au monde, où seulement 28% des filles ont à l’enseignement secondaire. Rien ne colle et pourtant la Fondation ENGIE nous a soutenu dès le début », raconte Chékéba Hachémi, à l’origine du projet avec l’ONG Afghanistan Libre (voir l’interview)

IMPACT : 1 000 jeunes filles formées par an

L’engagement de la Fondation pour promouvoir l’accès des femmes aux métiers du digital encore pris de l’ampleur l’an dernier, avec l’entrée de Aurélie Jean, docteure en sciences et CEO de In Silico Veritas, dans le Conseil d’Administration de la fondation.


ELLES font la Fondation ENGIE… ELLES donnent sens à notre action, donnent l’énergie d’agir…

A l’occasion de la 44ième journée internationale des droits des femmes, la Fondation ENGIE vous fait partager le parcours et les engagements de Femmes qui portent sur le terrain des projets pour promouvoir l’éducation et l’insertion, l’accès de toutes et tous à l’énergie et la protection de la biodiversité, la lutte contre la pauvreté pour l’emploi, nos trois grands axes d’action à travers le monde.

« De la place où je suis, ma voix peut porter. Si je ne parle pas, qui le fera ? »

Maria-Térésa Mestre, Grande-Duchesse du Luxembourg

Pas question pour la Grande-Duchesse de Luxembourg de se cantonner à inaugurer des centres de charité : Son Altesse Royale est de celles qui veulent changer le monde, en défendant les plus fragiles. Elle a été l’une des premières à croire au micro-crédit et à travailler avec Mohammad Yunus, « le banquier des pauvres », qui recevrait le Prix Nobel de la Paix en 2006. En 2018, elle fait une autre rencontre décisive, celle du Docteur Denis Mukwege, lui aussi Prix Nobel. De là est né le Forum Stand Speak Rise Up !, qui vise à sensibiliser le public au fléau du viol de guerre. La cause peut faire peur à certains, la Grande Duchesse de Luxembourg ne cache pas qu’elle a dû essuyer des critiques en se saisissant de ce sujet. Qu’à cela ne tienne : redonner leur dignité aux femmes victimes vaut toutes les batailles, si rudes soient-elles.
Le Forum Stand Speak Rise Up ! est réalisé avec l’aide de la Fondation ENGIE.

« Je suis convaincue que le monde de demain a besoin d’une présence forte des femmes, dans les gouvernances, les arts, les sciences »

Zahia Ziouani, cheffe d’orchestre, fondatrice de l’Orchestre Divertimento

Zahia Ziouani a très vite su qu’elle voulait devenir cheffe d’orchestre. Mais tous lui disaient : « concentre-toi sur tes études, ce n’est pas un métier de femme ». Pourtant, elle n’a pas lâché. Encore adolescente, elle est admise au cours de direction du chef Sergiu Celibache. Le maestro était le héros de Zahia adolescente. « Son portrait ornait un mur de ma chambre », se souvient-elle. Zahia va très vite : elle n’a qu’une vingtaine d’années quand elle crée l’Orchestre Symphonique Divertimento, composé de plus de soixante musiciens professionnels issus de Paris et la banlieue. Elle devient directrice du Conservatoire de Stains (93) à 25 ans. Depuis, elle multiplie les concerts… et les projets en faveur de l’accès à la musique pour tous. Et elle garde une conviction chevillée au corps : une juste répartition des rôles entre les hommes et les femmes est essentielle pour construire le monde de demain. Elle en a la preuve tous les jours : « L’Orchestre Symphonique Divertimento donne le meilleur de son talent et de sa qualité quand les rangs de ses pupitres sont constitués d’hommes et de femmes complices, solidaires et engagés », explique-t-elle.
Les actions d’accès à la culture pour tous de l’orchestre Divertimento sont soutenues par la Fondation ENGIE.

« Pas question de fermer pendant le confinement. Il fallait être là pour les femmes victimes de violences »

Ghada Hatem, gynécologue-obstétricienne, fondatrice de la Maison des Femmes de Saint-Denis

Décorée de la légion d’honneur, auteure de nombreux ouvrages, Ghada Hatem est une grande dame de la lutte contre les violences faites aux femmes. Elle a grandi à Beyrout, qu’elle a quitté pour Paris en 1977, alors que la guerre civile faisait rage. « Avoir connu la guerre a développé en moi une intolérance à toutes formes de violences », explique-t-elle. Arrivée en France, elle devient gynécologue et travaille d’abord dans les maternités les plus prestigieuses. En 2011, elle rejoint la maternité de l’hôpital Delafontaine, à Saint-Denis, « dans le 9 cube » comme elle aime à le dire. « A l’hôpital, on accueillait des femmes sans domicile qu’on renvoyait à la rue après l’accouchement, d’autres étaient victimes de violences. Je me suis dit qu’on ne pouvait pas continuer comme ça », explique-t-elle simplement. Alors, elle prend son bâton de pèlerin et se met en quête de fonds, avec le soutien de Gisèle Halimi, pour créer la Maison des Femmes et « venir en aide aux femmes en galère ». Aujourd’hui, une équipe de sages-femmes, psychologues, juristes, travailleurs sociaux, conseillers conjugaux travaille dans la structure. L’équipe est restée en place pendant le confinement. « Il n’était pas question de fermer ! Nous devions être là pour les femmes, notamment pour celles qui fuyaient le domicile pour échapper aux violences ».
La Maison des Femmes de Saint-Denis est soutenue par la Fondation ENGIE depuis 2020.

« Contre les violences faites aux femmes, il faut se dire qu’on peut agir, qu’on doit agir… Et il faut agir ! »

Diariata N'Diaye, artiste, fondatrice de l’association Les Résonantes

« Très tôt, j’ai été convaincue que l’art avait le pouvoir de changer le monde ». Diariata N’Diaye sait de quoi elle parle. A quinze ans, elle aurait dû se marier – un mariage arrangé, ils sont fréquents dans sa communauté. C’est la chanson « Non » de la rappeuse BAMS qui lui donne la force d’échapper à son mariage et de s’inventer un destin. Un destin qui peut se résumer en quelques mots : lutter contre les violences faites aux femmes. Elle commence par slamer, en créant le spectacle Mots pour Maux en 2009, qui parle de ce sujet. Elle intervient dans les écoles, organise des ateliers d’écriture. « Dans l’intimité des ateliers, les langues se délient. Au fil des mots, j’ai tiré le fil… et j’ai recueilli des témoignages horribles », raconte-t-elle. En 2015, elle franchit une nouvelle étape et crée Résonantes, à Nantes. Le but ? Toujours et encore sensibiliser. Et agir concrètement, en aidant les femmes confrontées aux violences. Pour ce faire, Diariata lance l’appli App-Elle, qui permet aux femmes de lancer des alertes quand elles sont menacées. Dès lors, tout s’enchaîne : l’appli est remarquée par les pouvoirs publics, primée au CES de Las Vegas en 2019. Mais Diariata N’Diaye garde les pieds sur terre. Au fond, elle n’a fait que ce qu’elle devait faire. « Contre les violences faites aux femmes, il faut se dire qu’on peut agir, qu’on doit agir… et il faut agir » : c’est aussi simple que cela.
L’association Les Résonantes est soutenue par la Fondation ENGIE depuis 2020.

« Les filles peuvent tout faire et s’orienter vers n’importe quelle carrière »

Aurélie Jean, mathématicienne docteure en mécanique, CEO de In Silico Veritas et membre du CA de la Fondation ENGIE

Titulaire d’un doctorat à l’Institut des Mines, mathématicienne et entrepreneuse, Aurélie Jean a été classée en 2019 parmi les 40 femmes françaises les plus influentes par le magazine Forbes. Bel exploit à tout juste 35 ans ! Son combat : faire en sorte que les filles « sachent qu’elles peuvent tout faire et s’orienter vers n’importe quelle carrière ! y compris dans la tech, les sciences ou les mathématiques ! ». Alors que les femmes représentent seulement 30% des effectifs dans les métiers du digital – dont 85% dans des fonctions support ! -, les jeunes filles ont bel et besoin de « role model » comme Aurélie Jean pour leur ouvrir la voie. La Fondation ENGIE est fière qu’Aurélie ait rejoint les membres de son conseil d’administration en 2020.


Diffusion exceptionnelle du film Woman sur France 5, le 8 mars 2021 à 20 h 50

Agir, c’est parfois d’abord plaider, libérer la parole, faire prendre conscience.

C’est pour cela que la Fondation ENGIE a soutenu le film réalisé par Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova : WOMAN.

Le film Woman, co-réalisé par Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova, avec le soutien de la Fondation ENGIE sera diffusé le 8 mars sur France 5 à 20 h 50. Ce « film-fresque » donne la parole à plus de 2000 femmes, issues de 50 pays partout dans le monde. Face caméra, elles racontent leurs combats, les injustices dont elles ont été victimes, leurs espoirs aussi. Toutes ensembles, elles offrent une formidable leçon d’humanité et de courage.

« Lors des interviews, nous avions parfois le sentiment que les femmes avaient attendu cet instant toute leur vie. Elles avaient besoin de libérer des douleurs si ancrées qu’elles ne pensaient pas être capables d’en parler. Dans une époque complexe, où l’humanité donne parfois l’impression de foncer dans le mur, la vision des femmes est porteuse d’espoir. Dans ce contexte, il est important de « redonner » la parole à la moitié de l’humanité que l’on entend le moins »

Yann Arthus-Bertrand et Anastasia Mikova

Sorti en salle en mars 2020, le film a été sélectionné et primé à la Biennale de Venise 2019. A ne pas manquer.


Pour la Fondation ENGIE, plus qu’un film, une raison d’agir.

La fondation ENGIE a souhaité aller plus loin et apporter son soutien à des projets des initiatives présentés dans le film… agir aux côtés de celles qui témoignent.

Soutien aux femmes victimes de viol en République Démocratique du Congo

En RDC, le viol est devenu une arme de guerre des groupes qui se battent pour le contrôle des minerais de la région. Le Prix Nobel de la Paix Denis Mukwege lutte contre ce fléau. Celui qu’on appelle le «réparateur des femmes », a soigné plus de 50 000 femmes survivantes de violences sexuelles dans son hôpital de Panzi, qu’il a créé en 1999. Les victimes sont opérées dans l’établissement, grâce à des techniques de pointe d’endoscopie médicale, elles sont également accompagnées psychologiquement et juridiquement.

Parce que la cause des femmes est au cœur de ses engagements, la Fondation ENGIE a décidé d’apporter son soutien à Denis Mukwege. Ce partenariat prévoit le reengineering des installations électriques de l’Hopital de Panzi, ceci en vue de la sécurisation de l’alimentation électrique ainsi que d’une augmentation importante de l’efficacité écologique et économiques de l’ensemble des installations et équipements de la structure.

ONG des villageois de Ndem au Sénégal

Nous voulons être un partenaire qui agit. Avec les équipes de WOMAN, nous avons identifié l’ONG NDEM au Sénégal, située entre Dakar et Saint-Louis. Une ONG de 4 600 membres et de nombreuses femmes actives, qui intervient depuis 30 ans auprès de 16 villages, dans des domaines variés tels que la santé, éducation, environnement, agroécologie ou encore l’entrepreneuriat. Elle a aujourd’hui besoin de forages et d’installations solaires pour continuer de développer son programme et apporter l’énergie aux plus isolées. Nous avons mis Energy Assistance, ONG interne du Groupe ENGIE, sur le coup pour peaufiner au mieux le programme !


Promotion d’Impulsion 75 en hommage à Nadine Marchand

Retour en images sur la Promotion d’Impulsion 75  en hommage à Nadine Marchand ancienne collaboratrice de la Fondation ENGIE.

La Fondation ENGIE accompagne l’association IMPULSION 75 dans son programme de coaching personnalisé dédié aux jeunes sportifs en situation de décrochage en leur redonnant confiance et en leur permettant d’accéder à une formation professionnelle ou à un emploi. Plus de 1 000 jeunes ont bénéficié de ses différents programmes.

IMPULSION 75 et la Fondation ENGIE donnent ainsi l’énergie des possibles à ces jeunes.