La Fondation ENGIE et l’Opéra de Paris mènent un projet innovant : 2 450 jeunes et membres du monde associatif invités à l’Opéra Bastille pour le 14 juillet

Depuis 2018, la Fondation ENGIE, mécène Fondateur de l’Académie de l’Opéra de Paris, soutient une initiative importante de l’Opéra en faveur de l’accès à la culture pour tous : une représentation exceptionnelle destinée exclusivement à des associations et à un public éloigné de la culture, à l’Opéra Bastille le 14 juillet

Plus de 2 450 personnes bénéficiaires d’associations soutenues par la Fondation ENGIE et par l’Opéra national de Paris sont invitées à assister à la représentation du ballet «SIGNES » à l’occasion de la Fête nationale, ce vendredi 14 juillet.

La Fondation ENGIE est fière de permettre à des associations comme La Fondation K Urgence, créée par Christine Kelly, pour les familles monoparentales, l’Institut de l’Engagement, le Secours Populaire, l’association de Yannick Noah –Fête le Mur, la Voix de l’Enfant, les bénévoles de NOC « Nous On Créé » à l’Institut Pasteur, les collaborateurs d’ENGIE engagés dans l’ONG d’accès à l’énergie – ENERGY ASSISTANCE de faire découvrir à des jeunes spectateurs ce lieu unique pour la culture.

Accès à la culture pour les plus démunis, aide à l’enfance sont au cœur de l’engagement de la Fondation ENGIE et de son soutien à l’Opéra de Paris. Mécène fondateur de l’Académie de l’Opéra et de la représentation du 14 juillet de l’Opéra pour les publics éloignés de la culture, la Fondation ENGIE a souhaité promouvoir l’accès de tous à la culture.

L’accès à la culture est au cœur  de l’action de la Fondation d’entreprise ENGIE depuis 30 ans. La culture représente un formidable outil d’enrichissement, d’expression et d’ouverture aux autres. Depuis 2018, ce sont plus de 10 000 personnes qui ont pu assister à cette représentation du 14 juillet.

La Fondation ENGIE soutient cette belle initiative dans le cadre de son programme « ETE SOLIDAIRE » qui accompagne le monde associatif en France et en Belgique avec différentes opérations pour lutter contre les inégalités au cœur des territoires.


La Fondation ENGIE poursuit son engagement solidaire à Marseille avec deux nouveaux partenariats : le MUCEM et la Maison des Femmes

Le 4 juillet 2023, Jean-Pierre Clamadieu, Président de la Fondation ENGIE a signé un partenariat avec le Mucem – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée – pour les célébrations des 10 ans du Musée avec notamment la création de la Galerie des collections Populaires inaugurée en décembre 2023. Un partenariat fort pour la Fondation ENGIE, mécène bâtisseur du MUCEM.

Pour ses 10 ans, le Mucem souhaite revenir sur ce qui constitue son cœur et son histoire, sa collection. La nouvelle exposition semi-permanente « Galerie des collections – Populaire ! » entend toucher les publics, grâce sa collection foisonnante. Ce nouvel accrochage sera présenté dès décembre 2023. Les visites des publics scolaires, des publics empêchés, notamment du programme « Destination Mucem », pourront s’appuyer sur cette exposition grâce à des outils pédagogiques conçus pour le temps long.

Il y a 10 ans, le MUCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée – ouvrait ses portes, avec le soutien de la Fondation ENGIE – mécène bâtisseur-, et donnait à Marseille alors Capitale Européenne de la Culture un symbole fort et un lieu emblématique. La Fondation ENGIE accompagne les actions du musée en faveur de la biodiversité et l’inclusion, et cette célébration : un partenariat historique et de long terme, s’inscrivant dans une vision partagée.

  • La biodiversité au cœur du partenariat avec la création du Jardin des Migrations a été l’acte fondateur du partenariat.
  • L’accès de tous à la culture : Destination Mucem, dispositif inédit de mobilité pour les publics éloignés : la mise en place hebdomadaire d’une ligne de bus spécifique à l’échelle de la ville, renforçant l’offre de transport existante et permettant de créer un lien privilégié avec le musée.

Plus de 1700 personnes ont pu découvrir le musée et ses expositions grâce à ce dispositif inédit et un accueil personnalisé.

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La Fondation ENGIE à Marseille

« Marseille est un centre euro-méditerranéen majeur de décisions et d’échanges de niveau mondial et s’appuie sur une économie diversifiée, une base industrielle ainsi que sur ses  pôles d’excellence (enseignement supérieur et recherche, pôles de compétitivité…). Nouveau hub numérique de la Méditerranée, en devenant le premier noeud de raccordement de télécommunications du Sud de l’Europe, Marseille attire à présent de nombreuses entreprises du numérique.

ENGIE y a l’ambition d’être un des acteurs de référence dans la transition énergétique.

La Fondation ENGIE d’entreprise y mène depuis 10 ans de très beaux projets, et a un lien particulier avec Marseille : soutenant dès son origine le projet emblématique du MUCEM, développant avec des acteurs locaux des actions s’inscrivant dans nos grandes priorités :

Education (accès à la culture)

Accès à l’énergie et lutte contre le réchauffement climatique

Aide aux plus fragiles, avec notamment la lutte contre les violences faites aux femmes.

Notre philosophie : donner l’énergie nécessaire à ces projets, mais aussi ouvrir les portes, faire se rencontrer les porteurs de projets pour que des synergies se nouent et enrichissent leur action. Ce sont ces « énergies partagées » qui font de Marseille un lieu à part. »

Jean- Pierre  Clamadieu Président de la Fondation ENGIE

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Lutte contre les violences faites aux Femmes avec la Maison des Femmes de Marseille

Claire Waysand Secrétaire Générale d’ENGIE et Vice Présidence de la Fondation ENGIE a signé le 4 juillet le partenariat avec la Maison des Femmes de Marseille.

Créée en 2022, la Maison des Femmes Marseille Provence est un lieu unique d’accueil, d’écoute, de soin, d’accompagnement et d’orientation pour les femmes vulnérables et victimes de violences.

La Maison des Femmes propose un suivi individuel avec des consultations médicales, un soutien psychologique, un accompagnement social, une aide juridique ainsi que des activités collectives basées sur des groupes de parole et des ateliers : estime de soi, sport, lien social …

4  parcours de soins sont proposés au sein de La Maison des Femmes :

  • Prise en charge des femmes victimes de violences : Une prise en charge médicale, psychologique, sociale et juridique adaptée au rythme et aux besoins de chaque femme est mise en place
  • Prise en charge des femmes victimes de mutilations sexuelles : parcours de soin qui explore l’ensemble des problématiques liées à l’excision, et permet notamment une prise en charge globale médicale, chirurgicale, sexologique, psychologique et sociale.
  • Prise en charge des femmes enceintes en situation de violences :
  • Prévention, Education et Promotion de la santé : actions de prévention, d’information et d’éducation autour des questions de santé sexuelle et affective, de contraception, d’infections sexuellement transmissibles pour les femmes victimes de violences mais également pour le grand public

« L’ impact de la Maison des Femmes dès cette première année est remarquable :

  • ce sont 320 femmes victimes de violences physiques ou psychologiques, sexuelles, et sexistes, actuelles ou passées, qui ont été prises en charge en 2022.
  • Plus de 500 étudiants en santé qui ont été sensibilisés
  • Près de 200 professionnels de toute la région PACA ont participé aux journées de sensibilisation.

La Fondation ENGIE est fière d’accompagner la Maison des Femmes pour les 3 années à venir en participant notamment aux travaux des nouveaux locaux et des actions de sensibilisation » 

Claire Waysand

La Fondation ENGIE accompagne également la Maison des Femmes de Saint Denis dans le cadre de son programme Lutte contre la précarité


Journée Mondiale de l’océan

Chaque année le 8 juin, à l’initiative de l’ONU, le monde entier célèbre la Journée Mondiale de l’océan, une occasion majeur de mettre en avant l’importance vitale de nos océans et de leurs écosystèmes fragiles. C’est un appel lancé par les Nations Unies à s’unir, à intensifier les efforts et à prendre des mesures concrètes pour préserver et restaurer la santé de nos océans.

En 2023, le thème retenu est : « Planète Océan : une vague d’actions ».

En effet, l’urgence à agir n’a jamais été aussi forte.

Les opportunités économiques et les moyens de subsistance offerts par les océans aux pays en développement sont menacés par le changement climatique, la pollution et la surpêche, prévient un nouveau rapport de l’agence des Nations Unies chargée du commerce et du développement, qui réclame l’adoption d’un « Pacte Bleu » pour protéger les océans.

Chaque minute ce sont 15 tonnes de plastique qui sont déversées dans l’Océan. L’Humanité produit toujours plus de plastique (460 millions de tonnes par an aujourd’hui). La moitié des plastiques sont dangereux pour la santé humaine.

Prendre soin de la vie et de notre planète, c’est ce qui anime la Fondation ENGIE depuis plus de 30 ans. Dans le cadre de son mandat 2020 – 2025, la Fondation ENGIE renforce son engagement pour la sauvegarde de la biodiversité et son action pour préserver nos océans au travers d’initiatives concrètes pour stimuler des vagues d’actions positives.

La Fondation ENGIE agit pour :

  • Protéger la biodiversité et les écosystèmes marins
  • Mieux connaitre et explorer la richesse de la biodiversité marine
  • Eduquer et sensibiliser à la préservation de la biodiversité marine

Partenaire de la Fondation de la Mer, de l’Office National de la Biodiversité, du Muséum d’Histoire naturelle, la Fondation agit avec ses partenaires.

Focus sur quelques initiatives.


Protéger la biodiversité et les écosystèmes marins

Avec l’Office Français de la Biodiversité, le réseau méditerranéen de sauvegarde de la posidonie

Protéger la biodiversité marine est un enjeu de l’action de la Fondation ENGIE.
La posidonie est emblématique des fonds marins de Méditerranée. De sa présence et de sa préservation dépend un écosystème parmi les plus riches de notre environnement.
Dans le cadre de son activité de mécénat, la Fondation ENGIE soutient l’Office Français de la Biodiversité pour le développement de plusieurs programmes en faveur de la biodiversité dans les territoires, et notamment sur ce volet essentiel de protection des océans.

Crédit @S Ruitton, MIO

L’OFB est un établissement public dédié à la protection et la restauration de la biodiversité en métropole et dans les Outre-mer. Il travaille à la conception, à la mise en œuvre et au respect des politiques publiques dans son domaine en mobilisant un ensemble d’acteurs, de décideurs et de citoyens autour de la biodiversité : État, collectivités territoriales, associations, entreprises, scientifiques, agriculteurs, pêcheurs, chasseurs, pratiquants des sports de nature…

La Fondation soutient l’OFB dans le développement d’un réseau méditerranéen pour la préservation de l’herbier de posidonies en Méditerranée.

Ancrage sur herbiers.
Crédit @Ruitton_MIO

La posidonie (Posidonia Oceanica) est une herbe marine dont l’aire de répartition naturelle se trouve en mer Méditerranée (entre 0 et 40 m de fond) dont 85.000 ha sur le littoral français.

C’est un des organismes les plus vieux de notre planète (100 000 ans) et l’habitat que constituent les herbiers de posidonie sont le support d’une biodiversité exceptionnelle et remplissent de nombreuses fonctions écosystémiques :

  • C’est une zone de « nurserie » essentielle pour plus de 50 espèces de poissons ;
  • Elle est un puit de carbone (15 % des émissions annuelles de Corse) et une source d’oxygène (1m² d’herbier relâche 14 litres d’oxygène par jour) ;
  • Elle protège les plages de l’érosion en atténuant les houles ;
  • Elle purifie l’eau en filtrant les matières en suspension.

La posidonie a donc un rôle important mais c’est une ressource fragile. Sa croissance étant très lente (1 mètre par siècle en dehors de toute pression), elle est particulièrement vulnérable. Par ailleurs, une fois détruite, les dégâts sont quasiment irréversibles à notre échelle de vie.

La posidonie est protégée par la loi française depuis 30 ans mais son habitat ne cesse de se dégrader, en raison principalement de l’artificialisation et des dégâts causés par les bateaux de plaisance, notamment par le développement de la grande plaisance en Méditerranée.

Les ancrages répétés des grands bateaux labourent les fonds et causent des dégâts dramatiques sur les herbiers : une fois les fonds labourés, les courants élargissent les saignées et les sédiments sont libérés.

En France, il existe un bon niveau de connaissance des habitats et des pressions sur la posidonie (via les aires marines protégées, les associations environnementales et les acteurs professionnels).

Certaines initiatives ont déjà été prises au niveau national comme la stratégie de gestion des mouillages en Méditerranée depuis 2010 (pour la petite plaisance), qui a élargi en 2019 son champ d’application à la grande plaisance.

Lancement du réseau régional de protection de la Posidonie en Méditerranée (ofb.gouv.fr)

https://medposidonianetwork.com


Mieux connaitre et explorer la richesse de la biodiversité marine

Avec le programme de grandes explorations « la planète revisitée » du Muséum national d’Histoire naturelle, explorer pour préserver

La Fondation ENGIE est un partenaire historique du Muséum national d’Histoire naturelle qu’elle soutient depuis 2001 sur de nombreux projets liés à la préservation de l’environnement, l’éducation à la biodiversité, la restauration patrimoniale ou encore la diffusion des résultats de la recherche.

L’exploration du Golfe du Lion avec le Muséum national d’Histoire naturelle

La France avec ses façades maritimes atlantique et méditerranéenne a historiquement joué un rôle clé dans la description et la compréhension des écosystèmes côtiers.

Cependant, plus de la moitié des espèces n’a pas été revue depuis le 19e siècle. Or, le changement global, et en particulier le réchauffement de l’eau de mer ainsi que les canicules marines, impactent fortement les côtes françaises.

Le Muséum a produit des données de connaissances importantes sur le benthos (ensemble des organismes vivant à proximité du fond des mers) des milieux récifaux de Méditerranée lors de sa dernière exploration en Corse menée dans le cadre du projet « La Planète Revisitée » (2019-2021).

Cependant, l’inventaire de ces organismes est encore lacunaire. De plus, ils n’ont pas fait l’objet d’un séquençage ni de photographies à haute résolution en vue de créer des bases de données de référence.

Afin de compléter cet inventaire qui a fait date pour la faune et flore marine de Méditerranée, le Muséum va compléter avec ce nouveau projet dans le golfe du Lion l’inventaire du benthos des fonds meubles de Méditerranée.

Crédit MNHN - Alice Leblond - 2019

Cette nouvelle exploration (jusqu’à 1000 mètres de profondeur) permettra de documenter la diversité des organismes au sein de cet espace bénéficiant du statut de Parc naturel marin (PNM).

Les enjeux du projet sont variés :

  • Enrichissement des collections de la zone et valorisation de celle-ci ;
  • Modernisation et mise à niveau des données patrimoniales : géo référencement, photographies, séquence ADN ;
  • Production de données utiles à l’expertise (enrichissement de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) puis à la mise en œuvre des politiques publiques et plan de gestion du PNM;
  • Contribution au rayonnement de la zone au travers d’actions médiatiques mises en place dans le cadre du projet et diffusion des connaissances et de la culture scientifique au travers d’actions éducatives ;
  • Contribution éventuelle au projet ATLASea pour le séquençage de génome complet de certaines espèces du PNM (un peu moins de 20% des espèces décrites ont des séquences associées – les projets d’ADN environnemental seraient bien plus performants si la base de données avait une meilleure couverture taxonomique).

La zone cible du projet. Elle s’étend sur la zone du Parc Naturel Marin et comprend :

  • Les petits fonds
  • Le plateau continental (-120 m)
  • Les lagunes (étang de Canet-Saint-Nazaire et étang de Salses-le-Château Leucate)
  • Éventuellement des canyons (Boucart, Pruvot et Lacaze-Duthiers)

Crédit MNHN - 2023

Le calendrier

Après une phase de repérage et d’achats de matériels, l’exploration se déroulera à l’automne 2023 et les prélèvements seront réalisés à partir d’un petit bateau de pêche avec chalut à maille fine (pour la faune jusqu’à 500 m de profondeur), de plongées le long de la côte, et d’un plus gros bateau avec engins de pêche pour la faune plus profonde.

Puis les données et les spécimens seront acheminées au Muséum et l’année 2024 verra l’analyse et la valorisation des résultats (atelier de tri, séquençage, analyse morpho anatomique pour la taxonomie, restitution finale des résultats).


Eduquer et sensibiliser à la préservation de la biodiversité marine

Avec le programme « Partners of the Sea », éducation à la protection de la mégafaune marine au Brésil

Océans, protection de la biodiversité et de la faune, sensibilisation des communautés ou de la jeunesse sont au cœur de l’action de la Fondation ENGIE. Au Brésil, deuxième pays de présence du Groupe ENGIE, la Fondation accompagne un projet phare.

La Fondation ENGIE soutient le projet « Partners of the Sea » d’éducation et de sensibilisation à la préservation de la mégafaune marine mis en œuvre par le CEMAM (Centre d’Etude et de Surveillance de l’Environnement) en partenariat avec l’Université d’Etat du Rio Grande do Norte (UERN).

L’UERN mène depuis plusieurs années des études sur le comportement et la diversité des espèces de baleines et dauphins, lamantins, tortues marines et oiseaux de mer, et des actions de sauvetage pour animaux blessés.

En effet, dans la région d’Areia Branca (dans l’Etat du Rio Grande do Norte), les principales menaces pour la mégafaune marine sont la pêche artisanale, le transport maritime, la production pétrolière et la présence de déchets domestiques dans la mer. Chaque année ce sont environ 1 500 animaux qui sont échoués sur les plages ou blessés.

Le Programme « Partners the sea » vise à contribuer à la prise de conscience des communautés côtières d’Areia Branca sur les impacts subis par la mégafaune marine et la nécessité de préserver l’environnement.

L’objectif de ce projet est double :

  • d’une part sensibiliser les pêcheurs aux dangers de leurs pratiques sur la mégafaune marine et les écosystèmes côtiers associés,
  • et d’autre part travailler avec les écoles et les habitants pour les sensibiliser à l’importance de protéger cette biodiversité animale et de prodiguer des soins d’urgence si nécessaire (via des outils pédagogiques, conférences, formations …).

Sur l’année 2022 plusieurs campagnes de sensibilisation et d’éducation ont été réalisées dans la municipalité d’ Areia Branca avec une participation importante de la population :

  • Plus de 1 500 élèves de l’enseignement primaire et secondaire ont été formés (soit près de 30% des élèves de la zone)
  • 18 institutions locales ont été impliquées dans les activités
  • …sans compter la grande répercussion qu’ont eu ses activités sur les réseaux sociaux, la radio, la télévision etc.

Ce programme qui a débuté en 2022 se poursuit en 2023 ; il est notamment prévu de toucher 100% des élèves au cours de 4 campagnes de sensibilisation et de réaliser un manuel des « Partenaires de la mer » qui récapitulera toutes les activités réalisés afin de mettre à disposition des professeurs un outil pour se former et former les élèves dans le futur.

Eduquer avec les Campus Unesco

Depuis sa création, l’UNESCO a pour objectif de soutenir l’accès mondial à l’éducation, afin de réaliser son mandat de construction de la paix par la coopération internationale dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

La Fondation ENGIE accompagne plus particulièrement les CAMPUS liés à l’environnement.

Focus sur le Campus #UNESCOCampus XL dédié à l’Océan 

Début février, plus de 600 étudiants français et plus de 200 étudiants d’Algérie, du Cameroun, de Guyane, du Nigéria, du Rwanda et du Sénégal se sont engagés à #SaveOurOcean ! Pendant le Campus : Ils ont assisté à l’avant-première du film « Les Gardiennes de la planète » un documentaire réalisé par Jean Albert Lièvre et raconté par Jean Dujardin. 

Ils ont échangé avec des experts et personnalités passionnés de l’UNESCO, sur notre planète bleue et sa protection.

Voir la vidéo

Jury du prix Fondation ENGIE Talents de la recherche au Musée de l'Homme 2023

Créé en 2018 par la Fondation ENGIE et le Muséum national d’Histoire naturelle, le prix «Talents de la Recherche Fondation ENGIE – Musée de l’Homme» récompense chaque année des projets de recherche interdisciplinaires et innovants développés par les chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle qui travaillent sur les liens qu’entretiennent les sociétés passées et présentes avec leur environnement, l’adaptation au changement climatique, la biodiversité, thématiques au cœur des engagements de la Fondation d’entreprise ENGIE.

Une manière de mettre en valeur la recherche au sein d’une institution qui rassemble plus de 2 500 collaborateurs, dont 570 chercheurs, abrite 67 millions de spécimens dans ses réserves et ses galeries, forme plus de 450 étudiants par an, et a accueilli, un record, en 2023, plus de 3,5 millions de visiteurs dans ses 13 sites à Paris et en région.

Pour sa 6ème édition, ce sont 14 équipes qui ont candidaté.

Les lauréats bénéficient d’une bourse destinée à financer leurs travaux de recherche.

Grand mécène du Muséum national d’Histoire naturelle, la Fondation d’entreprise ENGIE soutient le Muséum depuis près de vingt ans sur de nombreux projets liés à la préservation de l’environnement, la restauration patrimoniale ou encore la diffusion des résultats de la recherche.

Cette année le jury s’est tenu le 7 Juin au Musée de l’Homme en présence de : 

  • Bruno DAVID, président du Muséum national d’Histoire Naturelle et président du jury,
  • Jean-Jacques BAHAIN, Professeur au Muséum, Directeur de l’UMR « Histoire naturelle de l’Homme préhistorique »,
  • Allain BOUGRAIN-DUBOURG, Journaliste et Président de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), membre du conseil d’administration de la Fondation ENGIE,
  • Frédérique CHLOUS, Professeure au Muséum, Directrice du Département « Homme & Environnement »,
  • Denis COUVET, Professeur au Muséum, UMR CESCO « Centre d’Écologie et des Sciences de la Conservation », Président de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB),
  • Évelyne HEYER, Professeure au Muséum, Directrice de l’UMR « Écoanthropologie »,
  • Claudine Cohen, Directrice d’Études à l’École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), Directrice d’Études à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes (EPHE)
  • Dominique LEGLU, Scientifique, Directrice éditoriale des magazines Sciences et Avenir et La recherche
  • Adeline DUTERQUE, Directrice du Centre de Recherche ENGIE Lab CRIGEN

Au terme des délibérations, 3 projets ont été retenus, portés par 4 chercheuses du Muséum, soulignant le rôle des femmes dans la science.

En 6 ans, ce sont 18 projets (sur près de 80 projets déposés) portés par 27 chercheurs qui ont été récompensés.


Retrouvez les vidéos des Lauréats des années passées :


Journée mondiale de l’environnement

Eduquer, Protéger, innover avec la Fondation ENGIE

Il y a 50 ans, était créée par l’Assemblée générale des Nations unies la Journée mondiale de l’environnement avec un slogan « Une seule Terre ».

Depuis 1973, le 5 juin de chaque année, le monde entier célèbre la Journée Mondiale de l’environnement. Conduite par le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), cette journée, a pour ambition de sensibiliser des millions de citoyens à travers le monde à la biodiversité, mais aussi rappeler que nous partageons une même terre.

Pour cette année 2023, le thème est : Combattre la pollution plastique.

Les Nations Unies estiment que 19 à 23 millions de tonnes de plastique finissent chaque année dans les lacs, fleuves et les océans. La pollution plastique est devenue l’un des défis environnementaux les plus pressants de notre époque. Elle a un impact dévastateur sur la biodiversité et l’environnement. Les déchet plastiques contaminent les écosystèmes terrestres et aquatiques, perturbant les équilibres naturels et la santé des écosystèmes.

La Fondation ENGIE reconnait l’urgence de cette situation et s’engage activement pour la préservation de la biodiversité et l’environnement.

Protéger, Innover et Eduquer

Prendre soin de la vie et de notre planète, c’est ce qui anime la Fondation ENGIE depuis plus de 30 ans. Avec 46% de ses projets dédiés à l’accès aux énergies renouvelables et durables et à la biodiversité en 2023 la Fondation ENGIE s’engage année après année pour l’environnement. L’objectif est de participer à des projets ambitieux et à impact et de participer à l’effort collectif de l’Agenda 2030 à travers la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD).


A l’occasion de la journée de l’Environnement, découvrez trois partenariats emblématiques soutenus par le Fondation ENGIE pour lutter contre la pollution plastique

Protéger avec le programme « un geste pour la mer » de la Fondation de la mer

La Fondation ENGIE soutient la plateforme « Un Geste Pour La Mer » créée en 2019 qui permet à chacun d’agir contre la pollution plastique avec :

  • Une communauté globale qui fédère les citoyens, les associations, les scientifiques, les institutions scolaires, les collectivités et les acteurs privés.
  • Une carte des collectes en France Métropolitaine et dans les territoires d’Outre-Mer, des actualités, des ressources pédagogiques, des outils pratiques pour aider les citoyens dans leur engagement en faveur de l’Océan et organiser des collectes.
  • Un dispositif de financement simple et rapide pour les associations qui luttent concrètement contre la pollution plastique à travers des collectes de déchets ou des actions de sensibilisation.

Chiffres clés :

  • 300 acteurs inscrits sur la plateforme
  • Plus de 150 associations financées
  • 1 950 collectes organisées
  • 97 000 bénévoles mobilisés
  • Plus de 900 tonnes de déchets collectés

La Fondation ENGIE accompagne également le développement des filières de recyclage locales pour faire de nos déchets des ressources via le programme « Un Geste Pour La Mer Upcycling » lancé en septembre 2021. Ce programme fédère le réseau des acteurs français de l’Upcycling, composé

d’associations et de startups qui innovent et luttent contre la pollution des déchets plastiques, des déchets ostréicoles ou issus de la pêche ou encore de mégots.

Un dispositif de financement soutient concrètement les associations pour leur permettre de s’équiper et de franchir un cap dans le développement de leurs activités (achat de machines pour transformer le plastique, de matériel, de dispositifs de collecte, etc). 18 associations d’Upcycling sont déjà en cours de financement. Ces associations sont aussi engagées dans des actions de sensibilisation auprès des populations locales.

Enfin la Fondation ENGIE accompagne le programme « Repêchons les océans », programme de récupération des déchets marins en collaboration avec la Filière pêche en France.

Les objectifs du programme sont de former un réseau de professionnels de la pêche pour protéger la vie marine en enlevant les déchets marins qui endommagent les écosystèmes et de promouvoir l’économie circulaire à travers la mise en place d’un système national efficace de gestion des déchets marins. Un autre objectif est de maintenir leur traçabilité.

Une collecte de déchets au Cap d’Agde dans le cadre de l’ENGIE Kite Tour a été organisée avec  l’association « Le Plastique c’est dramatique » le samedi 3 juin.

Innover avec the Great Bubble Barrier au Portugal

La Fondation ENGIE a souhaité contribuer à cet enjeu en faisant le pari de l’innovation et en soutenant l’initiative d’une star-up hollandaise « The Great Bubble Barrier », fondée en 2017, pour la mise en place d’un système innovant de lutte contre les déchets plastiques dans les fleuves et rivières, une « Bubble Barrier » dans la région de Porto au Portugal.

Avec l’installation d’une Bubble Barrier dans l’estuaire de la rivière Ave dans la ville de Vila de Conde, The Great Bubble Barrier pourra s’attaquer au problème au plus près de la source et empêcher le plastique de s’écouler dans l’océan.

Eduquer avec les Campus Unesco

Depuis sa création, l’UNESCO a pour objectif de soutenir l’accès mondial à l’éducation, afin de réaliser son mandat de construction de la paix par la coopération internationale dans les domaines de l’éducation, des sciences et de la culture.

L’UNESCO a lancé le programme Campus avec la Fondation ENGIE en 2013 pour aider les jeunes à mieux comprendre les grandes questions contemporaines et leur rôle de jeunes citoyens.

Grâce aux connaissances de divers intervenants de l’UNESCO et de la société civile, experts dans leurs domaines (technologie, éducation, sciences, …), les Campus UNESCO veulent relever les défis actuels avec les élèves de collèges et lycées sous la forme d’une discussion horizontale et libre.

La Fondation ENGIE accompagne plus particulièrement les CAMPUS liés à l’environnement.

Focus sur le Campus « Pollution plastique » : étudiants et leaders partagent des solutions pendant un Campus UNESCO

Lors de ce campus, les jeunes des écoles The English International School de Cotonou au Benin, The Phorms Schule Frankfurt/Taunus à Steinbach en Allemagne, The American School of Angola à Luanda en Angola ont pu rencontrer Mathilda D’silva, fondatrice de The Ocean Purpose Project et Oke Carstensen, co-fondateur de l’ONG GreenKayak.

Grâce à ce campus, les jeunes ont pu interagir avec des porteurs de projets inspirants impliqués dans l’action environnementale contre la pollution plastique. Nous espérons que cet échange initiera une réflexion autour de projets citoyens dans leurs écoles respectives et leur écosystème local.

A l’occasion de la semastique, l’UNESCO réunit étudiants et leaders – porteurs de projets citoyens – pour dialoguer et joindre leurs forces pour agir contre la pollution plastique.

Voir la retransmission vidéo

La Fondation ENGIE mécène bâtisseur du Mucem célèbre les 10 ans du musée

Il y a 10 ans, le MUCEM – Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée – ouvrait ses portes, avec le soutien de la Fondation ENGIE – mécène bâtisseur-, et donnait à Marseille alors Capitale Européenne de la Culture un symbole fort et un lieu emblématique.

Un caractère pionnier

Premier musée consacré aux cultures de la Méditerranée, il symbolise à la fois un geste architectural audacieux, avec un regard sur le futur et un projet muséographique inédit. Né de la métamorphose d’un grand musée de société – le Musée des arts et traditions populaires créé en 1937 à Paris – il représente «également le premier véritable transfert d’un musée national en région. Dès 2014, il entrait dans le cercle des 50 musées les plus visités du monde. Aujourd’hui, il est l’un des symboles de Marseille avec plus de 1.2 millions de visiteurs pour l’année 2022 .

Trois dimensions

Le Mucem se déploie sur trois sites. Côté mer, à l’entrée du Vieux-Port, le bâtiment J4 (l’emblématique geste architectural de Rudy Ricciotti et Roland Carta), et le fort Saint-Jean (monument historique entièrement restauré) incarnent parfaitement, avec leurs deux passerelles, le projet d’établir un trait d’union entre les deux rives de la Méditerranée, entre futur et histoire, rivages et territoire. Côté ville, dans le quartier de la Belle de Mai, le Centre de conservation et de ressources (CCR) abrite les collections du musée. Cet ensemble unique permet au Mucem de démultiplier ses propositions culturelles.

De juin 2023 à juin 2024, le Mucem célèbre ses 10 ans avec 10 rendez-vous exceptionnels: grandes fêtes, expositions inédites, moments de partage et de réflexion. Ils s’ajoutent à la programmation régulière du musée et seront les véritables temps forts de cette année anniversaire : 10 occasions de nous retrouver pour dessiner tous ensemble les 10 années qui viennent !


La Fondation ENGIE et le Mucem : 10 ans d’actions en faveur de la biodiversité et l’inclusion

La Fondation ENGIE mécène Bâtisseur du Mucem accompagne depuis 10 ans les actions du musée en faveur de la biodiversité et l’inclusion, et cette célébration : un partenariat historique et de long terme, s’inscrivant dans une vision partagée.

La biodiversité au cœur du partenariat

Le financement de la création du Jardin des Migrations a été l’acte fondateur du partenariat.

Un jardin qui reflète une double philosophie :

  • Mêler les essences des fleurs, des essences et des plantes aromatiques venues des différentes rives de la Méditerranée
  • Réintroduire la biodiversité en une ville …. Offrir à toutes et tous une promenade paysagère et sensorielle …

L’accès de tous à la culture : Destination Mucem

Afin de s’engager plus encore en faveur de l’accessibilité à tous les publics, le Mucem a choisi d’expérimenter un dispositif inédit de mobilité pour les publics éloignés : la mise en place hebdomadaire d’une ligne de bus spécifique à l’échelle de la ville, renforçant l’offre de transport existante et permettant de créer un lien privilégié avec le musée.

A bord d’un bus de collection restauré, le public est invité à suivre des ateliers personnalisés et ludiques. En effet, le circuit de visite est adapté à chaque participant. Arrivés à destination, les participants se voient remettre des billets pour visiter les expositions du Mucem, mais sont également invités à profiter de l’offre de programmation et de médiation du musée : cinéma, ateliers, espaces enfants…

Plus de 1700 personnes ont pu découvrir le musée et ses expositions grâce à ce dispositif inédit et un accueil personnalisé.


La Fondation ENGIE accompagne les célébrations des 10 ans du Mucem avec :

  • La 1ère édition de la journée de l’inclusion, le vendredi 2 juin

Le Mucem et La Varappe lancent la 1ère édition de la journée de l’inclusion, le vendredi 2 juin, avec pour ambition de sensibiliser le grand public, les pouvoirs publics et les entreprises aux questions d’inclusion sociale, économique, culturelle et politique des personnes marginalisées.

Dans le contexte actuel, il est plus important que jamais que les précurseurs inclusifs fassent bloc autour d’un ensemble de valeurs et d’objectifs communs et déterminent les moyens à mettre en œuvre pour répondre aux aspirations et aux besoins des individus pour construire une société plus juste et plus équitable.

Cette journée vise également à promouvoir la diversité et à encourager le respect et l’inclusion de toutes les personnes, et à lutter contre les inégalités de destin et sensibiliser la société à la nécessité de travailler ensemble afin d’innover en matière d’inclusion.

Pour cette journée, le dispositif « Destination Mucem » se mobilise et amène les publics éloignés pour assister aux temps forts de la manifestation.

  • La Galerie des collection Populaire inaugurée en décembre 2023

Pour ses 10 ans, le Mucem souhaite revenir sur ce qui constitue son cœur et son histoire, sa collection. La nouvelle exposition semi-permanente « Galerie des collections – Populaire ! » entend toucher les publics, grâce sa collection foisonnante. Ce nouvel accrochage sera présenté dès décembre 2023. Les visites des publics scolaires, des publics empêchés, notamment du programme « Destination Mucem », pourront s’appuyer sur cette exposition grâce à des outils pédagogiques conçus pour le temps long.

En avril 2024, le Mucem organise un week-end consacré à la biodiversité, et proposera un cycle de conférence, des animations pour le jeune public et des visites thématiques, et produira un audioguide pour mieux valoriser le jardin des migrations.

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La Fondation ENGIE partenaire du Concours CGénial 2023


Développer l'appétence pour les sciences et les technologies chez les jeunes

La Fondation CGénial organise, de concert avec le dispositif ministériel « Sciences à l’Ecole », le « Concours CGénial » qui invite les collégiens et les lycéens des voies générale, technologique et professionnelle à travailler, en équipe, un projet scientifique et technique. Les élèves sont encadrés par l’enseignant porteur du projet ainsi que l’ensemble des équipes pédagogiques.

C’est l’occasion pour les élèves et les enseignants de développer l’esprit d’équipe, de cultiver le goût de l’effort, de créer des échanges avec de nombreux partenaires scientifiques, de découvrir de nouveaux métiers d’avenir et de travailler des compétences spécifiques dans l’optique du grand oral du baccalauréat.

Plus de 90 000 élèves ont été mobilisés depuis la première édition du concours en 2008 !

Dans le cadre de son programme Enfance et Jeunesse, la Fondation ENGIE est très fière d’accompagner l’édition 2023 du concours qui permet de mobiliser les jeunes autour des sciences.

Cette année, près de 365 équipes ont déposé leur candidature – 51 d’entre elles ont été sélectionnées et présenteront leur projet scientifique et technique au jury le jour de la finale nationale. 

La finale nationale du Concours CGénial aura lieu le mercredi 31 mai 2023.


Les projets des collèges et lycées finalistes

En 2023, les 31 projets collège finalistes ont été sélectionnés au niveau académique au cours des mois de mars et avril, parmi les 272 projets de collégiens inscrits cette année.

L’année 2023 marque le retour des finales académiques sur site sur tout le territoire national, après trois années de suspension totale ou partielle en raison de la crise sanitaire.

Découvrez les finalistes

Les 20 projets lycée finalistes ont quant à eux été sélectionnés en avril 2023 par le comité scientifique national du concours, parmi les 93 projets de lycéens qui se sont portés candidats cette année.

Au total 49 projets issus d’académies du territoire national (7 projets de l’outre-mer et 42 projets de la métropole), 1 projet de la Belgique et 1 projet de Monaco sont qualifiés en finale nationale du Concours CGénial 2023 !

Découvrez les finalistes

La Finale aura lieu le 31 mai au musée de l’Air et de l’Espace – Aéroport Paris-Le Bourget.

L’immense hall exposant deux exemplaires du mythique Concorde constituera un véritable écrin pour la compétition : les équipes de collégiens et lycéens finalistes y tiendront leur stand de 10h à 15h30 afin de présenter leur projet aux membres du jury ainsi qu’aux visiteurs du musée attendus en nombre !

 

Un évènement retransmis en direct à la TV !

L’évènement sera animé par Fred Courant et retransmis en direct à partir de 17h sur la chaîne de télévision L’Esprit Sorcier TV*

L’Esprit Sorcier TV est disponible sur la box TV d’Orange (canal 111), de Free (canal 220) et de Bouygues (canal 122). L’évènement sera également retransmis sur la chaîne YouTube de L’Esprit Sorcier.

 

A propos de la Fondation CGénial

La Fondation CGénial a pour mission de développer l’appétence pour les sciences et les technologies chez les jeunes et leur faire découvrir les métiers associés. Elle œuvre également au rapprochement entre le monde de l’entreprise et celui de l’éducation pour faire face aux enjeux d’aujourd’hui et de demain.

Ses objectifs sont multiples et complémentaires :

  • Promouvoir les métiers scientifiques et techniques auprès des jeunes et mieux faire connaître leur intérêt et leur diversité.
  • Révéler des vocations scientifiques, chez les filles et chez les garçons.
  • Impliquer les collaborateurs des entreprises – techniciens, ingénieurs, chercheurs – pour mettre en valeur leurs métiers.
  • Illustrer l’enseignement des sciences au collège et au lycée avec des exemples d’applications en entreprise.

280 000 ÉLÈVES BÉNÉFICIAIRES

3 400 MEMBRES DE L'EDUCATION NATIONALE PARTICIPANTS

A propos de Sciences à l’Ecole

Sciences à l’École est un dispositif ministériel dont l’objectif est de promouvoir la culture scientifique et technique et de susciter des vocations scientifiques chez les élèves du secondaire. Son action s’articule entre autres sur les concours scientifiques nationaux et internationaux, dont le concours CGénial et la participation française aux Olympiades Internationales de Chimie, de Géosciences et de Physique.


A l’occasion de la Journée de la biodiversité, rencontre avec 2 administrateurs engagés pour la biodiversité

Pour agir en faveur de la biodiversité la Fondation ENGIE s’appuie sur des experts

Gilles Bœuf, Professeur émérite à Sorbonne Université, membre du Conseil scientifique de ‘Office Français de la Biodiversité (OFB), Président du Centre d’étude et d’expertise sur le bio-mimetisme (CEEBIOS), administrateur de la Fondation ENGIE.

« Traitons la question de la biodiversité sur le même plan que la question du changement climatique. L’urgence est toute aussi forte et les deux sont liées »

Administrateur de la Fondation ENGIE, Gilles Boeuf est spécialiste de physiologie environnementale et de biodiversité. Professeur émérite à Sorbonne Université (Université Pierre et Marie Curie, UPMC), affecté à l’Observatoire Océanologique de Banyuls après avoir passé 20 ans à l’IFREMER de Brest (Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer). Il a été Président du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), entre 2009 et 2015. Il a également été professeur invité au Collège de France pour l’année universitaire 2013-2014, sur la Chaire « Développement durable, énergies, environnement et sociétés » et avait alors dédié son enseignement aux interactions biodiversité et humanité. Il a été deux années conseiller scientifique au cabinet de la ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer. Il est aujourd’hui membre du Conseil Scientifique de l’Office français de la Biodiversité, professeur visitant à AgroParisTech et président de la SCIC CEEBIOS, dédiée au biomimétisme. Il a reçu en 2013 la Grande Médaille Albert 1er de Monaco pour l’ensemble de sa carrière, dédiée aux mers et à l’océan. Il est Conseiller régional Nouvelle-Aquitaine, en charge du programme «One health : une seule santé».

Quel regard portez-vous sur la biodiversité ?

Un regard alarmé et alarmiste….Ce début du XXIe siècle est marqué par l’effondrement du nombre des individus vivants dans les populations naturelles sauvages. C’est est un fait scientifique majeur. Prenons un exemple : en 18 ans, nous avons perdu 30 % d’oiseaux dans certains territoires agricoles.

Or, aujourd’hui, les débats et l’attention du Grand public sont focalisés sur le climat.

Le changement climatique affecte le vivant, tout le monde le reconnaît. On oublie la chose inverse : le vivant qui s’en va affecte, en retour, le climat. La surpêche amoindrit les capacités de l’océan à stocker du CO2. Alors même que les océans stockent environ 30 % du carbone que nous émettons en excès. Climat, vivant : même combat ! C’est la disposition d’esprit qu’il faut avoir.

Quelles raisons expliquent l’effondrement de la biodiversité et quelles sont les menaces ?

La destruction pure et simple des écosystèmes est la première menace pour le vivant. Elle est responsable des deux tiers de l’érosion de la biodiversité. C’est ce qu’on appelle l’artificialisation des sols, l’urbanisation ou la destruction du littoral.

La seconde menace est la contamination et la pollution, dans laquelle l’agriculture a sa part de responsabilité. Nous avons tué la moitié des sols de cette planète. Nous sommes passés à 8 milliards d’êtres humains dans les dernières semaines. Comment nourrir cette population avec des sols morts ? C’est impossible. Il faut y remettre du vivant.

Troisième menace : la dissémination des espèces est une menace pour le vivant. Beaucoup d’espèces sont transportées. Au niveau marin, les coques et les ballasts de bateaux charrient des espèces, à travers toutes les mers. Ou alors, elles ont été volontairement introduites pour la pêche et colonisent

les cours d’eau. Les silures originaires d’Europe de l’Est mangent par exemple les petits saumons, des aloses et les esturgeons.

La surexploitation est la quatrième menace sur la biodiversité. L’exemple des forêts tropicales est typique. En l’état actuel des connaissances, elles contiennent plus de la moitié des espèces vivantes connues sur Terre. Et elles partent à peu près à la vitesse de la surface de la Grande-Bretagne chaque année. Ces grands bassins de biodiversité se comptent sur les doigts de la main. Il y a le bassin du Congo en Afrique, l’Amazonie et les grandes îles de Papouasie-Nouvelle-Guinée et de Bornéo. La surexploitation concerne les pêches maritimes aussi : l’humain prend plus que ce que la nature est capable de renouveler. C’est une des propriétés du vivant, être renouvelable. Mais le drame actuel est que nous dépassons les seuils de renouvelabilité naturelle de la Terre. Il faut pêcher, oui, mais la surpêche est stupide. Avec l’aquaculture, cela représente un peu plus de 200 millions de tonnes par an, malgré des stocks de plus en plus pressurés. Les pêches illégales sont massivement pratiquées.

Cinquième menace : l’évolution beaucoup trop rapide du climat. Je ne mets pas le climat en première cause de l’effondrement du vivant. Mais cela pourrait devenir important. … Bactéries, virus, champignons, plantes, animaux… Il y a une migration générale vers le nord dans l’hémisphère nord,

et vers le sud dans l’hémisphère sud. C’est lié à la température de la masse d’eau, à celle de l’air mais aussi au manque d’eau. Le moustique tigre a gagné 22 départements en France cette année, vers le nord, ce qui provoque une hausse des cas de dengue.

Quelles mesures prendre ?

L’Europe est plutôt plus avancée que le reste du monde sur les questions environnementales.

Les politiques ne datent pas d’hier : il y a la directive-cadre sur l’eau, celle sur les oiseaux, tous les projets Natura 2000… mais, elle est parfois frileuse, comme sur les pesticides. Il faut bouger un peu plus et penser aux externalités. Les pesticides ont des conséquences sur la biodiversité et nous n’en avons jamais consommé autant. Le problème, c’est aussi de trouver une gouvernance. Une gouvernance internationale sur ces sujets est complexe à mettre en œuvre.

Qu’attendez-vous des actions menées par la Fondation ENGIE ?

La Fondation ENGIE est déjà très active sur les questions du climat et de la biodiversité. Nous avons eu l’opportunité d’analyser divers projets ces dernières années et nous devons continuer. Aujourd’hui, ces questions sont essentielles pour le bienêtre et le futur de nos concitoyens et c’est bien sûr le rôle de notre Fondation que d’y contribuer sur de solides bases scientifiques. Les moyens alloués doivent être conséquents et bien ciblés. Les relations établies avec l’Office Français de la Biodiversité et le Muséum National d’Histoire Naturelle sont essentielles.

Allain Bourgain Dubourg, Président de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et du Conseil d’Orientation Stratégique de la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB), Administrateur de la Fondation ENGIE.

Pionnier en matière d’engagement environnemental, pendant plus de 30 ans, Allain Bougrain Dubourg présente des émissions animalières à la télévision et à la radio notamment sur France Télévision, France Inter puis RTL. Producteur et réalisateur de nombreux documentaires animaliers, il vient de publier un « Dictionnaire amoureux des oiseaux ». Figure inspirante, il a contribué à faire de l’écologie un sujet grand public. Administrateur de la Fondation d’entreprise ENGIE, il participe aux choix des projets portés

Vous appelez à une meilleure prise de conscience du vivant et à un nécessaire changement de comportement des humains.

Le récent appel des « 15 000 scientifiques pour la planète » a pointé deux causes évidentes qui expliquent le déclin du vivant : la surpopulation sur une planète aux ressources limitées et une agriculture intensive.

Dans les deux cas, on constate que l’idée du respect du vivant demeure secondaire, voire inappropriée par rapport aux objectifs productivistes. Il faut en finir et considérer que notre posture dominante sur terre ne doit pas nous exonérer du respect que l’on doit aux autres espèces. Je dirais même que notre statut nous oblige à la compassion. On ne peut ajouter la souffrance inutile à la nécessité de tuer ! En ce début de 21ème siècle, une prise de conscience semble se dessiner mais les lobbyings rétrogrades conservent une puissance de résistance qui recule l’échéance du changement. Ce dernier se fera pas à pas, secteur par secteur, sur pression de l’opinion publique. Le domaine de la consommation peut être déterminant dans cette démarche, c’est pourquoi il faut se battre pour une véritable traçabilité incluant le bien-être animal.

Au fond, chaque citoyen a le pouvoir du changement…Pour citer Pascal: « l’intuition du coeur conduit à la raison ».

Qu’attendez-vous des actions d’une Fondation, comme la Fondation ENGIE ?

En premier lieu, le soutien de la Fondation pour un projet est une reconnaissance de sa valeur et des acteurs qui la portent. Il permet évidemment de développer l’ambition de l’action grâce aux budgets accordés. Il tisse enfin un lien entre les bonnes volontés qui animent la société. Je suis particulièrement sensible à l’ investissement de la Fondation ENGIE dans la préservation de la biodiversité qui souffre du manque d’attention, comparativement à la question climatique. Le secteur de l’éducation sur ce thème me parait prioritaire.


Journée Internationale de la biodiversité

Chaque année le 22 mai, le monde entier célèbre la Journée Internationale de la diversité biologique. C’est une occasion de mettre en lumière l’importance cruciale de la biodiversité pour notre planète et de sensibiliser à la nécessité urgente de la préserver.

Cette prise de conscience, a eu lieu il y a 30 ans. L’Assemblée générales des Nations Unis a adopté le texte de la Convention sur la diversité biologique, avec pour objectif la conservation de la diversité, l’utilisation durable de ses éléments constitutifs et de ses ressources génétiques, ainsi que le partage juste et équitable des avantages qui en découlent.

Pour cette année 2023, le thème est : De l’accord à l’action : reconstruire la biodiversité. Ce choix est en adéquation avec l’adoption du cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal, accord signé en décembre 2022. Une nouvelle dynamique qui vise à stopper et inverser la perte de la nature au travers de quatre objectifs globaux à l’horions 2025 : la santé des écosystèmes et des espèces, l’utilisation durable de la biodiversité, le partage équitable d’avantages, et la mise en œuvre et le financement.

Prendre soin de la vie et de notre planète, c’est ce qui anime la Fondation ENGIE depuis plus de 30 ans. Avec 46% de ses projets dédiés à l’accès aux énergies renouvelables et durables et à la biodiversité en 2023 la Fondation ENGIE s’engage année après année pour l’environnement. L’objectif est de participer à des projets ambitieux et percutants et de participer à l’effort collectif de l’Agenda 2030 à travers la réalisation des Objectifs de Développement Durable (ODD).

Avec la Fondation ENGIE, agir pour la préservation de la biodiversité en France et à l’international afin de :

  • Protéger la biodiversité et les écosystèmes
  • Mieux connaitre et explorer la richesse de la biodiversité
  • Eduquer et sensibiliser à la préservation de la biodiversité

« Il y a 30 ans, notre Fondation d’entreprise a été créée pour mener notamment des projets de restauration de grands sites naturels : limiter l’impact de l’activité humaine sur la biodiversité, la préserver et la restaurer, fédérer les collaborateurs autour d’une grande cause. Cet engagement pour la biodiversité est resté un marqueur fort de notre action, et nous avons souhaité qu’il dessine le mandat 2020-2025 de notre Fondation. Mais, en ce début de XXIe siècle, notre regard, nos exigences ont changé. Nous avons assisté, et c’est heureux, à une prise de conscience mondiale sur les enjeux du réchauffement climatique. Une entreprise comme la nôtre a inscrit dans sa raison d’être l’exigence d’une transition juste, vers une économie décarbonée et des impacts positifs pour la planète.
Face au changement climatique, il ne faut pas oublier la Nature au sens large, dont la biodiversité. Il ne faut pas les dissocié, ils sont intrinsèquement lié. Le réchauffement est la troisième cause majeur de l’érosion de la biodiversité. Si nous voyons les conséquences du changement climatique, les dégâts sur la biodiversité sont plus silencieux, mais tout aussi dramatiques. Certaines espèces ont d’ores et déjà disparu. Et c’est le bien-être et la santé de l’humanité qui sont en jeu. Les écosystèmes ont un rôle essentiel à jouer dans notre résilience. Le rôle de l’Océan est essentiel, comme la lutte contre l’artificialisation des sols ou la préservation des zones humides. »

Jean-Pierre Clamadieu, Président du Conseil d’Administration d’ENGIE, Président de la Fondation ENGIE.

Pour agir en faveur de la biodiversité la Fondation ENGIE s’appuie sur des experts : Rencontre avec 2 administrateurs engagés pour la biodiversité

Gilles Bœuf, Professeur émérite à Sorbonne Université, membre du Conseil scientifique de l‘Office Français de la Biodiversité (OFB), Président du Centre d’étude et d’expertise sur le bio-mimetisme (CEEBIOS), administrateur de la Fondation ENGIE.

« Traitons la question de la biodiversité sur le même plan que la question du changement climatique. L’urgence est toute aussi forte et les deux sont liées »

Administrateur de la Fondation ENGIE, Gilles Boeuf est spécialiste de physiologie environnementale et de biodiversité. Professeur émérite à Sorbonne Université (Université Pierre et Marie Curie, UPMC), affecté à l’Observatoire Océanologique de Banyuls après avoir passé 20 ans à l’IFREMER de Brest (Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer). Il a été Président du Muséum national d’Histoire naturelle (MNHN), entre 2009 et 2015.

Il a également été professeur invité au Collège de France pour l’année universitaire 2013-
2014, sur la Chaire « Développement durable, énergies, environnement et sociétés » et avait alors dédié son enseignement aux interactions biodiversité et humanité. Il a été deux années conseiller scientifique au cabinet de la ministre de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer. Il est aujourd’hui membre du Conseil Scientifique de l’Office français de la Biodiversité, professeur visitant à AgroParisTech et président de la SCIC CEEBIOS, dédiée au biomimétisme. Il a reçu en 2013 la Grande Médaille Albert 1er de Monaco pour l’ensemble de sa carrière, dédiée aux mers et à l’océan. Il est Conseiller régional Nouvelle-Aquitaine, en charge du programme «One health : une seule santé».

Allain Bourgain Dubourg, Président de la Ligue pour la Protection des Oiseaux et du Conseil d’Orientation Stratégique de la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité (FRB), Administrateur de la Fondation ENGIE.

Pionnier en matière d’engagement environnemental, pendant plus de 30 ans, Allain Bougrain Dubourg présente des émissions animalières à la télévision et à la radio notamment sur France Télévision, France Inter puis RTL. Producteur et réalisateur de nombreux documentaires animaliers, il vient de publier un « Dictionnaire amoureux des oiseaux ». Figure inspirante, il a contribué à faire de l’écologie un sujet grand public. Administrateur de la Fondation d’entreprise ENGIE, il participe aux choix des projets portés.

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Les engagements de la Fondation ENGIE


Protéger la biodiversité et les écosystèmes

Avec la Fondation GoodPlanet, développement de l’apiculture durable au Maroc

La Fondation ENGIE accompagne la Fondation GoodPlanet pour le développement de 10 coopératives d’apiculteurs dans la forêt de Mesguina au Maroc pour permettre aux producteurs de développer leur activité apicole de manière rentable et durable, dans le cadre de son engagement en faveur de la biodiversité et du climat.

Objectifs : accompagner 95 apiculteurs de 10 coopératives et sensibiliser 100 élèves de 9 écoles rurales à la préservation des abeilles.

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Avec Friendship, restauration de mangroves au Bangladesh

La Fondation ENGIE s’engage depuis plus de 10 ans aux côtés de l’ONG Friendship pour renforcer les capacités des communautés, encourager les contributions majeures des femmes, faciliter l’accès à l’énergie solaire, à la formation et la protection de la biodiversité. Pour lutter contre les effets du réchauffement climatique et procurer aux communautés des moyens de se développer, Friendship développe la restauration des mangroves avec le soutien de la Fondation ENGIE.

L’un des atouts notables du Bangladesh est la plus grande forêt de mangroves du monde, les Sundarbans, patrimoine mondial de l’UNESCO. Ecosystèmes côtiers uniques et diversifiés, les mangroves sont un outil formidable dans l’atténuation du changement climatique de par leur grande capacité d’absorption du CO2.

Cependant de nombreux projets de reforestation en mangroves au Bangladesh ne sont pas durables parce qu’ils consistent en des monocultures non résilientes, qu’ils ne sont pas gérés correctement pendant la phase de croissance, que des espèces non adaptées à la zone sont parfois plantées ou qu’ils ne tiennent pas compte des facteurs socio-économiques.

Plantation de 14 hectares sur 3 zones situées dans 3 villages du district de Satkhira (la terre est un bien rare au Bangladesh et il est difficile d’avoir des terrains d’un seul tenant disponibles pour la reforestation).

Les deux premières zones (soit 30 000 arbres) ont été plantées en octobre 2022 par les communautés locales sous la supervision de Friendship et d’experts forestiers locaux. La troisième (12 000 arbres) est prévue pour mai 2023. Au total ce sont près de 2 000 mètres de digues qui seront protégées contre les inondations grâce à ce projet, sachant que les dégâts provoqués par l’eau salée peuvent persister très longtemps (un sol inondé devient impropre à la culture pendant des années de même qu’un étang d’élevage envahi par l’eau salée ne peut plus servir)

Six groupes communautaires de 30 personnes, ont reçu les formations de renforcement de capacité (préalables aux plantations) en matière de semences, de pépinières et de plantations ; ils ont également chacun participé aux premières réunions de suivi.

Au total sur les 3 zones ce seront 240 participants qui seront formés, ce qui correspond à environ 1200 à 1440 bénéficiaires directs (membres des familles). Les bénéficiaires indirects seront bien plus nombreux. Il s’agit de tous les villageois, agriculteurs, pêcheurs qui verront leur habitation, leurs champs, leurs étangs, protégés des inondations et de la salinisation.

Mieux connaitre et explorer la richesse de la biodiversité

Avec l’Office Français de la biodiversité, les ABC de la Biodiversité

Sensibiliser Grand public mais aussi acteurs publics à la question de la biodiversité au cœur des Territoires est une des priorités de la Fondation ENGIE.

Depuis 2017, l’Office Français de la Biodiversité (OFB) lance chaque année un appel à projets afin de soutenir financièrement les communes et les structures intercommunales dans la réalisation de leur Atlas de la Biodiversité Communale (ABC).

Un ABC est une démarche qui permet à une commune, ou une structure intercommunale, de connaître, de préserver et de valoriser son patrimoine naturel. C’est un inventaire des milieux et espèces présents sur un territoire donné.

Depuis 2017 près de 3 000 communes se sont impliquées dans un ABC et 400 projets ont été menés en métropole et dans les Outre-mer.

Appel à projet 2023 et soutien de la Fondation Engie

Pour l’appel à projet 2023, les territoires avaient jusqu’au 22 mars pour faire remonter leur projet auprès de l’OFB. Les lauréats seront connus en juin.

En accompagnement de cette dynamique, la fondation ENGIE a choisi de soutenir le développement et la valorisation du programme, pour les inscrire dans la durée et accompagner la montée en qualité des projets, via notamment :

  • Des outils thématiques dédiés aux collectivités locales pour la réalisation de leur ABC
  • Des recueils de retours d’expérience auprès de collectivités ayant déjà réalisé un ABC
  • Dans une dynamique d’essaimage et de diffusion des bonnes pratiques, une mise en réseau entre les collectivités qui réalisent un ABC, celles qui l’ont terminé et et celles qui souhaiteraient se lancer
  • Des actions afin de mobiliser du cercle des partenaires historiques des ABC et suciter l’intérêt de nouveaux partenaires.
  • Enfin, l’organisation d’un trophée annuel où seront primés les ABC finalisés qui se singularisent, notamment du point de vue de la connaissance (implication de collèges scientifiques), de la mobilisation citoyenne, et de leur inscription dans la durée (fédération de partenaires externes)

Eduquer et sensibiliser à la préservation de la biodiversité

Avec la Ligue de Protection des Oiseaux LPO, le programme Plus de Nature dans mon quartier

Education et sensibilisation à l’environnement sont un moteur fort de l’action de la Fondation ENGIE.
Ce programme de mobilisation citoyenne allie Biodiversité et Cohésion sociale au cœur des territoires. Il s’organise autour d’actions de sensibilisation, de préservation et d’intégration de la biodiversité dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. La LPO en pilote la mise en place en lien avec les acteurs locaux, tels que les habitants, les écoles, les collectivités, les bailleurs sociaux et les associations de quartiers.
Le programme se déploie actuellement autour d’une dizaine de quartiers pilotes avant un objectif de déploiement national en 2024.

En 2022, le programme a permis de sensibiliser 64 classes d’écoles primaires et collèges sur les 9 quartiers pilote, soit environ 1600 élèves et à travers eux, leur famille. Des actions concrètes (plantations de strates arborées, construction de nichoirs etc) ont à chaque fois été réalisés.

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Découvrez l’ensemble des actions de la Fondation ENGIE

La Fondation ENGIE s’engage aux côtés de l’IHES

Partenaire historique de l’IHES, la Fondation ENGIE s’est récemment engagée à soutenir l’Institut sur des projets spécifiques en faveur des scientifiques en début de carrière et des chercheuses en visite à l’Institut.

Ce soutien participera directement au budget opérationnel de l’IHES, à la fois pour l’organisation des écoles d’été et pour financer des visites de chercheuses à l’IHES.
En soutenant les écoles d’été de l’IHES, un rendez-vous annuel majeur à l’Institut, qui s’adresse aux scientifiques en début de carrière, doctorants ou post-doctorants, la Fondation ENGIE contribue à la transmission des connaissances et à la formation des nouvelles générations de chercheuses et chercheurs.  En 2023, la Fondation ENGIE accompagnera l’école d’été « Avancées en K-théorie algébrique ».

En s’engageant à soutenir les visites de chercheuses à l’IHES, la Fondation ENGIE renforce son action pour l’accès des femmes aux carrières scientifiques. Celles-ci sont encore trop peu représentées dans le milieu de la recherche scientifique, surtout en mathématiques et en physique théorique, les deux sujets qui sont le plus représentés à l’IHES.
Avec ce nouveau soutien, la Fondation ENGIE va encore plus loin dans son engagement à soutenir l’excellence de la recherche fondamentale au plus haut niveau international, et se positionne aux côtés de jeunes générations et des chercheuses.

En 2023, le financement de la Fondation ENGIE permet plus particulièrement de soutenir la visite de Delaram Kahrobaei, professeure de mathématiques et d’informatique à la City University of New York (CUNY), titulaire de la chaire honoraire de cybersécurité à l’université de York, au Royaume-Uni, et professeure d’informatique et d’ingénierie à l’université de New York.

Prof. Kahrobaei a visité l’IHES pour la première fois en 2004, quand elle était professeure assistante à l’université de St. Andrews, au Royaume Uni et elle est récemment revenue à l’IHES pour une visite de trois semaines, qui sera financée grâce au soutien d’ENGIE.

Retrouvez le portrait de Delaram Kahrobaei sur le site d’ENGIE et découvrez ici son témoignage vidéo dans le cadre de la série « Voices of Women at IHES« .

La Fondation ENGIE inscrit son action dans l’ambition de contribuer aux Objectifs de Développement Durable autour de 3 axes « Aide à l’enfance, & Education », « Accès à l’énergie, Biodiversité & Climat » et « Emploi et Lutte contre la pauvreté ». Ces trois grandes priorités de la Fondation répondent à une exigence : prendre soin de la vie et de notre planète, répondre aux besoins des populations fragilisées ou éloignées.

La Fondation ENGIE a la conviction que le rôle des femmes est essentiel pour contribuer à la réalisation des Objectifs de Développement Durable. Dans ce cadre, la Fondation ENGIE soutient des projets selon les quatre critères suivants

  • Renforcer le leadership des femmes et leur participation, notamment par l’éducation, l’accès à la culture et l’insertion par l’emploi
  • Lutter contre les violences à l’égard des femmes et lutter contre la précarité
  • Renforcer l’autonomisation économique des femmes, notamment par l’accès à l’énergie
  • Être attentif à l’égalité des sexes.

Soutenir des projets à impact, participer à l’effort collectif de l’Agenda 2030 et porter la raison d’être d’ENGIE : c’est ce qui guide l’action de la Fondation ENGIE au quotidien.